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Sentant venir sa mort prochaine, le mage Tambour Billette organise la transmission de ses pouvoirs, de son bourdon, de son fonds de commerce. Nous sommes sur le Disque-Monde (vous y êtes ? Nous y sommes). La succession s'y effectue de huitième fils en huitième fils. Logique. Ainsi opère le mage. Puis il meurt. Or, il apparaît que le huitième fils est cette fois... une fille. Stupeur, désarroi, confusion : jamais on n'a vu pareille incongruité. Trop tard, la transmission s'est accomplie au profit de la petite Eskarina. Elle entame son apprentissage sous la houlette rétive de la sorcière Mémé Ciredutemps... Après " La huitième couleur " et " Le huitième sortilège ", voici la troisième " Huitième ". Ne craignez pas la réplétion :comme tant d'autres avant vous, " vous en redemanderez ", selon l'incontournable adage de Jérôme Bosch.
Comme le dit Peili Prattchett est indémodable et ses annales devraient être dans tout bonne bibliothèque d'amateurs de fantasy. Du burlesque, de la magie qui ne fonctionne pas toujours comme elle devrait, des personnages et des situations totalement déjantées... C'est toujours avec plaisir que l'on lit un Prattchet ! A lire absolument !
Un chouette troisième tome pour cette série, on change de personnage et de contexte. Le fait que le personnage principal est une enfant de 9 ans super bornée rend le récit très drôle. L'écriture est toujours aussi savoureuse, je vais très certainement lire tous les tomes.
Bien que très amusant et assez engagé, ce livre m'a moins plus dans son écriture que les 2 précédents. Pourtant il avait tout pour me plaire ! Un défaut de traduction ? Je ne sais pas.
Une suite toujours aussi sympa ; des passages sont tordants ! Ça change de mes lectures habituelles, même si parfois je décroche un petit peu - je pense que c’est un style qui n’embarque pas tout le monde.
J'adore l'humour de Terry Pratchett ses références et ses jeux de mots. L'histoire est prenante pas de passage inutile : rapide simple et efficace. Les personnages sont attachants et on aime plonger dans ce monde haut en couleur plein d'us et coutumes particuliers alliant imaginaire et réel. Nombreux parallèles intéressants.
Ce tome m'a un peu déçu. Moins enclin à l'humour, plus sérieux, moins innocent, moins tourné vers le délire, une critique de la société moins parodique et un avant goût de ce que sera Harry Potter plus tard (ça s'était marrant de trouver cette aspect présent déjà dans Pratchett, ça remet les choses en ordre).
Non pas que l'histoire soit sans intérêt mais abordée avec plus de sérieux. On attend un délire qui n'arrive que rarement.
Un tome punchy et infiniment drôle, avec en arrière-plan une dénonciation assez criante de la société qui fait plaisir à voir. Le personnage de Mémé Ciredutemps est juste extra, j'aime énormément son côté cynique. Hâte de poursuivre ma lecture du cycle des sorcières !
Un troisième tome avec de nouveaux beaucoup d'humour et avec de nouveaux personnages. Nouveaux mais toujours aussi attachants, on suit Esk et mémé Ciredutemps et tout les personnages qu'elles rencontrent !
Un très bon 3ème Tome des Annales du Disque Monde selon moi. L'auteur continue de se moquer de la Fantasy, tout en rédigeant une petite satire sociale très réussie.
J'ai beaucoup plus accroché ce tome-ci que les 2 précédents, si vous étiez hésitants après les 2 premiers livres, jetez-vous sur celui-ci. Nouvelle histoires, nouvelles aventures, mais mois décousues.
La chronique complète : https://la-choupaille-lit.blogspot.com/2019/03/les-annales-du-disque-monde-tome-3-la.html
Un tome plein de punch et de drôleries, et mine de rien l'occasion pour Pratchett de dénoncer deux-trois non-sens. Voir certains protagonistes se dépêtrer dans leur immobilisme absurde est jouissif, Mémé Ciredutemps dynamique et cynique comme on aime et le bourdon pas sans rappeler un certain coffre avec des jambes. Dommage pour l'indigestion de blagues que je frôle presque systématiquement. Le tome est en dessous des deux précédents, mais rien de dramatique.
Résumé
Sentant venir sa mort prochaine, le mage Tambour Billette organise la transmission de ses pouvoirs, de son bourdon, de son fonds de commerce. Nous sommes sur le Disque-Monde (vous y êtes ? Nous y sommes). La succession s'y effectue de huitième fils en huitième fils. Logique. Ainsi opère le mage. Puis il meurt. Or, il apparaît que le huitième fils est cette fois... une fille. Stupeur, désarroi, confusion : jamais on n'a vu pareille incongruité. Trop tard, la transmission s'est accomplie au profit de la petite Eskarina. Elle entame son apprentissage sous la houlette rétive de la sorcière Mémé Ciredutemps... Après " La huitième couleur " et " Le huitième sortilège ", voici la troisième " Huitième ". Ne craignez pas la réplétion :comme tant d'autres avant vous, " vous en redemanderez ", selon l'incontournable adage de Jérôme Bosch.
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