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Sentant venir sa mort prochaine, le mage Tambour Billette organise la transmission de ses pouvoirs, de son bourdon, de son fonds de commerce. Nous sommes sur le Disque-Monde (vous y êtes ? Nous y sommes). La succession s'y effectue de huitième fils en huitième fils. Logique. Ainsi opère le mage. Puis il meurt. Or, il apparaît que le huitième fils est cette fois... une fille. Stupeur, désarroi, confusion : jamais on n'a vu pareille incongruité. Trop tard, la transmission s'est accomplie au profit de la petite Eskarina. Elle entame son apprentissage sous la houlette rétive de la sorcière Mémé Ciredutemps... Après " La huitième couleur " et " Le huitième sortilège ", voici la troisième " Huitième ". Ne craignez pas la réplétion :comme tant d'autres avant vous, " vous en redemanderez ", selon l'incontournable adage de Jérôme Bosch.
Comme le dit Peili Prattchett est indémodable et ses annales devraient être dans tout bonne bibliothèque d'amateurs de fantasy. Du burlesque, de la magie qui ne fonctionne pas toujours comme elle devrait, des personnages et des situations totalement déjantées... C'est toujours avec plaisir que l'on lit un Prattchet ! A lire absolument !
Encore une très bonne lecture! je trouve que le texte est enfin plus cohérent que les deux premier tome. L'histoire est très jolie, j'ai adoré voir Esk et mémé évoluer dans leur environnement!
L'auteur nous plonge dans une aventure rocambolesque. On retrouve son humour et ses répliques improbables qui me font toujours sourire. Cette fois nous avons des héroïnes plutôt féministes qui montre chacune à leur manière que les femmes sont aussi capables que les hommes. J'aime beaucoup les réflexions de mémé sur la têtologie, c'est parfois absurde et finalement très profond. D'ailleurs c'est mon personnage préféré!
J'ai particulièrement apprécié ce troisième volume dans lequel j'ai réussi à rentrer bien plus facilement. L'histoire est plus suivie, plus cohérente que dans les précédents et on connaît déjà un peu l'univers. J'ai hâte de lire la suite des aventures de ces personnages et de découvrir ce que nous réserve l'auteur pour la suite.
Spoiler(cliquez pour révéler)Dans cette histoire, nous découvrons Eskarina, une jeune fille choisie par un mage pour lui succéder lorsqu'elle était bébé. Mais un mage femme ça n'existe pas. En grandissant pourtant, elle développe des aptitudes pour la magie. Donc Mémé Ciredutemps se chargera de son apprentissage mais cette dernière se rendra compte rapidement de ses lacunes pour former cette jeune fille à devenir une sorcière car elle possède un autre genre de magie. Les voilà donc obligées de partir en quête de l'université des mages.
Un chouette troisième tome pour cette série, on change de personnage et de contexte. Le fait que le personnage principal est une enfant de 9 ans super bornée rend le récit très drôle. L'écriture est toujours aussi savoureuse, je vais très certainement lire tous les tomes.
Bien que très amusant et assez engagé, ce livre m'a moins plus dans son écriture que les 2 précédents. Pourtant il avait tout pour me plaire ! Un défaut de traduction ? Je ne sais pas.
Une suite toujours aussi sympa ; des passages sont tordants ! Ça change de mes lectures habituelles, même si parfois je décroche un petit peu - je pense que c’est un style qui n’embarque pas tout le monde.
J'adore l'humour de Terry Pratchett ses références et ses jeux de mots. L'histoire est prenante pas de passage inutile : rapide simple et efficace. Les personnages sont attachants et on aime plonger dans ce monde haut en couleur plein d'us et coutumes particuliers alliant imaginaire et réel. Nombreux parallèles intéressants.
Ce tome m'a un peu déçu. Moins enclin à l'humour, plus sérieux, moins innocent, moins tourné vers le délire, une critique de la société moins parodique et un avant goût de ce que sera Harry Potter plus tard (ça s'était marrant de trouver cette aspect présent déjà dans Pratchett, ça remet les choses en ordre).
Non pas que l'histoire soit sans intérêt mais abordée avec plus de sérieux. On attend un délire qui n'arrive que rarement.
Un tome punchy et infiniment drôle, avec en arrière-plan une dénonciation assez criante de la société qui fait plaisir à voir. Le personnage de Mémé Ciredutemps est juste extra, j'aime énormément son côté cynique. Hâte de poursuivre ma lecture du cycle des sorcières !
Résumé
Sentant venir sa mort prochaine, le mage Tambour Billette organise la transmission de ses pouvoirs, de son bourdon, de son fonds de commerce. Nous sommes sur le Disque-Monde (vous y êtes ? Nous y sommes). La succession s'y effectue de huitième fils en huitième fils. Logique. Ainsi opère le mage. Puis il meurt. Or, il apparaît que le huitième fils est cette fois... une fille. Stupeur, désarroi, confusion : jamais on n'a vu pareille incongruité. Trop tard, la transmission s'est accomplie au profit de la petite Eskarina. Elle entame son apprentissage sous la houlette rétive de la sorcière Mémé Ciredutemps... Après " La huitième couleur " et " Le huitième sortilège ", voici la troisième " Huitième ". Ne craignez pas la réplétion :comme tant d'autres avant vous, " vous en redemanderez ", selon l'incontournable adage de Jérôme Bosch.
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