Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
Le vent, l'orage et les éclairs... Tout cela dans l'horreur d'une profonde nuit. Une de ces nuits, peut-être, où les dieux manipulent les hommes comme des pions sur l'échiquier du destin. Au coeur des éléments déchaînés luisait un feu, telle la folie dans l'oeil d'une fouine. Il éclairait trois silhouettes voûtées. Tandis que bouillonnait le chaudron, une voix effrayante criailla : "Quand nous revoyons-nous, toutes les trois ?" Une autre voix, plus naturelle, répondit : "Ben, moi j'peux mardi prochain." Rois, nains, bandits, démons, héritiers du trône, bouffons, trolls, usurpateurs, fantômes, tous sont au rendez-vous. Shakespeare n'en aurait pas rêvé autant. Ou peut-être que si ? Mais l'avantage du roman par rapport au théâtre c'est que l'on peut s'autoriser beaucoup, beaucoup plus de personnages. Et même le ravitaillement en vol d'un balai de sorcière !
- Ce n'est pas moi, vous savez, dit le duc très vite. Il a glissé et il est tombé. C'est tout. Glissé et tombé. Je n'y étais même pas. Il m'a agressé. C'était de la légitime défense. Voilà. Il a glissé et il est tombé sur sa propre dague en légitime défense.
Encore un tome sympa du disque monde ; mais l'histoire ne m'a pas emballée cette fois-ci. L'écriture est toujours aussi subtilement drôle (et parfois sans être subtile) et c'est agréable de retrouver des personnages que l'on connait. J'aime aussi la cohérence dans l'absurde du fonctionnement du disque monde !
Encore une histoire menée par une plume de maître et des personnages géniaux. Un plaisir que de retrouver Mémé Ciredutemps qui rayonne encore mieux que dans la Huitième Fille. Je ne sais pas si c'était le cas dans les tomes précédents, mais on sent un fond beaucoup plus sérieux à travers les aventures folles. La folie, le pouvoir, la destinée... Je m'y attendais pas mais j'ai adoré !
Ce petit livre est un condensé de bonnes idées, je ne suis pas fan de fantasy mais Terry Pratchett est au-dessus de ça et cet humour anglais… j’adore !
Pour le moment c’est le meilleur roman de cet auteur que j’ai lu, il s’adresse aussi bien au jeune public qu’aux adultes. L’enfant rêvera de ce monde rempli de magie tandis que l’adulte verra les clins d’œil fait à Shakespeare. C’était franchement très drôle, la figure de la sorcière dans ce roman est magique, sans mauvais jeu de mot, c’est fin et caricatural à la fois, l’auteur arrive à jouer avec les codes sans se prendre les pieds dedans. On ne s’ennuie pas en le lisant, pas une seconde sans une action barrée de la part des personnages. D’ailleurs, en parlant d’eux, ils sont tous touchant à leurs façons, drolatiques et crédible dans un univers aussi vaste que les Annales du Disque-Monde. A lire et à relire !
6eme tome des Annales du Disque-Monde, on découvre ici trois nouvelles héroïnes des plus cocasses : des sorcieres qui vont tout faire pour sauver un royaume d'un nouveau roi qui ne se contente pas de brûler juste quelques chaumières !
Il y a une chose qui est claire, pour lire et savourer Pratchett, il faut être dans une humeur particulière , détente, légère. Ça fuse dans tous les sens, presque chaque phrase a une vanne et après avoir lu plus de la moitié du livre, j'ai bloqué. Attention, pas parce que le roman est devenu mauvais, mais parce que je n'avais plus l'esprit dedans. Surtout que je pense aux ces trois sorcieres ont été jusque là mes personnages préférés de l'auteur (sans oublier la Mort). Mais j'aurai mis presque 10 mois !!!! pour le terminer .
Ps: on a ici un super belle hommage au théâtre qui ait fait, la force des mots...
Décidément, ces trois Sœurcières sont vraiment attachantes. Je ne me lasse pas de leurs aventures déjantées et des répliques tordantes qu'elles s'échangent.
J'ai dévoré ce tome en une journée. L'écriture est très fluide et même si je n'ai pas compris toutes les références à Shakespeare, j'ai quand même passé un très bon moment.
Rois, fous, sorcières, esprits de la nature animent cette histoire. Une grande pièce de théâtre où la vie imite l'art (et vice versa), avec beaucoup de références et d'humour.
Encore un bon Pratchett. Celui-ci m'a semblé plus mûr et sérieux que ceux que j'ai pu lire auparavant, autant que Pratchett le peut bien entendu. Je pense que c'est dû au personnage de Mémé Ciredutemps qui a cet aspect de caractère à l'opposé de notre Mage Rincevent (où là l'histoire peut partir dans tous les sens). Et au personnage du duc plutôt noir que comique. C'est un bon équilibre pour une série addictive ! L'histoire autour des fantômes des rois m'a rappelé Gaiman et Stardust. Un clin d'œil sûrement ;) les personnages sont toujours aussi attachant et même si l'intrigue principale est plutôt attendue la façon de ficeler tout ça et de le décrire est au top. Il me tarde de me plonger dans une autre de ses œuvres.
La lecture de cet épisode m'a été plutôt agréable (oui, j'ai du mal avec cette gamme, malgré l'humour et l'ambiance). Je n'avais pourtant pas spécialement les références.
Résumé
Le vent, l'orage et les éclairs... Tout cela dans l'horreur d'une profonde nuit. Une de ces nuits, peut-être, où les dieux manipulent les hommes comme des pions sur l'échiquier du destin. Au coeur des éléments déchaînés luisait un feu, telle la folie dans l'oeil d'une fouine. Il éclairait trois silhouettes voûtées. Tandis que bouillonnait le chaudron, une voix effrayante criailla : "Quand nous revoyons-nous, toutes les trois ?" Une autre voix, plus naturelle, répondit : "Ben, moi j'peux mardi prochain." Rois, nains, bandits, démons, héritiers du trône, bouffons, trolls, usurpateurs, fantômes, tous sont au rendez-vous. Shakespeare n'en aurait pas rêvé autant. Ou peut-être que si ? Mais l'avantage du roman par rapport au théâtre c'est que l'on peut s'autoriser beaucoup, beaucoup plus de personnages. Et même le ravitaillement en vol d'un balai de sorcière !
Afficher en entier