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"Allongé sur une civière, le visage détruit par ses frères, son treillis déchiré et taché de sang, Bart ressemblait plus a un pitoyable SDF qu'a un héros de film américain et je pris conscience tout a coup que l’héroïsme pouvait avoir bien des visages.

Son courage valait bien plus que bien des hommes."

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Dialogue entre un gendarme, Césarine et Sara.

Gendarme : Alors comme ça, jeunes demoiselles, on joue les filles de l'air?

Césarine : ...Non, ma maman c'est la dame qui est debout là-bas et mon papa est mort, mais ce n'était pas de l'air.

Sara : En l'air on... a vuuu des canaards.

Gendarme : Heuuu... je voulais juste savoir pourquoi vous aviez choisi de vous évanouir comme ça dans la nature.

Césarine : On ne s'est pas évanouies sinon on serait tombées par terre, comme maman quand vous êtes venus nous dire que papa était "parti". Sauf qu'il n'était pas parti parce qu'il est mort.

Sara : Et aussi... Bammmbi est paarti.

Gendarme (un peu effrayé) : Chef, la petite, là, elle dit que quelqu'un est décédé.

Césarine : Pas quelqu'un, mon père ! Et vous le savez bien vu que vous êtes venus nous le dire à l'appartement. Enfin, peut-être pas vous mais quelqu'un qui avait le même pantalon et les mêmes chaussures que vous.

Sara : Et il y avait un jooli laapin, mais il a eu peur.

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Maman avait dit qu'elle était pressée et qu'on avait "pas le choix" ( ce qui est idiot parce qu'on a TOUJOURS le choix, c'est juste qu'on n'est pas toujours prêt à en accepter les CONSÉQUENCES), alors je suis rentrée dans le métro.

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Aussi, quand les médecins, la mine grave, ont fini par nous annoncer que Césarine était autiste en la regardant comme un animal de foire, j'ai bugué ; j'ai entendu "artiste" et, tout content de la bonne nouvelle, j'ai demandé aux guignols en blouse blanche :

- Super ! Mais elle est artiste de quoi ? Artiste peintre ? Artiste de cirque ?

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Césarine ne s'était pas trompée et là, comme lors de tous nos déplacements motorisés, elle jouait au GPS et agaçait tous le monde :

-Plus que 326 kilomètres, dont 250 d'autoroute, 63 de nationale et 13 de départementale. Il nous reste 27 litres d'essence et en roulant à la vitesse constante de 110 km/h, il faudra s'arrêter dans 1 h 47 environ - pause - PLus que 325 kilomètres, dont 249 d'autoroute, 63 de nationale et 13 de départementale...

Tout ça dit de sa petite voix haut perchée et monocorde sans qu'elle cesse une seconde de psalmodier en fixant la route d'un regard halluciné.

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-Donc, poursuivit De Vergy en embrassant les rayonnages surchargés d'ouvrages d'un regard circulaire, le livre est un objet technique prolongeant les capacités humaines de communication au-delà de l'espace et du temps, qui permet de transmettre du sens selon une forme matérielle particulière, tandis que les techniques de fabrication utilisées pour le concevoir conduisent à en fixer définitivement le contenu. Le livre, c'est l'immortalité d'une pensée, d'une époque, d'un auteur. Le livre nous décrit notre passé, fixe notre présent et préfigure notre futur. Le plus merveilleux, c'est aussi que le livre est universellement reconnu comme tel par des penseurs de toutes les civilisations.

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Quand je pense qu'avant ma naissance elle était archéologue comme Lara Croft ou Indiana Jons, ça, c'était la classe. Soi-disant qu'elle a arrêté pour s'occuper de nous mais ça ne l'a pas empêché de nous affubler de prénoms d'empereurs. Heureusement qu'elle état spécialisée en histoire romaine, si elle avait été égyptologue .... au lieu d'Auguste et Césarine, elle nous aurait peut-être appelés Ramsès et Cléopâtre !

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C'est probablement un bon exemple de ce que mon prof de français appellerait "un drame cornélien", mais moi j'appelle ça "une situation de merde".

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Dans les films, je n'ai jamais compris pourquoi les méchants perdent leur temps à parler avant d'asséner le coup final, c'est inutile et stupide, vu qu'à chaque fois le gentil en profite pour s'échapper. En fait, le problème des méchants, c'est leur orgueil : gagner ne leur suffit pas, ils veulent aussi se la péter devant leur adversaire et ça... ben c'est pas une bonne idée. C'est pourquoi la première leçon de maître Akitori était "l'humilité" : ne jamais penser qu'on est vainqueur... avant d'être vainqueur.

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Je me sens comme un puzzle auquel il manque une pièce ; c'est une "comparaison", ce que je veux dire c'est que quand il manque une pièce dans un puzzle, on ne peut pas voir l'image en entier, il en "manque" un bout ; du coup, même si on peut "imaginer" le résultat en reconstituant le morceau manquant dans sa tête, ce n'est pas pareil. L'image est gâchée et on a beau faire, la seule chose qu'on voit, c'est le petit trou vide. C'est une absence, comme un sentiment d'inachevé. Voilà, c'est ça, je crois que Sara me "manque". Je suis un puzzle avec un trou. Un trou qui s'appelle Sara. (Césarine)

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