Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 944
Membres
1 008 913

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Journal de Césarine :

" Quelle que soit l'époque, les garçons sont des idiots et c'cest tout."

Afficher en entier

"Ne crois pas que j'ai de l'affection pour toi mais si tu meurs, je te tue."

Inès

Afficher en entier

"Comme un con, j'ai souri ; elle a suivi mon regard ; elle a rougi ; moi aussi, et avant que j'ai le temps de la voir venir je me suis pris la plus belle gifle de ma vie... Et Inès m'a claqué la porte au nez en me laissant comme un con au milieu d'un couloir rempli de gonzesses mortes de rire."

Afficher en entier

Faut avouer que, question parfum, " Fleur de zombi" ça commençait à devenir lassant !

Afficher en entier

''Journal de Césarine

Quand Inès a ouvert le Livre j'ai tout de suite compris qu'il y avait un problème parce qu'elle faisait exactement la même tête que les gens à qui je parle pour la première fois ( un air bizarre, avec des paupières qui clignent et la mâchoire inférieure qui refuse de se fermer ).

Inès était su surprise qu'elle à même secoué la tête deux fois avant de regarder à nouveau le Livre comme pour se persuader qu'elle avait bien vu ce qu'elle avait vu et, évidemment, c'était le cas.

Une fois qu'elle me l'a passé j'ai mieux compris pourquoi : c'est parce qu'à l'intérieur de la très vieille couverture de cuivre il n'y avait pas de Livre..Spoiler(cliquez pour révéler)mais un miroir.

Afficher en entier

Tu dira à ta larve puante de copain qu'ELLE était venue se présenter, mais que comme ELLE ne fait pas dans l'humanitaire ELLE va repartir pour trouver des gens qui ne pleurnichent pas sur leur sort comme des gamins hystériques et qui sont prêts à se battre pour sauver la Confrérie. Au passage, dis-lui aussi que s'il ose s'approcher de moi à moins de cinq mètres sans avoir pris de douche je me chargerai moi-même de lui apprendre les règles d'hygiène de base, ajouta-t-elle en fronçant les narines d'un air dégoûté avant de quitter la pièce en claquant la porte.

Afficher en entier

À peine avons-nous franchi la porte et pénétré dans la grotte qu'une équipe d'Autodafeurs en combinaisons noires a émergé du tunnel sous-marin. Ils étaient quatre: trois super baraques et un quatrième moins costaud qui arracha son masque et s'avança vers moi en beuglant dès qu'il me vit.

-Laissez-le-moi ! Murphy a promis, cette petite ordure est pour moi !

Je sursautai; malgré la cagoule de plongée qui masquait partiellement son visage, cette délicate voix de bourrin ne laissait aucun doute sur l'identité de son propriétaire.

-BG!

Oui, je sais, j'aurais pu faire mieux que de juste crier bêtement son nom. Par exemple un truc du genre:

Emphatique: Entre ici, Bernard-Gui, avec ton terrible cortège...

Ironique: Tiens, je ne savais pas que la conférence annuelle des gros cons se tenait dans le coin !?

Courtois: BG, quel plaisir de te revoir, et comment va ton père ?

Grossier: Je savais que la merde flottait, maid grâce à toi je découvre qu'en plus elle sait nager.

Poétique: Un jour comme celui-ci, de sang tombé du ciel,

Au beau milieu de troupes d'azur et de chevaux bipèdes,

La masse écumeuse du grand large

Créa BG qui, telle une vague, surgit de l'onde marine.

Afficher en entier

Vous, je ne sais pas, mais moi, quand je lis un livre ou quand je regarde un film, je me demande souvent quelle taille fait la vessie des héros parce que les mecs (ou les filles d'ailleurs) on ne les voit JAMAIS aller aux toilettes. Genre, ils sauvent le monde sans pisser une seule fois. Alors pour Harry Potter passe encore, je me dis qu'il a peut-être une formule magique du style pissum disparum ou merdo evacuo, mais les autres ? La princesse Leia, quand elle est prisonnière de l'Etoile noire, vous pouvez vérifier, y a pas de WC dans sa cellule, alors elle fait comment ? Et le comte de Monte-Cristo dans sa geôle c'est pareil, d'ailleurs je suis certain que cette histoire d'évasion pour se venger c'est du flan... le mec il en avait juste marre de pisser dans un seau et c'est pour ça qu'il s'est tiré ! Cherchez bien, vous verrez que même les héros les plus modernes, comme ceux d'Hunger Games... ben ils ne pissent pas; ils passent des jours à se battre, à s'entretuer et à s'embrasser... mais jamais il y en a un qui s'éloigne pour avoir un peu d'intimité !

Afficher en entier

Nous étions déjà à une dizaine de mètres sous l'eau quand Inès m'attrapa par le col et se mit à battre frénétiquement des jambes pour me tirer vers la surface. C'était du suicide, ses rangers l'empêchaient de nager avec efficacité et mon poids l'entraînait vers le fond; si elle ne me lâchait pas tout de suite, jamais elle n'arriverait à s'en sortir et cette prise de conscience m'a donné le coup de fouet nécessaire pour que je me secoue. Je refusais d'être responsable de la mort d'une autre personne.

J'ai bandé mes muscles de toutes mes forces, encore et encore et, d'un seul coup, j'ai senti céder le lien de plastique qui enserrait mes poignets.

Il paraît qu'en cas de situation critique le corpd humain est capable de se dépasser en sécrétant d'un coup une dose d'adrénaline tellement forte qu'elle vous rend capable de soulever des voitures; c'est exactement ce qui a dû m'arriver à ce moment-là.

Je n'avais presque plus d'air dans les poumons, mais l'énergie du désespoir m'a propulsé en avant avec plus d'efficacité qu'un moteur de dragster et, saisissant à mon tour Inès par le col de son tee-shirt, je l'ai tirée à ma suite vers la lumière ...

À six mètres, mes poumons brûlaient.

À quatre, j'ai senti qu'Inès ne bougeait plus.

À trois, des points noirs se sont mis à danser devant mes yeux.

À deux ... j'ai commencé à avoir des hallucinations et j'ai pensé qu'il y avait vraiment des choses plus agréables à voir avant de mourir que la tronche d'un prof.

Afficher en entier

Journal de Césarine

Le garde ne m'a pas vue venir. Assis sur son fauteuil pivotant, il était trop occupé à annuler les programmations de l'ami de mon frère pour s' occuper d'autre chose. Je n'ai eu aucun mal à arriver derrière lui sans qu'il s' en aperçoive pour appuyer sur sa jugulaire et le plonger dans le sommeil.

J'ai détaché Néné et il a utilisé ses liens pour ligoter le garde avant de le pousser à l'autre bout de la pièce et de prendre sa place devant les moniteurs.

Le visage de Néné était tout abîmé mais il n'en a pas parlé, il s'est mis à pianoter à toute vitesse sur les claviers et au bout de deux minutes, grâce aux caméras placées dans toute la maison, il me résumait la situation:

-Mon frère et les BCG étaient dans le bureau de Murphy.

-Les filles et Bart étaient coincés dans les couloirs des cellules, dont les portes étaient toujours fermées.

-Deux équipes de gardes étaient en train de se positionner devant les portes des couloirs pour les prendre à revers.

Seul Rama n'apparaissait sur aucun écran, mais ça ne pouvait signifier qu'une chose : il était à l'intérieur de la salle banche... sauf que je ne comprenais pas comment il avait fait pour y arriver tout seul vu que mon frère et les BCG étaient dans le bureau de Murphy.

Néné a fait défiler les enregistrements et , même sans le son, j'ai comprisqqu'ils étaient tombés dans un piège.

Nous étions les seuld à pouvoir faire quelque chose, même que quand, sur l'écran, j'ai vu BG, puis mon frere, s' affaler au sol en tremblant dans tous les sens, j'ai compris que c'était assez urgent.

Néné, que je n'avais jamais vu aussi concentré, est allé donner des claquesau garde pour le réveiller avant de lui demander de " cracher le code d'ouverture des portes des cellules s' il tenait à la vie" ( ce qui est un peu idiot parce que je ne pense pas que cracher sur l'ordinateur change quoi que ce soit au problème, mais vu qu'on était pressés je n'ai rien dit ).

Mais l'ami de mon frère est trop gentil et , malgré son visage plein de sang, il ne faisait pas vraiment peur et ses claques n'étaient pas assez fortes, alors je lui ai dit qu'il manquait d'efficacité et je me suis avancée.

Pour une fois, le garde n'a pas rigolé, j'ai même vu qu'il avait peur, ce qui m'a fait plaisir car c'était la preuve qu'il ne me sous-estimait pas, et je lui ai demandé pourquoi.

Il m'a répondu un truc idiot à propos de " bruits qui couraient sur moi ", alors je lui ai demandé de préciser et il m'a traitée de " monstre psychopathe ".

Je n'ai pas aimé. Je suis une ARTISTE, pas un MONSTRE. Je suis logique, je fais ce qui doit être fait et c'est ce que je lui ai calmement expliqué avant d'ajouter, encore plus calmement, que je VOULAIS les codes des cellules, que je les voulais MAINTENANT et qu'il allait me les donner parce qu'autrement je serais OBLIGÉE de faire quelque chose qu'il nallait pas aimer.

Quand j'ai arrêté de parler, le garde était tout blanc et il me regardait en ouvrant la bouche comme s'il manquait d'air, mais il m'a donné le code sans hésiter parce que, moi, je lui faisais VRAIMENT peur.

Une minute après, toutes les portes des cellules s' ouvraient en même temps et les hommes de Murphy ont eu une drôle de surprise en pénétrant dans les couloirs.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode