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"Pendant que papi et mamie mourraient, que maman tombait dans le coma et que mon frère sauvait les archives de la Confrérie, moi j'étais chez Sara car maman n'avait pas voulu que je vienne avec eux. Évidemment, même si c'était gentil de leur part de ne pas vouloir que je meure, c'était aussi idiot vu que leur opération ne s'est pas bien passée.
Non pas que je pense que si j'avais été là, ça aurait changé quelque chose (enfin, si, je le pense) mais surtout j'aurais pu AGIR et essayer de sauver papi et mamie ; alors que maintenant qu'ils sont morts, je ne peux rien faire. J'ai été INUTILE et je n'aime pas ça. Du tout.
Du coup, j'ai décidé de prendre les choses en main et de ne plus jamais me laisser mettre à l'écart."
Césarine Mars
P.-S. : Ce que ma soeur a oublié de vous dire, c'est que ce serait aussi plus simple si elle ne nous cachait pas sans arrêt des choses ; donc, en plus d'être une artiste, elle est aussi sacrément agaçante.
On continue de suivre August et sa sœur, Cesarine, dans la découverte de leur patrimoine familial, leur a beaucoup coûter. Ils vont devoir vivre avec, en apprendre plus sur cette société secrète qui les menaces et le rôle qu’ils vont devoir jouer là dedans.
Dans ce deuxième tome, Marine CARTERON, aborde d’une belle manière le deuil, la différence, la famille, la quête d’identité.
Elle aborde aussi l’importance de la connaissance dans de la connaissance et de la culture pour notre libre arbitre et liberté de pensé.
Le seul petit point négatif c’est que j’ai trouvé certains moments assez long par rapport au premier.
Je pensais avoir déjà lu ce second tome étant plus jeune mais aucun souvenir ne s'est réactivé lors de cette lecture, alors je devais me tromper. Je ressors très mitigée de ce roman. J'ai eu du mal avec le début que j'ai trouvé trop centré sur la vie adolescente d'Auguste. Les passages avec Marie-Lou m'ont même été pénibles à lire, déjà car ce personnage est assez détestable tant il est caricatural, et ensuite parce que les réflexions d'Augustus sur son physique m'ont heurtée. Je comprends parfaitement qu'il ne l'apprécie pas au vu des faits, et même qu'il la déteste, mais alors qu'il l'insulte sur sa personnalité, qu'il la traite de "connasse" s'il le souhaite, mais pas de "monstre" ou de dire à quel point il la trouve affreusement laide. Je conçois que cela puisse être un réflexe adolescent mais dans un livre, l'auteur pourrait montrer un plus d'exemplarité. Je pensais pourtant dans les tout premiers chapitres qu'il avait fait l'objet d'une évolution intéressante mais cette vie adolescente m'a tout gâché. Tout comme la remarque homophobe de Néné dans un passage qui m'a prise au dépourvu ! J'ai même trouvé ça inconsistant avec son caractère. Ca m'a clairement gâché une longue partie du roman. Je n'avais pas envie d'y retourner.
De l'autre côté, les passages du journal de Césarine m'ont beaucoup touché. Je la trouve terriblement attachante et intelligente. Sa relation avec Sara est magnifique, une des plus belles amitiés fictionnelles que je connaisse, et l'évolution de sa relation avec son frère est également très intéressante. La représentation de l'autisme est loin d'être parfaite toutefois, la crise de Césarine ressemble plus à un caprice qu'à une réaction de personne autiste dépassée par des émotions qu'elle ne peut ni analyser ni canaliser, et elle se transforme en machine de guerre d'une façon assez absurde qui ne peut renforcer le mythe du génie autisme. Je ne suis pas sûre qu'une telle représentation ne fasse que du bien aux personnes TSA, mais cela n'a pas pour autant rendu ma lecture pénible.
Outre l'attrait du personnage de Césarine, les extraits de son journal s'intégraient bien plus dans l'évolution de l'intrigue alors qu'elle était négligeable dans ceux d'Auguste. On comprend les raisons de l'auteur mais tout de même à sa place j'aurais compressé ces passages. La seconde moitié du roman m'a plus embarquée, mais cela ne fait que confirmer ce défaut du tome passerelle. Tout ce qui tourne autour de l'intrigue principale et des livres me plaît énormément : j'ai adoré l'explication historique de Marc sur les projets des Autodafeurs au début du roman qui répond à une critique que je faisais au premier tome. Nous obtenons beaucoup d'informations sur le fonctionnement de la Confrérie et de ses ennemis, sur les plans des Autodafeurs ... Mais sans que l'intrigue n'avance vraiment. Et si tout cela s'explique dans le récit par l'impossibilité pour Auguste de quitter l'enceinte du lycée cela manque de piment.
Je laisserait sa chance au 3ème tome mais j'ai bien peur d'être déçue.
Le deuxième tome se montre à la hauteur du premier. J'aime toujours autant cette fine équipe de jeunes motivés. Cela me rappelle mes lectures de Cherub ou bienHenderson's boy où l'union des gamins fait la force.
Un deuxième tome plus irrésistible que le tome 1 malgré que ce soit un livre young adult même pour adolescents celui ci vous captive du début à la fin grâce au rythme de l'action, l'humour très présent et malgré tout un suspens bien présent. Un livre de détente que je recommande pour les adultes, et, un livre à lire car c'est très bien écrit pour les adolescents
Un deuxième tome tout aussi parfait que le premier avec de belles références qui nous font apprendre toujours plus de choses... Un régal encore une fois !
J’avais beaucoup aimé le premier tome et celui-ci continue sur la même lancée. L’humour est pour moi le gros plus de cette saga, toujours dans la blague, j’ai rit sans me retenir plus d’une fois. (surtout devant les bêtises de Néné) Rien que pour ça (et les personnages incroyables aussi) je la conseille ! En parlant des personnages, parlons des personnages. Ils sont travailler, attachants et évolue beaucoup durant ce tome. J’ai adoré les deux personnages principaux Auguste et Césarine. Leur relation m’a touché, mais je l’ai trouvé pas autant approfondis que je l'espérait. Néné est un des personnages que j’ai beaucoup aimé, son humour à tout fait. Césarine reste malgré tout mon personnage préféré, je n’avais absolument pas prévu cette évolution pour elle, même si Auguste est remonté dans mon estime avec ses réflexions sur la valeur de la vie etc… L’humour enfantin, les héros qui tournent autour de 7 à 15 ans ont fait dissonance avec les nombreux meurtres, mais ça ne m’a pas dérangé plus que ça. L’intrigue que j’avais trouvé bancale au premier tome, s’affine pour nous donner un but que j’ai hâte de découvrir. L’écriture est fluide et accessible.
Pour finir je dirais que c’est une histoire sans prise de tête que l’on peut lire à tout âge avec des personnages géniaux !
Résumé
"Pendant que papi et mamie mourraient, que maman tombait dans le coma et que mon frère sauvait les archives de la Confrérie, moi j'étais chez Sara car maman n'avait pas voulu que je vienne avec eux. Évidemment, même si c'était gentil de leur part de ne pas vouloir que je meure, c'était aussi idiot vu que leur opération ne s'est pas bien passée.
Non pas que je pense que si j'avais été là, ça aurait changé quelque chose (enfin, si, je le pense) mais surtout j'aurais pu AGIR et essayer de sauver papi et mamie ; alors que maintenant qu'ils sont morts, je ne peux rien faire. J'ai été INUTILE et je n'aime pas ça. Du tout.
Du coup, j'ai décidé de prendre les choses en main et de ne plus jamais me laisser mettre à l'écart."
Césarine Mars
P.-S. : Ce que ma soeur a oublié de vous dire, c'est que ce serait aussi plus simple si elle ne nous cachait pas sans arrêt des choses ; donc, en plus d'être une artiste, elle est aussi sacrément agaçante.
Auguste Mars
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