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Aliette parlant de Roselyne

Et, comme lors de notre première rencontre, la dinde me bondit dessus, ravie de pouvoir tâter mes formes en se pressant contre moi. J'avais l'impression qu'en réalité, en plus d'être une jalouse compulsive et une hystérique, elle sautait sur tout ce qui bouge. Maintenant, je me posais réellement des questions à son sujet. Était-elle nymphomane ?

Mon intuition se confirma lorsque j'eus la brève vision de son lit par l'ouverture de la porte : deux hommes et une femme entièrement nus et... se prenant pour un jambon-beurre ? Fichtre ! Je ne savais même pas qu'on pouvait faire ça. C'était cochon, non ?

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— N'oublie pas de m'apporter la gazette du Père-Lachaise de ce matin, ma petite andouille, demandai-je à Lawrence en m'éloignant.

— Comme d'habitude...

La gazette du Père-Lachaise était un journal rédigé par un groupe de vampires vivants dans les souterrains du cimetière. On y retraçait toutes les nouvelles importantes, les annonces et les faits divers concernant les créatures non humaines. Ainsi, pas plus tard que la semaine dernière, j'avais appris qu'un somptueux mariage avait eu lieu entre un prince et une princesse de la Cour des Seelies de Sydney.

Vous rendez-vous compte ? À peine deux jours après la cérémonie, la mariée demandait le divorce parce que Monsieur l'avait trompée avec une servante. Quelle honte ! En même temps, c'était des Seelies... Tout comme les vampires, il ne fallait pas leur demander autre chose que de penser avec leur baguette magique. Mais tout de même !

Deux jours, quoi !

Bon, j'avouais que les articles dans ce papelard qui m'intéressaient étaient ceux qui rapportaient les ragots bien croustillants. « Typiquement féminin ! » m'avait sorti une fois l'Amerloque, complètement scandalisé. Ben oui, j'étais une vraie commère par moments.

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Mais bon, le jour où les têtus comme moi changeront d'avis, il pleuvra des crapauds en plein désert !

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Une minute plus tard, je pourchassais cet énergumène avec mon nouveau joujou en main : un Browning « baby » gentiment offert par Monsieur l'Amerloque. Allez donc savoir pourquoi ce Yankee m'avait choisi une arme de Lilliputien - et je vous défends de dire que c'était parce qu'il avait respecté l'échelle ! En tout cas, ce pistolet m'allait très bien et, pour en revenir au vampire qui me défiait à la course, lui ne faisait pas la différence entre celle-ci et une autre. Des balles en argent restaient des balles en argent, et son derrière n'avait pas envie de me servir de cible !

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Son souffle caressa délicieusement ma peau et, sans que je m'y attende, Lawrence enfouit son nez dans mes cheveux. Puis, le bout de sa langue glissa sur mon oreille. Ses dents agrippèrent doucement mon lobe, tandis qu'il le suçotait. Je fus si surprise par cette succulente attention que mon intimité se contracta violemment, réclamant que Lawrence la remplisse. J'entrouvris les lèvres pour soupirer de plaisir et penchai la tête sur le côté, afin de lui faciliter l'accès. Ses baisers suivirent ma carotide, pendant que je plaquais mes fesses contre son érection.

source site "dans notre petite bulle"

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Je n'étais pas née de la dernière pluie. Et puis..., il ne fallait pas pousser mémé dans les orties, je savais me défendre ! Je n'étais pas une Renoir pour rien, hein ? Maintenant que j'avais refoulé mes peurs, j'étais certaine de réussir au moins à empaler un vampire un peu trop collant. Enfin, empaler était un bien grand mot... Disons, lui planter une fourchette dans les yeux, au pire, lui fracasser les joyeuses... En plus, avec le joujou que Lawrence m'avait offert, je me sentais nettement mieux, car je savais viser malgré ce qu'on pouvait penser. Comment ça, vous ne me croyez pas ?

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"Ce vieux sénile me scruta à nouveau :

_ Bien..., maintenant que j'ai dévoilé toutes mes cartes, Aliette, tu vas devoir me dire comment tu as fait pour te servir de la goétie.

_ Et vous ne voulez pas aussi que je vous donne la recette du pot-au-feu?

_ Je préfère la choucroute. Arrête de jouer, dis-le-moi.

_ Non.

L'expression du professeur devint tout à coup menaçante.

_ Grieshmann! gronda-t-il.

Ce dernier acquiesça et alla chercher un petit chariot à roulettes, où étaient disposés un récipient en métal, des seringues en verre, du coton, de l'éther et trois flacons.

Bon, OK, je risquais de ne pas trop apprécier ce qui allait suivre. Peut-être que j'aurais dû marchander de la blanquette de veau..."

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Comme quoi, l'habit ne fait pas le moine, mais ne pas avoir l'air d'une bonne sœur ouvre tous les cœurs... ou les portes.

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Puis, le bout de sa langue glissa sur mon oreille. Ses dents agrippèrent doucement mon lobe, tandis qu'il le suçotait. Je fus si surprise par cette succulente attention que mon intimité se contracta violemment, réclamant que Lawrence la remplisse. J'entrouvris les lèvres pour soupirer de plaisir et penchai la tête sur le côté, afin de lui faciliter l'accès. Ses baisers suivirent ma carotide, pendant que je plaquais mes fesses contre son érection.

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-Moi, dans tout ça, j’ai évoluer.

J'ai toujours la même trogne et le même caractère de cochon.

j’aurait bien voulu grandir un petit peu, mais bon. ...

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