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C'est ainsi que Foulques tua son premier homme avant d'aider ses compagnons à achever les blessés, embrochés comme des oisillons afin de servir d'exemple. Il n'y eut pourtant aucun butin à prendre, car les bandits ne possédaient rien, sinon leurs épieux et des couteaux. Trois de leurs lames furent remises à Flore et aux deux autres femmes par Payen.
L'épreuve eut le mérite de solidariser la troupe. Les deux chevaliers parurent satisfaits du comportement de leurs hommes et ces derniers furent rassurés sur leur aptitude à combattre. Finalement, ce n'était pas difficile de tuer.
Afficher en entierDès le début de l'islam, les musulmans se divisèrent sur le choix du guide - l'imam - qui succéderait à Mahomet. Après la mort du sixième imam, des fidèles choisirent Ismaël et prirent le nom d'ismaéliens. Cette proclamation entraîna une scission et la mise en place de deux califats, celui chiite et fatimide, du Caire, d'obédience ismaélienne, et celui, abbasside, de Bagdad, d'obédience sunnite.
En 1094, le califat du Caire fut marqué par un autre schisme.
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Afficher en entierA mesure qu'il parlait, il voyait les sentiments du roi et de Mauluc se succéder sur leur visage : la curiosité, l'intérêt, la contrariété et enfin la colère en apprenant qu'il avait libéré Alaric contre du vent.
- Par le cul de Dieu ! Tu es un maître sot, Le Maçon ! intervint alors le roi, les poings serrés. Qu'on le mette à la giguedouille !
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- Ce n'est que justice, approuva Alexandre. Il n'appartient pas aux religieux de s'immiscer dans les affaires des rois ou des princes, ou de se mêler du gouvernement.
- Pourquoi ? [...]
- Le Seigneur n'a donné à l'apôtre Pierre d'autre puissance que celle qui doit s'exercer sur l’Église, répliqua Alexandre.
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