Extraits

Mais… ne pensez-vous pas, mon général, qu’il vaudrait mieux le nommer caporal ? Nous n’en avons que quarante-neuf, alors qu’il y a déjà trois mille quatre cents quatre-vingt-sept colonels.

Vous comprenez, moi, j'ai déjà été fusillé trois fois ! Alors, une fois de plus, vous comprenez ? ça m'est égal, j'y suis habitué !

Toréador en ga-a-a-arde ! Toréador ! Toréador !

Bonjour, Monsieur. Pourriez-vous me dire qui vous a procuré ces deux fétiches ?

Ah, voui, les teux bédits védiches ... Qui me les a brogurés ? ...

- D'ailleurs... ceci entre nous, n'est-ce pas, ce n'est pas un homme. Non. Ni une femme. C'est... une omelette.

- ?

- ?

- Ah! Ah! ah! Elle est bien bonne ! Et savez-vous pourquoi ?... Parce qu'il se nomme Tortilla, et qu'en espagnol, ce mot signifie...

- ...Omelette, c'est vrai ! Ah ! vieux farceur !

- Ridgewell ? L'explorateur ? Mais tout le monde vous croit mort !

- Tant pis ! Ou plutôt tant mieux, car j'ai décidé de ne plus jamais retourné dans le monde civilisé.

- Veuillez nous excuser, monsieur : un petit contretemps... En attendant, si nous allions prendre l'apéritif ?

- ??... L'apéritif ?... Pourquoi pas, après tout ?

- À votre santé ! Somme toute, être fusillé, ce n'est qu'un mauvais moment à passer, pas vrai ? On aurait tord de prendre ça au tragique.

- Bien sûr !... À votre santé !"

Cette fois, général Alcazar, votre règne touche à sa fin. La liberté ou la mort!

Ah! c'est un oiseau !

Bonjour, Monsieur, à qui ai-je l'honneur ?

Je ...euh..excusez-moi, Monsieur, je suis si distrait. Figurez-vous que je vous avais pris pour un oiseau!

R.W.Chicklet : Je vous ai dit qu’une partie des terrains pétrolifères était située en territoire nuevoriquien. Or, notre société désire les exploiter également : il faudrait donc que vous annexiez cette région.

Tintin : Mais c’est la guerre, cela, Monsieur !

R.W.Chicklet : Hélas ! Oui. Que voulez-vous : on ne fait pas d’omelettes sans casser des œufs, n’est-il pas vrai, colonel ?