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- Tu dis que tu as peur d’échouer. Qu’est-ce que tu répétais à Etta, si souvent que ma membrure en résonne encore ? Quand on a peur d’échouer, on a peur de quelque chose qui n’est pas encore arrivé. On prédit son propre échec, et par l’inaction, on s’y enferme.

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Brashen s’adressa soudain à Ambre : « Ornementale ? » demanda-t-il sur un ton accusateur.

Elle haussa les épaules, et il y avait de l’étonnement dans ses yeux étranges. « J’avais fixé la hache. Je n’aurais jamais pensé qu’il soit capable de la tirer et de l’utiliser. » Elle secoua la tête. « Plus ça va, plus je le trouve bizarre, ce bois-sorcier.

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L'amour peut exister sans le besoin.

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Tu n'es qu'un pitoyable salaud, proféra lentement l'amulette. Tu es devenu Igrot. Tu sais ça ? Pour vaincre le monstre, tu es devenu le monstre.

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Alors, c'est comme ça qu'on fait. Le coeur ralentit, le souffle devient de plus en plus creux. Un poison envahit ta chair; il t'emportera. Mais elle ne m'accorde pas cette grâce. Je n'ai pas de coeur à moi, et le manque d'air ne me fera pas taire à jamais. Elle me garde ici, car elle a besoin de ce que je sais. Je ne peux lui échapper. Ne me laisse pas ici, seule dans le noir. Prends moi avec toi.

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Elle se croyais victime d'un préjudice mais elle était traitée comme l'accusatrice hystérique d'un homme innocent. Si elle parlait de viol, on l'écoutait avec commisération sans partager son indignation.

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" - Cap'taine, cap'taine, le maudit serpent a arraché notre gouvernail. On embarque de l'eau !

- Nous ferions mieux de prendre ce que nous sommes venus chercher et de décamper de ce mouille cul", suggéra Jek joyeusement.

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Le bout du fil doit traverser le nœud de nombreuses fois avant que tout soit dénoué.

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"Console-toi avec ça, Ambre. Tu n'es qu'un petit être à la vie éphémère. Il faudrait être fou pour croire qu'on peut changer le cours du monde."

Elle ne répondit pas puis éclata d'un rire tremblant.

"Oh, Parangon, en cela tu as raison plus que tu ne le crois, mon ami."

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« Un lit dans lequel vous n'avez pas dormi, et une femme intouchée. Le lit vous appartient de droit mais la femme, quoiqu'elle puisse venir à vous avec le temps, ne vous appartiendra jamais tout à fait. Pourtant, c'est votre enfant, car cet enfant n'appartient pas à celui qui l'a fait mais à celui qui le prendra. »

Les significations dansaient autour de lui, comme la pluie qui avait recommencé à tomber. Une petite grêle s'y mêlait, qui rebondissait sur le pont et les épaules de Hiémain. « Vous parlez de l'enfant d'Etta, n'est-ce pas ?

- Vraiment ? » Elle pencha la tête. « Vous devriez le savoir mieux que moi. Les mots me viennent, mais leur sens ne m'appartient pas. Voyez comme vous l'appelez : l'enfant d'Etta, alors que les autres parlent de l'enfant de Kennit. »

Ces paroles l'agacèrent. « Pourquoi ne dirais-je pas l'enfant d'Etta ? Il faut être deux pour faire un enfant. Sa valeur ne tient pas seulement au fait que Kennit soit son père. Quand on l'appelle ainsi, on ne tient pas compte d'Etta. Je vais vous dire ceci, étrangère. A maints égards, elle est plus digne d'être la mère d'un roi que Kennit n'était fait pour être son père. »

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