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Bernard s'est assis dans le sable près de la dame. Quel âge peut-elle avoir ? Entre cinquante et soixante ans ? Elle regarde Bernard. Elle dit :

- Je suis Palmira Diaz Del Belveder. Vos mains sont intéressantes.

D'autorité, elle saisit la main gauche de Bernard. Elle la retourne, paume au-dessus. Elle examine rapidement les lignes principales qui la sillonnent et dit presque à mi-voix, comme si elle parlait à elle-même :

- Je vous vois chez les médecins. En France, à l'étranger. Partout, vous allez à l'hôpital. Mais ce n'est pas pour vous.

Bernard n'apprécie pas beaucoup les hôpitaux. Et ses études le porteraient plus vers la littérature, le théâtre, le cinéma que vers la médecine. Palmira continue d'un ton monocorde, sans émotion apparente :

- Avant que quatre ans soient passés, quelqu'un de votre famille va mourir dans un avion. Mais cela vous laissera assez froid. C'est comme si c'était un parent lointain... Je vois la mort pour vous à cinquante-six ans...

Décidément, Palmira n'est pas une voyante du genre à remonter le moral...

Elle poursuit sa litanie. Sur un thème moins sinistre. Elle annonce des amourettes plus ou moins heureuses, une grande passion qui n'aboutit à rien. Une liaison qui va durer plus de vingt-cinq ans et de l'argent, beaucoup d'argent mais... en fin de carrière.

- Nous verrons bien, conclut Bernard. Et il se lève en s'excusant

- Je dois partir, ma tante déteste que l'on soit en retard pour le déjeuner.

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Bernard s'est assis dans le sable près de la dame. Quel âge peut-elle avoir ? Entre cinquante et soixante ans ? Elle regarde Bernard. Elle dit :

- Je suis Palmira Diaz Del Belveder. Vos mains sont intéressantes.

D'autorité, elle saisit la main gauche de Bernard. Elle la retourne, paume au-dessus. Elle examine rapidement les lignes principales qui la sillonnent et dit presque à mi-voix, comme si elle parlait à elle-même :

- Je vous vois chez les médecins. En France, à l'étranger. Partout, vous allez à l'hôpital. Mais ce n'est pas pour vous.

Bernard n'apprécie pas beaucoup les hôpitaux. Et ses études le porteraient plus vers la littérature, le théâtre, le cinéma que vers la médecine. Palmira continue d'un ton monocorde, sans émotion apparente :

- Avant que quatre ans soient passés, quelqu'un de votre famille va mourir dans un avion. Mais cela vous laissera assez froid. C'est comme si c'était un parent lointain... Je vois la mort pour vous à cinquante-six ans...

Décidément, Palmira n'est pas une voyante du genre à remonter le moral...

Elle poursuit sa litanie. Sur un thème moins sinistre. Elle annonce des amourettes plus ou moins heureuses, une grande passion qui n'aboutit à rien. Une liaison qui va durer plus de vingt-cinq ans et de l'argent, beaucoup d'argent mais... en fin de carrière.

- Nous verrons bien, conclut Bernard. Et il se lève en s'excusant

- Je dois partir, ma tante déteste que l'on soit en retard pour le déjeuner.

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Bernard s'est assis dans le sable près de la dame. Quel âge peut-elle avoir ? Entre cinquante et soixante ans ? Elle regarde Bernard. Elle dit :

- Je suis Palmira Diaz Del Belveder. Vos mains sont intéressantes.

D'autorité, elle saisit la main gauche de Bernard. Elle la retourne, paume au-dessus. Elle examine rapidement les lignes principales qui la sillonnent et dit presque à mi-voix, comme si elle parlait à elle-même :

- Je vous vois chez les médecins. En France, à l'étranger. Partout, vous allez à l'hôpital. Mais ce n'est pas pour vous.

Bernard n'apprécie pas beaucoup les hôpitaux. Et ses études le porteraient plus vers la littérature, le théâtre, le cinéma que vers la médecine. Palmira continue d'un ton monocorde, sans émotion apparente :

- Avant que quatre ans soient passés, quelqu'un de votre famille va mourir dans un avion. Mais cela vous laissera assez froid. C'est comme si c'était un parent lointain... Je vois la mort pour vous à cinquante-six ans...

Décidément, Palmira n'est pas une voyante du genre à remonter le moral...

Elle poursuit sa litanie. Sur un thème moins sinistre. Elle annonce des amourettes plus ou moins heureuses, une grande passion qui n'aboutit à rien. Une liaison qui va durer plus de vingt-cinq ans et de l'argent, beaucoup d'argent mais... en fin de carrière.

- Nous verrons bien, conclut Bernard. Et il se lève en s'excusant

- Je dois partir, ma tante déteste que l'on soit en retard pour le déjeuner.

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Bernard s'est assis dans le sable près de la dame. Quel âge peut-elle avoir ? Entre cinquante et soixante ans ? Elle regarde Bernard. Elle dit :

- Je suis Palmira Diaz Del Belveder. Vos mains sont intéressantes.

D'autorité, elle saisit la main gauche de Bernard. Elle la retourne, paume au-dessus. Elle examine rapidement les lignes principales qui la sillonnent et dit presque à mi-voix, comme si elle parlait à elle-même :

- Je vous vois chez les médecins. En France, à l'étranger. Partout, vous allez à l'hôpital. Mais ce n'est pas pour vous.

Bernard n'apprécie pas beaucoup les hôpitaux. Et ses études le porteraient plus vers la littérature, le théâtre, le cinéma que vers la médecine. Palmira continue d'un ton monocorde, sans émotion apparente :

- Avant que quatre ans soient passés, quelqu'un de votre famille va mourir dans un avion. Mais cela vous laissera assez froid. C'est comme si c'était un parent lointain... Je vois la mort pour vous à cinquante-six ans...

Décidément, Palmira n'est pas une voyante du genre à remonter le moral...

Elle poursuit sa litanie. Sur un thème moins sinistre. Elle annonce des amourettes plus ou moins heureuses, une grande passion qui n'aboutit à rien. Une liaison qui va durer plus de vingt-cinq ans et de l'argent, beaucoup d'argent mais... en fin de carrière.

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- Je dois partir, ma tante déteste que l'on soit en retard pour le déjeuner.

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Bernard s'est assis dans le sable près de la dame. Quel âge peut-elle avoir ? Entre cinquante et soixante ans ? Elle regarde Bernard. Elle dit :

- Je suis Palmira Diaz Del Belveder. Vos mains sont intéressantes.

D'autorité, elle saisit la main gauche de Bernard. Elle la retourne, paume au-dessus. Elle examine rapidement les lignes principales qui la sillonnent et dit presque à mi-voix, comme si elle parlait à elle-même :

- Je vous vois chez les médecins. En France, à l'étranger. Partout, vous allez à l'hôpital. Mais ce n'est pas pour vous.

Bernard n'apprécie pas beaucoup les hôpitaux. Et ses études le porteraient plus vers la littérature, le théâtre, le cinéma que vers la médecine. Palmira continue d'un ton monocorde, sans émotion apparente :

- Avant que quatre ans soient passés, quelqu'un de votre famille va mourir dans un avion. Mais cela vous laissera assez froid. C'est comme si c'était un parent lointain... Je vois la mort pour vous à cinquante-six ans...

Décidément, Palmira n'est pas une voyante du genre à remonter le moral...

Elle poursuit sa litanie. Sur un thème moins sinistre. Elle annonce des amourettes plus ou moins heureuses, une grande passion qui n'aboutit à rien. Une liaison qui va durer plus de vingt-cinq ans et de l'argent, beaucoup d'argent mais... en fin de carrière.

- Nous verrons bien, conclut Bernard. Et il se lève en s'excusant

- Je dois partir, ma tante déteste que l'on soit en retard pour le déjeuner.

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Bernard s'est assis dans le sable près de la dame. Quel âge peut-elle avoir ? Entre cinquante et soixante ans ? Elle regarde Bernard. Elle dit :

- Je suis Palmira Diaz Del Belveder. Vos mains sont intéressantes.

D'autorité, elle saisit la main gauche de Bernard. Elle la retourne, paume au-dessus. Elle examine rapidement les lignes principales qui la sillonnent et dit presque à mi-voix, comme si elle parlait à elle-même :

- Je vous vois chez les médecins. En France, à l'étranger. Partout, vous allez à l'hôpital. Mais ce n'est pas pour vous.

Bernard n'apprécie pas beaucoup les hôpitaux. Et ses études le porteraient plus vers la littérature, le théâtre, le cinéma que vers la médecine. Palmira continue d'un ton monocorde, sans émotion apparente :

- Avant que quatre ans soient passés, quelqu'un de votre famille va mourir dans un avion. Mais cela vous laissera assez froid. C'est comme si c'était un parent lointain... Je vois la mort pour vous à cinquante-six ans...

Décidément, Palmira n'est pas une voyante du genre à remonter le moral...

Elle poursuit sa litanie. Sur un thème moins sinistre. Elle annonce des amourettes plus ou moins heureuses, une grande passion qui n'aboutit à rien. Une liaison qui va durer plus de vingt-cinq ans et de l'argent, beaucoup d'argent mais... en fin de carrière.

- Nous verrons bien, conclut Bernard. Et il se lève en s'excusant

- Je dois partir, ma tante déteste que l'on soit en retard pour le déjeuner.

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- Je suis Palmira Diaz Del Belveder. Vos mains sont intéressantes.

D'autorité, elle saisit la main gauche de Bernard. Elle la retourne, paume au-dessus. Elle examine rapidement les lignes principales qui la sillonnent et dit presque à mi-voix, comme si elle parlait à elle-même :

- Je vous vois chez les médecins. En France, à l'étranger. Partout, vous allez à l'hôpital. Mais ce n'est pas pour vous.

Bernard n'apprécie pas beaucoup les hôpitaux. Et ses études le porteraient plus vers la littérature, le théâtre, le cinéma que vers la médecine. Palmira continue d'un ton monocorde, sans émotion apparente :

- Avant que quatre ans soient passés, quelqu'un de votre famille va mourir dans un avion. Mais cela vous laissera assez froid. C'est comme si c'était un parent lointain... Je vois la mort pour vous à cinquante-six ans...

Décidément, Palmira n'est pas une voyante du genre à remonter le moral...

Elle poursuit sa litanie. Sur un thème moins sinistre. Elle annonce des amourettes plus ou moins heureuses, une grande passion qui n'aboutit à rien. Une liaison qui va durer plus de vingt-cinq ans et de l'argent, beaucoup d'argent mais... en fin de carrière.

- Nous verrons bien, conclut Bernard. Et il se lève en s'excusant :

- Je dois partir, ma tante déteste que l'on soit en retard pour le déjeuner.

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Le plus bizarre, c'est l'incident s'est reproduit trois soirs de suite, à la même heure. Avec Mitsou toujours aussi furieuse et terrifiée devant une chatte... fantôme. Marie-Louise avait fini par brûler de l'encens dans son deux-pièces et l'étrange visite avait cessé. Aujourd'hui, Marie-Louise a un petit frisson rétrospectif en y repensant.

- Répondez-moi ! La chatte ! C'était vous ?

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Le plus bizarre, c'est l'incident s'est reproduit trois soirs de suite, à la même heure. Avec Mitsou toujours aussi furieuse et terrifiée devant une chatte... fantôme. Marie-Louise avait fini par brûler de l'encens dans son deux-pièces et l'étrange visite avait cessé. Aujourd'hui, Marie-Louise a un petit frisson rétrospectif en y repensant.

- Répondez-moi ! La chatte ! C'était vous ?

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Vous ne me verrez plus à la télévision. Je suis morte il y a une semaine. Et ce qui me met en colère, c'est de m'être entièrement trompée sur l'au-delà. Les choses ici sont tellement différentes de ce que l'on m'a enseigné toute ma vie !

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