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Je ne suis qu'un couplet inspiré par ton refrain et je te suivrai jusqu'au bout.
Une magie ancienne circule sur l'île de Cadence. Les êtres surnaturels qui la peuplent enchantent la vie des humains au gré de leurs fantaisies, mais leurs intentions réelles deviennent troubles le jour où des petites filles commencent à disparaître.
Adaira, l'héritière de l'Est, cherche à tout prix à communiquer avec les esprits afin de découvrir un moyen de sauver ces enfants. Mais une seule personne est capable de les invoquer : Jack Tamerlaine. Adaira le connaît depuis l'enfance, mais elle ne lui a pas laissé le meilleur des souvenirs.
Jack, quant à lui, est parti sur le continent pour étudier la musique. S'il accepte de revenir à Cadence, il lui faudra renouer avec un passé qu'il pensait avoir laissé derrière lui. Ensemble, ils devront faire face à un mal qui s'étend jusqu'aux plus profondes racines de l'île, et trouver sur quel air ils pourront enfin s'accorder...
“I once thought home was simply a place. Four walls to hold you at night while you slept. But I was wrong. It’s people. It’s being with the ones that you love, and maybe even the ones that you hate.”
Après avoir succombé à la plume douce et poétique de Rebecca Ross dans la duologie Lettres d’enchantement, je ne pouvais que me plonger avec plaisir dans Le Refrain de la Rivière, premier tome de sa nouvelle saga : Les Ballades de Cadence. Ici, changement total d’ambiance : on quitte le cadre historique pour plonger dans un univers celtique, riche en folklore, traditions ancestrales et magie féerique. J’ai été totalement happée par ce monde aux coutumes fascinantes et à la magie subtile, portée par la musique et la nature. C’est une atmosphère unique, presque envoûtante, à la fois lyrique et immersive.
Comme toujours, la plume de Rebecca Ross est d’une grande douceur, poétique et délicate, parfaitement en accord avec l’ambiance du récit. C’est un vrai bonheur de se laisser porter par ses mots. Seul petit bémol : j’ai trouvé que certains chapitres manquaient un peu de rythme, ce qui rendait la lecture parfois inégale. L’immersion restait néanmoins très agréable.
L’histoire est racontée à travers plusieurs points de vue, ce qui permet de mieux comprendre les enjeux de chacun et de s’attacher aux personnages. J’ai particulièrement aimé Jack et Adaira, dont l’évolution est belle, douce et pleine de bienveillance. Les points de vue de Sidra et Torin, ou encore Mirin et Frae, apportent également une vraie profondeur au récit. Chacun d’eux se débat avec ses propres démons, ses choix, ses douleurs — et c’est retranscrit avec beaucoup de justesse.
J’ai aussi beaucoup apprécié le ton plus mature de cette duologie par rapport à la précédente. Suivre des personnages plus âgés offre des relations plus nuancées, plus réalistes, avec des échanges plus profonds. Cela apporte une richesse émotionnelle bienvenue.
J’ai adoré ce premier tome, et j’ai maintenant très hâte de découvrir la suite pour savoir ce que l’autrice nous réserve pour la fin de cette ballade magique.
Je suis tombée dans Le refrain de la rivière de Rebecca Ross, comme on plonge dans une berceuse. Mais attention, ce n’est pas une chanson douce. C’est un chant ancien, tissé de douleur, de foi, et d’une magie qui colle aux racines.
Sur l’île de Cadence, les enfants disparaissent, les esprits chantent, les clans se déchirent, et Jack et Adaira doivent réapprendre à s’écouter pour sauver ce qui peut l’être. Ça parle d’amour (mais pas niais), de pardon (mais pas facile), et de famille (mais pas parfaite).
J’ai été cueillie par la beauté crue de l’univers, ce vent habité, ces armes qui portent des enchantements, ces lettres pleines de mots qu’on n’ose pas dire à voix haute. Et surtout : ces personnages secondaires qui volent la vedette avec une grâce indécente. Mention spéciale à Sidra et Torin – parce que l’amour, ce n’est pas toujours doux. Parfois, c’est rugueux, entêté… mais ça tient bon.
Rebecca Ross écrit comme on taille une rose sauvage : sans fioritures inutiles, mais avec une tendresse qui pique juste ce qu’il faut. Elle vous emporte et vous ramène, un peu changée. Pas de promesse de conte de fées ici. Juste des vérités drapées de poésie.
À lire si : vous aimez les histoires qui chantent même quand elles pleurent, les fleurs qui poussent entre deux pierres, et les romances qui prennent leur temps.
🌊 Le tome 2 est prévu… et j’ai déjà l’impression qu’on me demande de quitter l’île alors que je viens à peine d’y poser mes valises.
J’avais adoré la première duologie de l’autrice, j’ai pris ce livre sans chercher à connaître plus l’histoire.
La plume est toujours aussi poétique et les relations entre les personnages sont amenées subtilement et en douceur.
Nous avons accès à plusieurs points de vue (5 protagonistes) et j’ai adoré connaître les personnages secondaires. Ils sont bien travaillés, font partie d’une palette d’émotions diverses et apportent du poids à l’histoire.
Le seul bémol du livre, sa longueur. Certains passages trainent et l’enquête avance activement seulement à la fin c’est dommage.
Après avoir succombé à la duologie Divines Rivalités de Rebecca Ross, je ne pouvais qu'avoir envie de me plonger dans un autre de ses romans. Alors forcément, quand Les ballades de Cadence (le premier tome d'une autre duologie) est sorti, je ne pouvais que me jeter dessus. Et une fois encore, la plume poétique et envoutante de l'autrice m'a séduite.
L'Ile de Cadence est baignée d'une magie ancienne. Celle des esprits : de l'eau, du feu, de l'air et de la terre. S'ils sont souvent bénéfiques, ils n'en font qu'à leur tête. Et lorsque des petites filles sont enlevées dans le clan de l'Est, Adaira, héritière, cherche à tout prix un moyen de les retrouver. Et pour cela, elle a besoin d'un barde et de la mélodie qu'il pourrait jouer. Mais, Jack Tamerlaine a quitté l'ile pour rejoindre le continent dix ans plus tôt avec l'idée de ne jamais revenir.
Voilà une lecture totalement envoutante et riche en folklores. D'une inspiration écossaise, avec ses us et coutumes, ses lairds et cette hiérarchie au sein des clans. L'autrice y ajoute sa touche de magie avec ces esprits. Des murmures et paroles qui se propagent dans le vent, des châles tissés d'une magie protectrice, aux mélodies capables d'invoquer les esprits. Sur l'ile de Cadence, c'est un dépaysement total qui nous embarque. L'univers est, comme l'autrice sait si bien le faire, poétique et doux à la fois, tout en épargnant pas ses personnages car les épreuves seront nombreuses.
Les personnages auxquels on s'attache vraiment beaucoup et dont nous avons les points de vues. Et ce n'est pas une mais deux romances qui sont mises en avant. Celle d'Adaira, héritière de l'Est et Jack, deux anciens "amis/rivaux" qui ne se sont pas vus depuis dix ans et vont devoir, ensemble résoudre le mystère des disparitions. Un début de romance plus que prometteur qui va nous réserver quelques moments de doutes et d'espoir. Mais c'est aussi celle de Torin et Sidra, un couple marié qui m'a énormément touché puisque pour Torin, c'est un second mariage, avec une petite fille en bagage. Des émotions à l'état brut pour ce couple qui au fil des années a laissé les non-dits s'installer mais auront le droit à une place très importante dans l'histoire. Mon coeur s'est serré pour eux et j'ai adoré les voir ensemble. C'est aussi des histoires de familles et de sentiment d'appartenance qui sont mise en avant et j'ai été touché par tout cela.
Le récit prend le temps de se mettre en place, comme l'avait été la première duologie de l'autrice. Mais personnellement, j'adore ce rythme, cette évolution, cette découverte qui, au fil des pages, nous happe totalement. Le mystère autour des disparitions des petites filles nous glace le sang et la tension est donc plus que palpable. Je n'avais pas vu venir les révélations et rebondissements dans le dernier tiers et je dois dire qu'une fois encore l'autrice nous réserve une fin de tome vraiment horrible.
En conclusion, un premier tome qui m'a séduite. L'univers est riche et vraiment prenant. Les romances sont douces et touchantes comme le sait si bien le faire l'autrice. Le suspense est à son comble et la fin donne clairement envie d'avoir la suite rapidement. J'ai adoré ma lecture et j'ai hâte de poursuivre.
" On est chez soi parmi des gens, ceux que l'on aime, et même peut-être ceux que l'on hait."
Entre objets enchantés, paysages féeriques et musique ensorcelante, une seule certitude : Rebecca Ross est la vraie magicienne. L'auteure a un don pour parler de ce dont chacun de nous a besoin dans sa vie ainsi que des contradictions et de la nature profonde de l'être humain. Elle maîtrise l'art de manier les mots à la perfection et confirme son statut comme l'une de mes auteures préférées. 💖
Dès les premières phrases, j'ai été happée par l'ambiance du livre et le worldbuilding. Ici, adieu les inspirations années 50/60 de Divines Rivalités et place au folklore celtique ainsi qu'à ses légendes et ses croyances. Un monde où nature et musique sont liés. Une île aux allures paradisiaques et atypiques qui m'a donné des envies de voyage. J'ai vraiment adoré cette introduction à cette culture rappelant grandement celle de l'Ecosse. 🌊
Bien sûr, tout n'était pas tout rose et tout beau puisque l'intrigue se concentrait principalement sur les disparitions inquiétantes de fillettes du clan Tamerlaine (clan de l'Est). Tout comme son autre duologie, j'ai trouvé qu'on était pas sur une grande bataille épique et des plots-twists à gogo. Pour autant, je n'ai pas trouvé que l'histoire manquait d'action et au moins une révélation m'a surprise. Je me suis laissé emporter par le récit. 🍃
Les seuls petits bémols ont été les romances. Jack et Adaira avaient une dynamique intéressante : lui, maigrichon, maussade et maladroit et elle, forte, téméraire mais un brin distante. C'était prometteur mais leur relation a trop vite évolué, à mon goût. Pour ce qui est de Torin et Sidra, entre sa douceur à elle et son côté protecteur à lui, leur relation était plus mature. Le contexte et leur passé commun l'ont rendue moins précipitée. Ce dernier aspect m'a quand même laissé une petite frustration. 🌬️
Je sais pas si c'est un bon ou un mauvais point mais les multiples POV ont fait que j'ai plus apprécié les personnages secondaires que les principaux. Après je laisse la porte ouverte pour le second tome car, avec cette fin, j'ai vu du potentiel (surtout pour Adaira). 🔥
Il ne me reste plus qu'a prier les êtres du feu, de la terre, de l'eau et du vent pour que la suite paraisse d'ici la fin de l'année. Et si vous connaissez d'autres fantasy aux inspirations celtiques, n'hésitez pas à m'en faire part. 🙏🏽
🗝️ : Romantasy - Celtique - Disparitions - Clans - Esprits - Musique - Childhood rivals to lovers - Marriage of convenience
J’ai récemment eu le plaisir de découvrir Le Refrain de la rivière, premier tome de la duologie Les Ballades de Cadence de Rebecca Ross.
🌿Dès les premières pages, j’ai été envoûtée par l’atmosphère mystérieuse et la beauté des descriptions. L’autrice parvient à créer un univers où la nature et la magie se mêlent harmonieusement, offrant une expérience de lecture immersive. L’île de Cadence, avec ses esprits élémentaires et ses traditions ancestrales, devient un personnage à part entière.
🌿 L’histoire suit Jack Tamerlaine, un barde revenu sur son île natale après dix ans d’absence, et Adaira, l’héritière de l’Est, déterminée à sauver les enfants disparus. Leur collaboration, marquée par des tensions passées, est au cœur d’une enquête où la musique joue un rôle central pour communiquer avec les esprits. Cette approche originale apporte une dimension lyrique au récit.
🌿 Les protagonistes, Jack et Adaira, sont dépeints avec une grande sensibilité. Leur relation évolue subtilement, passant de la méfiance à une complicité touchante. Les personnages secondaires, tels que Sidra et Torin, enrichissent l’histoire par leurs propres arcs narratifs, apportant profondeur et émotion.
🌿 La plume de Rebecca Ross est d’une élégance remarquable, offrant des descriptions détaillées et une ambiance immersive. Cependant, j’ai trouvé que certains chapitres étaient particulièrement longs, ce qui a parfois ralenti le rythme de ma lecture. Cette densité narrative contribue néanmoins à la richesse de l’histoire.
🌿 Mon Verdict 🌿
Le Refrain de la rivière est une œuvre magistrale qui mérite amplement ses 4,75 étoiles. Une lecture que je recommande vivement à ceux qui cherchent une histoire profonde, émotive et magnifiquement écrite.
Note : 4,75 étoiles – Une lecture envoûtante, légèrement entachée par la longueur de certains chapitres.
Je me suis laisser embarquer par cette histoire, mélangeant magie et enquête. Mais on y découvre surtout des traditions et une lutte ancestrale entre deux clans. Ainsi que beaucoup de secrets et j'avoue que je ne m'attendais pas à autant de révélations à la fin. Ni à ce que l'histoire prenne ce tournant là. Et j'avoue que ça me laisse plutôt dubitative et que je ne suis pas vraiment satisfaite de ça. Même si ça me laisse aussi curieuse de ce qui se passera dans le tome 2.
En ce qui concerne Adaira et Jack je trouve que leur lien est une évidence. Tout est tellement naturel entre eux.
J'etais contente aussi qu'on se focus aussi sur d'autres personnages comme Thorin et Sidra que j'ai trouver particulièrement attachant.
Ce livre a un univers bien a lui et ça apporte clairement un plus à l'histoire.
Je tiens aussi à souligner qu'on a les tw au début du livre.
Il y a des romans qui ne cherchent pas à vous éblouir par l’action ou les rebondissements à chaque chapitre… mais qui vous enveloppent lentement, délicatement, comme une brume qui s’installe au petit matin. A River Enchanted est exactement ce genre de lecture et une fois de plus je suis tombée sous le charme de la plume de Rebecca Ross.
Jack, barde formé sur le continent, est rappelé sur l’île pour une raison tragique : des jeunes filles disparaissent. Aux côtés d’Adaira, son ennemie d’enfance (mais pas pour longtemps 👀), il va devoir percer les mystères de Cadence… à travers la musique et des secrets anciens enfouis sous la surface.
Tout d’abord j’ai été séduite par l’ambiance "atmospheric" de ce roman, douce et envoûtante avec son inspiration écossaise. L’île de Cadence est vivante. Les esprits du feu, de l’eau, de l’air et de la terre y règnent, imprévisibles et parfois cruels. Le folklore s’infiltre partout : le vent murmure des ragots, les châles protègent comme une armure, et une simple mélodie peut faire apparaître les esprits...
Ensuite comment ne pas parler des romances e je dis bien ‘des’ car nous suivons ici 2 couples différents mais qui vous marqueront chacun à leur façon.
🔹 Jack & Adaira : une romance pleine de tendresse, où les rôles sont inversés de manière rafraîchissante – j’ai adoré la douceur de Jack face à l’assurance d’Adaira. 🔹 Sidra & Torin : mon véritable coup de cœur ❤️ Leur histoire de remariage, pleine de maturité et de non-dits, avec un enfant au cœur du tableau, m’a conquise.
Rebecca Ross a un don pour écrire des histoires magnifiques. Sa plume est poétique, immersive, presque chantante.
Si vous cherchez un récit bourré d’action, passez votre chemin. Mais si vous aimez les histoires où la magie s'insinue dans chaque recoin, où le silence dit autant que les mots, alors ce livre est fait pour vous.
Ici nous suivons principalement Jack qui a quitté Cadence 10 ans jusqu’à ce qu’on lui demande de revenir. et Adaira qui a beaucoup de responsabilité à gérer. Ici pas mal de mystères autour de Jack, de l’île en général et j’ai beaucoup aimé ça. Je ne dirais pas que Jack ou Adaira sont attachants mais je les trouve intéressants et j’apprécie que Jack soit un barde plutôt qu’un guerrier. J’ai également apprécié leurs histoires, leurs sentiments, leurs évolutions et ce qui fait d’eux, eux.
J’ai également apprécié les chapitres où d’autres protagonistes sont mis en avant, découvrant des bouts de leurs vies, leurs histoires. Tous différents et pourtant lié. Néanmoins il y a une certaine distances avec eux. Encore une fois on ne s’attache pas vraiment mais on se soucie vraiment d’eux. Je ne sais pas comment l’exprimer mais dans tous les cas on n’en ressort pas insensible.
Une fantasy pleine de questions et d’esprit de la nature qui nous plonge dans un univers poétique mais avec une intrigue plus sombre. Curieuse, je suis rapidement tombée sous le charme de ce mystère qui se dévoile peu à peu au fil de la lecture.
𝐄𝐧 𝐛𝐫𝐞𝐟 : Sublime. La plume m’a transportée, l’intrigue également tout comme les liens entre les personnages. Avec le recul je peux affirmer que c’est un coup de coeur tant j’ai été happé dans cet univers aussi doux que dur.
Résumé
Je ne suis qu'un couplet inspiré par ton refrain et je te suivrai jusqu'au bout.
Une magie ancienne circule sur l'île de Cadence. Les êtres surnaturels qui la peuplent enchantent la vie des humains au gré de leurs fantaisies, mais leurs intentions réelles deviennent troubles le jour où des petites filles commencent à disparaître.
Adaira, l'héritière de l'Est, cherche à tout prix à communiquer avec les esprits afin de découvrir un moyen de sauver ces enfants. Mais une seule personne est capable de les invoquer : Jack Tamerlaine. Adaira le connaît depuis l'enfance, mais elle ne lui a pas laissé le meilleur des souvenirs.
Jack, quant à lui, est parti sur le continent pour étudier la musique. S'il accepte de revenir à Cadence, il lui faudra renouer avec un passé qu'il pensait avoir laissé derrière lui. Ensemble, ils devront faire face à un mal qui s'étend jusqu'aux plus profondes racines de l'île, et trouver sur quel air ils pourront enfin s'accorder...
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