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Mon cœur t'a déjà prêté serment il y a bien longtemps. Si tu veux de moi, je resterai à tes côtés pour toujours.

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"Les petits dragons meurent courageusement", dit Ragnar'k à Sy-wen. Pour une fois, ses pensées étaient dépourvues du mépris qu'il manifestait d'ordinaire envers ses semblables de taille plus modeste. Sy-wen perçut la tristesse qui avait envahie son énorme cœur.

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Bientôt, les molosses du Coeur Noir seront débarrassés de leurs entraves d'éb'ène, libres de ravager ces contrées.

Alors, les dieux eux-mêmes apprendront à hurler.

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Depuis qu'elles ont réalisé qu'étant ton frère j'avais moi aussi le sang de leur roi perdu dans les veines, toutes les mères el'phes avec une fille à marier défilent dans mes appartements.

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Du temps. Désormais, le sien n'était plus illimité. Il allait vieillir et mourir comme n'importe quel autre homme. Au bout de cinq cents hivers, il n'avait pas le droit de déplorer la reprise de l'inévitable marche du temps. Mais, comme il fixait Elena, la jeune femme lui rendit son regard et lui sourit au clair de lune.

Et, pour une fois, Er'ril souhaita que le temps s'arrête.

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Même les oiseaux semblaient partager le douleur de Mycelle - car la guerrière savait que c'était la dernière fois qu'elle serrait son fils contre elle.

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Chapitre 26:

Au coeur de Val'loa, Elena se tenait au centre d'un maelström de pouvoir. La magie brute chantait dans son sang, mais c'était un air qu'elle connaissait. Sans se laisser troubler, elle pliait les filaments d'énergie à sa volonté, projetant des lances de feu glacial dans toutes les directions. Les flammes bleues qui tourbillonnaient autour d'elle formaient un écran assez dissuasif. Personne n'osait l'approcher.

Dès que les skal'tum avaient révélé leur présence, Elena s'était entaillé les deux mains pour attaquer la première. Ses compagnons avaient suivi son exemple. Pendant qu'elle décochait des rafales de feu glacial, figeant et ralentissant les démons, les autres avaient frappé, chacun à sa façon.

Son bâton déjà changé en arme de sang, Joach suivait avec aisance le rythme de sa soeur. Tout skal'tum congelé par Elena se voyait aussitôt fracassé par le talisman du jeune homme. De son côté, Tol'chuck mainait le Try'sil comme une femme de chambre eût manié un balai. Guidé par Flint, il ouvrait une brèche dans les rangs ennemis.

-Il ne faut pas rester ici! hurla Flint en faisant tournoyer son épée.

La nuit n'était pas encore tombée, si bien que les skal'tum demeuraient vulnérables aux armes ordinaires. Mais leur force, leur rapidité et leurs griffes empoisonnées en faisaient tout de même des adversaires redoutables.

Mama Freda dansait dans l'ombre de l'og're. Grâce au pouvoir de son elixir, la frêle vieillarde s'était changée en tourbillon meurtrier. Aidée par la vue perçante de son familier, elle bombardait l'ennemi de fléchettes empoisonnées.

Méric se tenait de l'autre côté d'Elena, faisant pendant à la jeune femme avec son propre maelström de pouvoir. Ses bourrasques empêchaient les skal'tum d'attaquer depuis les airs. De puissantes rafales s'emparaient des créatures ailées et les envoyaient heurter les tours voisines ou s'écraser sur la chaussée de pierre.

Pendant que les autres se battaient, Elena étudiait leurs adversaires depusi sa toile de magie. La fureur de leur assaut initial avait pris les skal'tum par surprise. Même si Elena était certaine qu'on les avait prévenus de se méfier d'eux, ils n'avaient encore jamais eu affaire à quiconque capable de leur donner du fil à retordre. Ils avaient probablement compté sur leur nombre pour intimider les intrus.

Leur arrogance allait leur coûter très cher.

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Comme la musique enflait, Elena porta une main à son chignon et ôta les épingles qui retenaient son abondante chevelure. Elle secoua la tête, et ses boucles rousses cascadèrent dans son dos. Pour cette nuit, elle ne voulait plus être une sor'cière ou un messie. Elle laissa tous ces rôles tomber par terre avec les épingles. Elle voulait juste être une femme.

Er'ril la serra contre lui, et, lentement, ils se mirent à onduler au rythme de la musique qui montait depuis la cour. Elena ne se rendit pas compte qu'elle commença à pleurer. Er'ril resta silencieux : aucun mot n'aurait pu l'aider. Il se contenta de la presser sur son coeur pendant que les notes égrenaient le passage des heures.

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Joach regarda le corps nu et calciné s'affaisser dans les bras d'Er'ril. Ça ne pouvait pas être sa sœur. Il ne pouvait pas avoir tué Elena.

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Par la fenêtre ouverte me parviennent le bourdonnement d'une lyre et la voix assourdie d'un ménestrel, montant comme de la vapeur depuis les rues en contrebas. Ici, dans la cité de Gelph, le carnaval d'été bat son plein. Tandis que la chaleur brûlante de la journée cède la place à la moiteur étouffante du début de soirée, les citoyens se rassemblent sur la grand-place pour la fête du Dragon - un moment de réjouissances et de libations.

Pourtant, leur gaieté m'irrite. Comme ces idiots ont la mémoire courte ! Alors que, papier devant moi et plume à la main, je m'apprête à rédiger la suite de l'histoire de la sor'cière, j'entends encore hurler les mourants et rugir les dragons par-dessus la musique et les joyeux éclats de voix qui résonnent au dehors.

La véritable signification de cette fête s'est perdue au fil des âges. Le premier carnaval d'été fut un évènement bien sombre, conçu pour réconforter les rares survivants de la guerre des Îles - leur donner l'occasion de panser les blessures de leur corps tailladé par les épées ennemies et de leur esprit déchiqueté par la trahison de leurs alliés. Les fêtards d'aujourd'hui ont oublié jusqu'à l'origine de l'échange rituel de dents de dragon factices et de perles peintes en noir. Jadis, celui-ci symbolisait le lien existant entre ...

[.../...]

Ainsi, alors que la fête du Dragon débute dans les rues de Gelph, je vous invite à tendre l'oreille et à vous concentrer. Entendez-vous une autre sorte de musique ? À l'instar de nombreuses grandes symphonies, les doux accords d'ouverture sont souvent oubliés lorsque claironnent les cors et grondent les tambours. Mais cet oubli est une insulte faite au compositeur, car c'est durant ces moments de calme que la scène est dressée pour la tempête à venir.

Alors, écoutez bien. Prêtez l'oreille, non pas à la lyre ou aux tambourins qui résonnent dehors, mais au murmure du ressac alors que la marée se retire aux premières lueurs de l'aube. Car telle est l'ouverture de la symphonie que je m'apprête à vous chanter.

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