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Henriette Barrett se moque des diktats de la bonne société. Elle administre les terres de son vieux tuteur, porte des pantalons et adore son diminutif: Henry. A la mort de son père adoptif son domaine bien-aimé devient la propriété d'un lointain cousin, William Dunford, et elle est prête à tout pour s'en débarrasser. Le jeune homme est lui fermement décidé à transformer cette sauvageonne en jeune fille comme il faut. Au risque qu'elle devienne la coqueluche du Tout-Londres et une redoutable séductrice...
C'est le résumé de L'Insolente de Stannage Park de Julia Quinn, qui m'a donné envie de le découvrir. Et puis, l'autrice reste une valeur sûre pour le genre et donc l'assurance de passer un bon moment de lecture. Et ce fut le cas même si le dernier quart de l'histoire m'a un peu moins séduite de par sa rapidité et son rebondissement qui venait tel un cheveu dans la soupe pour semer la zizanie.
Henry (Henriette) aime sa petite vie tranquille à la campagne. Elle gère depuis de nombreuses années les terres de son tuteur décédé. Un franc parlé certain, des pantalons pour vêtements et un petit tempérament, elle n'a que faire de la bonne société. Alors quand elle apprend qu'un lointain cousin a hérité du domaine et s'apprête à venir à Stannage Park, elle prépare un plan infaillible : le faire fuir la campagne. Mais William Dunford voit clair dans son jeu. Et d'une animosité certaine va naître une amitié avant de découler sur une attirance plus que malvenue pour celui qui devient le tuteur d'Henry.
Dès les premières lignes, on est happé par l'histoire avec Henry qui n'a pas froid aux yeux. Elle jure comme jamais, elle n'hésite pas à se salir les mains (et même avec son cochon Porkus) et ne compte pas laisser ce gentleman lui prendre ce qu'elle a de plus précieux. Voilà donc qu'elle se lance dans tous les petits coups possibles pour le faire fuir. Lui dire qu'il n'y a pas assez d'eau pour des bains quotidien, le faire trimer dans la boue, se restreindre aux repas. Elle est prête à tout. Ce qui donne lieu a pas mal de scènes drôles entre eux.
Mais l'autrice vient bouleverser la dynamique avec le changement de statut d'Henry. Puisque Dunford apprend qu'il est son tuteur et compte bien l'emmener à Londres pour faire d'elle une demoiselle à marier. Un voyage qui ne fera que rapprocher ces deux-là, déjà très proches avant le départ. Ainsi, la romance va donc assez vite. Henry est éblouie par Dunford, malgré son côté autoritaire et de son côté, il trouve Henry rafraichissante et pleine de surprises. Il va donc tenter de la pousser dans le monde pour refreiner ses désirs mais en vain.
Et globalement, malgré la rapidité des sentiments entre les personnages (surtout côté Dunford, qui jurait ne jamais tomber dans le piège), on se laisse facilement embarquer. Il y a une bonne dynamique entre eux, entre tension et moments d'humour. Même si, on ne va pas se mentir, le côté possessif de Dunford m'a un peu gêné par moment. Henry est jeune et Dunford se montre parfois trop paternaliste autoritaire ce qui gâche la romance. Toutefois, j'ai aimé la présence des amis de Dunford avec qui Henry passe du temps une fois à Londres, à fomenter des plans et les pousser discrètement l'un vers l'autres.
Mais arrive un moment où l'histoire prend une autre tournure sur le dernier quart et très franchement, je n'ai pas vu l'intérêt de ce rebondissement, qui, en plus n'est pas vraiment développer. Il est seulement là pour semer le doute chez nos personnages, et encore que, s'ils communiquaient, ça serait vite oublié. Résultat, on a la fameuse séparation sortie de nulle part avant le Happy-End résolu en deux lignes. Pour le coup, ce dernier quart ne m'a pas franchement convaincue tant au niveau de la romance qu'au niveau crédibilité.
En conclusion, si cela reste un bon moment de lecture, Julia Quinn n'en est pas à son premier essai. Il m'a manqué des éléments importants pour rendre cette lecture mémorable. La romance va vite et prend des tournures que j'aurais préféré éviter. L'humour reste dominant durant tout le roman, ce qui est chouette mais le dernier quart avec son rebondissement sorti de nulle part et le côté ultra possessif de Dunford casse un peu la fin roman. C'était chouette mais il ne me marquera pas dans le temps.
Ce roman est un véritable plaisir de lecture. Julia Quinn nous offre une fois de plus une romance historique pétillante, avec des personnages attachants et une intrigue pleine de rebondissements.
J'ai été immédiatement séduite par le personnage d'Henrietta, une jeune femme indépendante et audacieuse qui refuse de se conformer aux normes de la société. Son amitié avec William Dunford est construite sur une base solide, faite de respect mutuel et d'humour. J'ai beaucoup aimé suivre leur évolution, de leurs premières rencontres tendues jusqu'à leur amour naissant.
L'intrigue, bien que prévisible par moments, est rythmée et divertissante. J'ai particulièrement apprécié la façon dont l'auteure a traité les thèmes de l'identité, du genre et des conventions sociales. Henrietta, en se faisant passer pour un homme, remet en question les rôles assignés aux femmes à l'époque.
Le seul bémol de ce roman réside peut-être dans la résolution de certaines sous-intrigues, qui me semblent un peu trop rapides et expéditives. Néanmoins, c'est une lecture agréable et rafraîchissante, qui témoigne du talent de Julia Quinn pour créer des histoires d'amour inoubliables.
Une lecture très comique à lire. Les échanges entre Henry et Dunford étaient hilarantes ! Il y a eu un creux vers la moitié du livre et un quiproquo peu satisfaisant, mais cela ne m'a pas empêcher d'avoir aimer ce couple originale.
Julia Quinn ne cesse de nous surprendre avec cette saga des Blydon. Si j'avais déjà plus ou moins apprécié les deux premiers tomes, celui-ci a dépassé toutes mes attentes ! 💥
La dynamique entre Henriette et Dunford est tout simplement incroyable, un véritable jeu du chat et de la souris. 🐱🐭
Henriette Barrett est un personnage qui défie les conventions sociales, et j'ai adoré sa détermination. Son échange avec William Dunford, son lointain cousin et nouveau propriétaire de son domaine, est plein d'humour et de rebondissements. Leur relation est à la fois passionnée et tumultueuse, un vrai "je t'aime moi non plus". 💔💫
Cette histoire est un délice pour le printemps, remplie de romance et de légèreté.
Bien que j'aime le style de Julia Quinn ,j'ai trouvé ce livre bon dans l'ensemble mais sans plus le personnage Henry était intéressant au début mais l'intérêt est retombé par la suite ,en revanche j'ai voir Dumford tomber amoureux malgré lui ,certaines scènes au début du livre sont comiques, Henry lui en faire voir de toutes les couleurs.
Ce livre est un bonbon, qui se déguste bien trop vite à mon gout. Du grand Julia Quinn, qui mene à merveille les femmes alpha à un destin qui les révèle
Si j'avais étais très séduite par le premier tome "Slendide", j'ai été moins convaincu par ce 3ème. La lecture en a été facile grâce à la très belle plume de Julia Quinn mais je me suis moins attaché aux personnages. J'avais aimé le personnage de Dunford dans le 1er et j'ai eu plaisir à le retrouver. Cependant je n'ai pas été convaincu par se relation avec Henri, et j'ai trouvé la jeune fille un peu têtu et enfantine sur certains points, pas complètement en phase avec l'histoire même du personnage. Un peu déçu de cette lecture dont j'attendais plus, mais tout de même une lecture agréable. A vous de vous faire un avis maintenant!
Oh, j'adore la plume de Julia Quinn. Cette série, il faut la lire d'un coup, d'une traite! Une histoire attendrissante, captivante. Réaliste. Une magnifique histoire d'amour.
Une romance douce, tendre, avec une touche de sensualité et d’aventures. Une collection que j’adore « Aventures et Passions », et comme son nom l’indique, il y a pleins d’aventures et de passions. Chacun de ses romans peut être entraînant, doux, érotique, attendrissant. Ils vont feront passer de délicieux moments.
Des personnages avec des caractères puissants, déstabilisants. Attachant. Cette histoire est d’un immense romantisme et pleine de rebondissements. Délicieuse. Chaleureuse. Un entre-deux parfait.
Résumé
Henriette Barrett se moque des diktats de la bonne société. Elle administre les terres de son vieux tuteur, porte des pantalons et adore son diminutif: Henry. A la mort de son père adoptif son domaine bien-aimé devient la propriété d'un lointain cousin, William Dunford, et elle est prête à tout pour s'en débarrasser. Le jeune homme est lui fermement décidé à transformer cette sauvageonne en jeune fille comme il faut. Au risque qu'elle devienne la coqueluche du Tout-Londres et une redoutable séductrice...
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