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Liste des extraits

- Tu… m’as sauvé la vie, Bestia ! Je… Je ne l’avais pas entendu arriver, celui-là !

- Un patricien connaît son devoir envers un supérieur… Fût-il de modeste extraction.

- Je suppose que je dois te remercier…

Devoir la vie à cette engeance me brûle le foie !

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Tu apprendras à te méfier de l'Orient, Vintidius charax. Il y a tellement de serpents qui se dissimulent sous les sables du désert! Ces saloperies sont prêtes à vous mordre dès qu'on a le dos tourné!!!

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[Le satrape parthe Vahram à l’empereur romain Trajan]

- Ce seigneur venu des Indes accusait mon peuple de montrer trop d’appétit. Pourtant, c’est vous, les fils de la louve, qui avez une faim… de loup ! Et tout est bon pour nous accuser de vouloir apporter la guerre ! Même un bouclier !

- Vraiment ?

- L’Italie ne vous a pas suffit, il vous a fallu le monde ! Les Daces en font la cruelle expérience. Bientôt je le crains, vos légions s’en iront chasser les dieux de leur céleste séjour ! Rome est pareille à la Gorgone, une pieuvre insatiable !

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- Au nom de mon roi, le Maharadjah Kushana, j’accuse, moi aussi, les Parthes de vouloir la guerre ! Ils se prennent pour les héritiers d’Iskandar, celui que vous appelez Alexandre le Grand ! Leur soif de conquête leur brûle la gorge ! Les dieux le savent bien, eux qui les dénoncent en ce jour à la face du monde !

- Un bouclier tombe et vous tremblez tous comme des chiffes molles ! Ah ça, si nos fomentions un coup contre Rome, je peux vous assurer que vos dieux n’entreraient pas dans la confidence.

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On raconte que jadis, un bouclier de bronze, envoyé par Mars, tomba du ciel. Il avait le pouvoir de bouger dès qu’un péril menaçait Rome. Craignant que ce talisman ne fut dérobé, le roi Numa en fit réaliser onze copies, si parfaites que nul ne put déceler la différence. Les prêtres saliens reçurent alors la charge de les garder.

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[Le satrape parthe Vahram à l’empereur romain Trajan]

Tu vois César, ce bouclier vient de désigner l’unique, le seul, le vrai péril ! Rome ! Pour elle la chose est entendue : l’un de nos deux empires est de trop !

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Apamée s’étire langoureuse sous le soleil de Mésopotamie, vibrante et sensuelle. Au-delà, vers l’Orient, commence le désert. Depuis soixante ans, pas un incident n’a troublé la frontière, aussi Trajan n’a-t-il pas hésité à prélever plus de la moitié des effectifs di fort de Zeugma pour renforcer l’armée du Danube.

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[le romain Charax au parthe Vahram]

- Je n’aime pas ce pays. Trop de sable. Trop de poussière. De cette chaleur moite qui vous colle à la peau ! Ici, la vie coule au ralenti, au rythme de ce fleuve paresseux, incapable de nous prodiguer un peu de sa fraîcheur ! Ici, je m’emmerde satrape.

- Pourtant nos poètes ont chanté l’émeraude de son onde et la richesse de ses rives. Il est vrai, je le reconnais, que leurs vers ont souvent l’art de draper la vérité des ornements fallacieux de la prosodie. De leurs lèvres se répand un miel trompeur…

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Et bientôt, derrière la longue file des légionnaires, les premiers chariots s’ébranlent enfin sur la voie qui mène à Antioche. La plupart n’ont pas le cœur de se retourner vers ce passé qui se consume comme un fétu de paille. Si la mort ne les rattrape pas, ces pauvres gens iront grossir les rangs des bidonvilles d’un autre camp, à l’autre bout de l’empire…

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Zeugma, frontière romano-parthique. Sur la rive occidentale de l’Euphrate, le camp de la IVe Légion Scythica semble narguer la cité caravanière d’Apamée, porte de l’immense royaume des Parthes.

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