Les Chaises suivi de L'impromptu de l'Alma
Auteur
- Eugène Ionesco (Écrivain)
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extrait
" hélas ! hélas ! nous avons tout perdu. Nous aurions pu être si heureux, je vous le dis ; nous aurions pu ; peut-être, des fleurs poussent sous la neige !... "
p.44
Afficher en entierCommentaires récents
Si j'ai apprécié l'impromptu de l'Alma avec sa mise en abîme et sa critique appuyée de beaucoup de clin d'œil au théâtre classique je suis passée complètement à côté du concept, de l'interêt et de la compréhension des chaises... Je ne suis pas très fan du théâtre de l'absurde.
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J'aime beaucoup Ionesco, à chaque fois que je lis une de ces pièces, je suis toujours surprise.... J'ai préféré "Les chaises" à la seconde pièce mais globalement on retrouve ce que j'aime de cet auteur dans les deux pièces: basé sur le réel qui bascule petit à petit dans l'absurde, une farce tragique ou un drame comique...
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L’Impromptu de l’Alma : j’ai trouvé la pièce assez drôle, on comprend bien le concept de théâtre dans le théâtre, car Ionesco se met lui-même en scène. On retrouve toutes les caractéristiques du théâtre de l’absurde.
Mais j’ai trouvé que « Les Chaises » était plus facile à lire que « L’Impromptu de l’Alma » !
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Les chaises et L’impromptu de l’Alma (ou le caméléon du berger)
Les deux pièces une critique sévère implicite. Et c'est tellement bien fait que c'est magistrale !
Les chaises, l'une de mes pièces préféré de l'auteur.
Elle est assez sombre dans un certain sens, la douleur et l'amour sont vraiment au cœur. Une ambiance spécial très adaptée !
L’impromptu de l’Alma est aussi super bien réalisée : Ionesco ce met lui-même en scène, ça peu sembler bizarre le fait que la pièce tourne autour de sous-entendu et d'une dispute, entre vérité et mensonge, entre la logique et l'illogique.
Mais la fin vaut vraiment le détoure.
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Cette petite pièce de théâtre écrite par Eugène Ionesco est très spéciale en elle, et c'est plutôt drôle parfois
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Résumé
Le vieux : il y avait un sentier qui conduisait à une petite place ; au milieu, une église de village... où était ce village ? Tu te rappelles ? La vieille : Non, mon chou, je ne sais plus. Le vieux : Comment y arrivait-on ? Où est la route ? Ce lieu s'appelait, je crois, Paris... La vieille : Ça n'a jamais existé, Paris, mon petit. Le vieux : cette ville a existé puisqu'elle s'est effondrée... C'était la ville de lumière puisqu'elle s'est éteinte, éteinte, depuis quatre cent mille ans... Il n'en reste plus rien aujourd'hui sauf une chanson....
... Les chaises où douleurs et poésie mises à nu demeurent sans cesse offertes au rire du spectateur Geneviève Serreau, Histoire du nouveau théâtre .
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