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Les Chevaliers Écossais, Tome 3 : L’Amant des Highlands



Description ajoutée par TerverChante57 2022-04-01T11:53:08+02:00

Résumé

Éternellement curieuse, Lady Alyson MacGillivray embarque pour un voyage en mer et fait une surprenante découverte: le jeune futur Roi d’Écosse se trouve secrètement à bord. Mais sa surprise se transforme rapidement en terreur lorsque des pirates attaquent le navire, prennent le jeune prince en otage et laissent Lady Alyson se noyer. LE LOUP DES HIGHLANDS Connu à travers le monde sous le nom «Le Loup», le capitaine Jake Maxwell a reçu l’ordre du Roi de suivre le transport secret du prince. Lorsqu’il découvre Alyson luttant contre une mer violente, il part rapidement à sa rescousse. Bien vite, le désir jette des étincelles entre eux, leur apportant un plaisir — puissant et profond. Mais le lien de la jeune beauté avec l’enlèvement du prince la met en danger. Et si leur amour doit survivre, il faudra qu’Alyson et Jake jouent un jeu d’intrigue qui aura des conséquences royales et mortelles.

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Classement en biblio - 30 lecteurs

extrait

Chapitre 1

Château Stirling, fin février 1403

L’ambassadeur anglais désapprouva sa mission, et ce, dès l’instant où il comprit son but. Toutefois, ce n’était pas son rôle d’exprimer ses opinions aux chefs d’État, ni au sien, et certainement pas au duc d’Albany d’Écosse, qui l’observait maintenant depuis l’autre côté de la grande table qu’Albany utilisait comme bureau dans sa salle d’audience.

Élégamment vêtu de noir, le duc de soixante-deux ans était le deuxième dans l’ordre de succession au trône d’Écosse. Pour une raison ou une autre, il avait en fait dirigé l’Écosse en tant que régent — ou gouverneur, comme disaient les Écossais — pendant de nombreuses années, et même occasionnellement lorsqu’il n’avait aucun droit à titre honorifique de le faire, comme maintenant.

Même si ses cheveux foncés avaient de plus en plus de gris, Albany était toujours aussi politiquement astucieux, et aussi impitoyable.

Ayant pendant longtemps négocié en secret avec lui au nom d’Henri IV d’Angleterre, l’ambassadeur savait que le duc avait un esprit vif et intelligent, qu’il faisait preuve de sang-froid, et était imprévisible et adroit à exercer son autorité. Son ton de voix habituel était de glace, mais il pouvait être affable si cela était utile à son but. Il était par-dessus tout un homme ayant une profonde compréhension du pouvoir et qui faisait tout son possible pour augmenter le sien.

— Vous aurez besoin d’un sauf-conduit royal, pour votre retour, dit Albany avec brusquerie.

Réfléchissant au fait que le duc lui avait déjà fait faire le pied de grue pendant quinze jours, l’ambassadeur se demanda si son sauf-conduit était devenu un problème.

— Même si nos pays respectifs jouissent d’une trêve exceptionnelle, mon seigneur, dit-il prudemment, on se sent plus en sécurité de passer par vos frontières avec un sauf-conduit. Toutefois… Veuillez me pardonner, monsieur, mais Sa Majesté est partie…

Lorsque Albany fronça les sourcils, l’ambassadeur s’arrêta encore de parler, espérant avoir mis en avant un argument. Après la mort de Davy Stewart, nombre de gens avaient cru qu’Albany y était pour quelque chose, et le roi d’Écosse ainsi que le Parlement avaient refusé de le renommer gouverneur.

Albany avait à peine attendu deux mois avant de demander que le roi réunisse ses lords de nouveau et leur en donne l’ordre. Comme d’habitude, Sa Majesté s’était soumise à la volonté plus forte d’Albany et avait donné l’ordre au Parlement de se réunir immédiatement après Pâques. Mais ses lords toujours imprévisibles se soumettraient-ils aussi facilement aux demandes du duc ?

— Personne n’osera mettre en doute la validité d’un sauf-conduit portant ma signature, dit Albany impassiblement. Maintenant, je suis sûr que vous vous êtes occupé des détails de cette affaire dont nous avons discuté tout à l’heure et que tout est en route.

— Oui, mon seigneur, confirma l’ambassadeur. Comme je l’ai dit lors de notre dernière rencontre, nous avons seulement besoin du nom de…

— J’ai reçu cette information hier soir, lança Albany sèchement en lui rappelant que le duc avait aussi une passion pour les secrets. Rappelez-vous que vous ne devez pas agir en tant qu’intermédiaire.

— En effet, mon seigneur, je dois employer le coursier qui a agi pour son… hum… pour nous avant. On suppose que les promesses que nous avons faites au sujet du cargo…

De nouveau, de façon diplomatique, il fit une pause.

— Je ne m’intéresse qu’aux affaires sur lesquelles votre maître et moi nous sommes mis d’accord, et pas un brin aux promesses faites à ses grouillots ni à celles concernant le cargo, déclara Albany. Alors, à moins que vous n’ayez autre chose dont nous devons discuter, nous avons terminé. Allez chercher votre sauf-conduit auprès de mon intendant en partant.

— Sauf votre respect, monsieur, vous ne m’avez pas encore donné le nom que je demande.

Albany le fit.

* * *

L’estuaire du Forth, le vendredi 16 mars

Lady Alyson MacGillivray, âgée de 19 ans, saisit les doigts pressants qui agrippaient son bras et tenta de s’en dégager en disant :

— Je t’en prie, calme-toi, Ciara. Si ce navire coule, t’accrocher à moi sera vain.

— Peut-être qu’il ne coulera pas, ma lady, dit sa femme de chambre dans la cinquantaine, toujours accrochée assez fort pour laisser des ecchymoses. Mais si ce navire tombe d’une autre de ces vagues gigantesques comme tout à l’heure, peut-être qu’aucune de nous n’ira voler de nouveau contre ce mur.

Alyson ne répondit pas tout de suite, ayant remarqué que même si l’immense vaisseau se balançait toujours sur les eaux de l’estuaire qui se soulevaient, les bruits qu’elle pouvait entendre avaient changé. Le vent continuait de hurler. Toutefois, les terribles craquements et crissements qui avaient fait craindre à Ciara à voix haute — et à Alyson en silence — que le navire se scinde en deux s’étaient apaisés.

— Nous ralentissons, dit Alyson.

La porte de la cabine s’ouvrit sans avertissement, et Niall Clyne, le mari d’Alyson depuis deux mois et demi, remplit l’ouverture. Il était beau, avait des cheveux blonds et des yeux bleus, et était un homme de bon caractère. Elle le connaissait depuis presque toujours. Il baissa vivement la tête en entrant, pour éviter de la cogner contre le linteau bas.

Alyson s’aperçut immédiatement de son air méfiant.

— Éteins cette lanterne, Allie, lui demanda-t-il. Maintenant, nous ne devons montrer aucune lumière à bord.

— Qui la verrait ? demanda Alyson raisonnablement. Cette minuscule fenêtre…

— Hublot, rectifia Niall.

— … a des volets, poursuivit-elle. Dans tous les cas, une faible lumière se verrait à travers. Sûrement que lors d’une nuit aussi noire que celle-ci…

— Éteins-la simplement, dit-il. Ce n’est pas sûr de garder une flamme ici par un temps aussi mauvais.

— Monsieur, s’il vous plaît, c’est assez angoissant avec elle dans cette pièce ! protesta Ciara. En fait, avec ce temps, nous n’aurions jamais dû quitter Leith Harbor ! Des hommes ont dit…

— Une lanterne renversée déclencherait rapidement un feu, lança Niall. Et sans endroit où fuir, un incendie en mer serait encore plus terrifiant qu’un incendie sur terre.

— Mais…

— Chut, Ciara, dit Alyson en regardant Niall.

Même si l’ordre qu’il avait donné était sensé, elle était aussi certaine que possible qu’il transmettait cette information de quelqu’un d’autre. Sans faire un geste pour éteindre la lanterne, et soulagée que Ciara lui ait lâché le bras lorsque la porte s’était ouverte, elle dit à Niall :

— Nous nous sommes arrêtés, n’est-ce pas ?

— Oui, ou presque, car nous avons jeté deux de nos ancres, répondit-il. Mais tu dois éteindre cette lumière, jeune fille. Même les lumières sur le pont en cas d’orage sont maintenant éteintes.

— Alors, nous ne voulons pas être vus, dit Alyson. Mais qui nous verrait ?

— Tu n’as pas à savoir cela, répondit Niall.

— Le sais-tu ? demanda-t-elle. Ou est-ce ton ami Sir Mungo qui garde ses secrets de toi ainsi que de nous ?

Avec une tension audible dans la voix, Niall dit :

— Tu dois l’appeler « Sir Kentigern », Alyson. Ses amis l’appellent « Mungo », car c’est ainsi que des amis appellent souvent un homme portant le nom de Kentigern. Mais il n’est « Sir Mungo » pour personne.

— Je passe mon temps à oublier cela, dit-elle calmement. « Sir Kentigern » est si long à dire. Mais tu ne réponds pas à ma question. Sais-tu pourquoi nous nous sommes arrêtés ?

— Non, répondit-il. Je sais seulement qu’ils ont envoyé un bateau à terre avec six rameurs pour le conduire. Maintenant, vas-tu éteindre cette lumière, ou dois-je le faire ?

— Je le ferai. Bonne nuit, Niall.

— Bonne nuit, ma lady.

À l’évidence, il lui faisait confiance, car il sortit alors et referma la porte.

Ciara attendit juste qu’il l’ait refermée pour dire, la voix paniquée :

— Vous n’allez pas éteindre cette lumière, m’dame, je vous prie ! Ce serait aussi noir que dans une tombe, ici !

— Veux-tu que Sir Kentigern descende nous voir ? demanda Alyson.

— Non, je ne veux pas, répondit Ciara. Même s’il est l’ami du maître, je ne l’aime pas.

— Moi non plus, dit Alyson en prenant soin de ne pas révéler la litote de ces trois mots dans son ton de voix. Allonge-toi maintenant sur ton lit à étage et essaie de t’endormir, quand j’éteindrai la lumière. Je n’aurai pas besoin de toi pour me déshabiller.

— Je sais bien que je ne devrais pas dormir dans votre lit, dit Ciara. Mais je le prendrai et je vous remercie, parce que grimper dans ce hamac et laisser ce navire ballotté par la tempête me faire voler dans tous les sens à chaque mouvement, je n’en ai pas envie !

— Chut, maintenant, Ciara. Profite de ce répit et essaie de dormir.

Mais pourquoi, se demanda Alyson, s’arrêtaient-ils ?

Ils avaient quitté le port de Leith d’Édimbourg au crépuscule, Sir Kentigern « Mungo » Lyle ayant insisté pour qu’ils n’attendent pas plus longtemps. Mungo était le secrétaire du comte d’Orkney, dont Niall était également au service. C’était pour des affaires concernant Orkney que les deux hommes naviguaient vers la France, et comme ils pouvaient être partis pendant des mois, Niall avait accepté d’emmener Alyson. Mungo n’avait pas caché son désaccord lorsqu’ils l’avaient rencontré au port. Mais l’insistance de Niall disant qu’il ne pouvait pas renvoyer Alyson seule jusque chez elle à Perth avait suffi. Il restait à voir si Orkney apprécierait la nouvelle lorsqu’il apprendrait qu’elle se trouvait avec eux.

Alyson avait rencontré le comte, qui n’avait que quelques années de plus qu’elle, à plusieurs reprises. En tant que noble le plus riche d’Écosse, faisant partie des plus puissants, Orkney connaissait sa valeur, mais il n’était pas aussi gonflé par son estime de lui-même que l’était Mungo.

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Commentaires récents

Argent

Je suis un peu déçue de ce livre… il n’est pas nul mais je me suis ennuyée, l’intrigue ne m’a pas passionné…

11/20

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Argent

Des personnages avec des caractères puissants, déstabilisants. Attachants. Cette histoire est d’un immense romantisme et pleine de rebondissements. Délicieuse. Chaleureuse. Un entre-deux parfait.

#Highlanders #romance #érotisme #attirance #passion #désir #séduction #amour #tendresse #douceur #sexy #humour #suggestiondelecture #lecturedumoment #lecturedusoir

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Argent

alors j'ai bien aimé c'est bien das le style romance historique après y'as ausis une histoire d'espionnage dela couronne autour donc ça c'était pas mal, Spoiler(cliquez pour révéler)après j'étais persuadé que Niall été le traître, et je sentais qui allait réapparaître mais finalement il n'était qu'en marionette et bon le rêve d'alyson c'est concrétiser pour passé un peut moment de lecture sympa

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  • Highland Lover (Scottish Knights Trilogy #3) - Anglais

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Les chiffres

lecteurs 30
Commentaires 3
extraits 1
Evaluations 9
Note globale 7.78 / 10

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