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Les Chevaliers d'Héliopolis, Tome 1 : Nigredo, l'œuvre au noir



Résumé

Fin du XVIIIe siècle. Dans un monastère au Nord de l’Espagne se dissimule le temple sacré des Chevaliers d’Héliopolis : une assemblée d’alchimistes immortels et coupés du monde. Alors que le disciple Dix-sept s’apprête à compléter sa formation et à intégrer l’ordre, son maitre Fulcanelli dévoile aux autres chevaliers le terrible secret de ses origines. Dix-Sept est en réalité le fils caché de Louis XVI et de Marie-Antoinette : le roi de France Louis XVII ! Héritier de cette destinée, le jeune homme va-t-il réclamer le trône qui lui est dû ou rester dans l’ombre, fidèle aux préceptes millénaires de l’Alchimie ?

Le destin de Louis XVII qui mourut à 10 ans dans les geôles de la prison du Temple est, au même titre que L’Homme au masque de fer, l’un des plus grands mythes de l’Histoire de France. Un destin romanesque que le génial Jodorowsky réécrit avec brio dans une grandiose fable initiatique et ésotérique. Le trait virtuose de Jérémy (Barracuda) donne aux Chevaliers d’Héliopolis la force d’une fresque épique mêlant les secrets de l’alchimie aux arcanes de l’Histoire.

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Classement en biblio - 44 lecteurs


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Commentaires récents

Or

Une superbe BD.

Faire une uchronie, faire que le fils de Louis XVI et de Marie-Antoinette, un androgyne parfait et qu'il devienne un alchimiste, c'est du génie.

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Or

Une histoire très intéressante mêlant aventure, histoire, fantastique et bande dessinée à merveille. Les dessins sont très bien réalisés. On est plongé dans l'histoire de France, avant, pendant et après la révolution française. Le scénario me donne envie de poursuivre.

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Pas apprécié

J'osais espérer que les décennies séparant les premières oeuvres de Jodorowski de cette nouvelle parution présenteraient une certaine fraîcheur. Le verdict : un condensé de thèmes littéraires éculés, et de culture populaire dénaturée sous la plume d'un duo d'auteurs en quête de succès facile.

Il y a matière à tomber des nues dès la première moitié de l'intrigue. D'une part, les circonstances abracabrantes de la naissance de "Dix-Sept", fils héritier de Louis XVI et Marie-Antoinette. D'autre part, son allure, invraisemblabe : une panoplie digne d'une épopée d'heroic fantasy, une coiffure en épis de héros manga, et un corps d'homme adulte - il est pourtant à peine pubère. Le travail de Jérémy, bien que prometteur au sortir de sa période "Barracuda", s'enlaidit au fil du temps. Plus il s'efforce de rendre hommage à feu Philippe Delaby, moins son dessin y gagne en personnalité, virant petit à petit à la pâle copie du maître.

Un rapide tour d'horizon permet de constater que Jodorowski n'a pas évolué, ni intellectuellement, ni psychologiquement parlant, en quarante ans de service pour la bande-dessinée francophone. Dix-Sept naît "hermaphrodite", doté d'attribus physiques féminins et masculins. Le physique du personnage penche néanmoins davantage pour la masculinité que pour l'androgynéité. Sa part féminine, cette "beauté", ne se manifeste lorsque d'autres hommes perçoivent Dix-Sept comme un objet de désir. Le lecteur assidu peut y reconnaître un fantasme propre à ce scénariste pour les intersexuels, motif récurrent de certains de ses albums précédents. Un fantasme tant appuyé qu'il frôle parfois le malsain, de même que ses autres obsessions pour la sexualité des homosexuel(le)s, et l'importance de la virilité.

En outre, Jodorowski taillade allègrement dans l'Histoire de France sans se soucier de vraisemblance historique, et se pense original en élaborant les aventures d'un Louis XVII immortel, placé sous la férule d'une secte pseudo-alchimiste. L'intrigue en soi, bien menée, eut pu être innovatrice. Les discours ésotérico-philosophiques s'avèrent fumeux, les états d'âmes des protagonistes peu intéressants. L'univers esthétique et les scènes d'action paraissent avoir été calqués sur ceux du jeu vidéo "Assassin's Creed". Les femmes occupent une place moindre dans son intrigue, ou bien elles n'existent et n'évoluent que dans l'ombre d'un protagoniste masculin plus important - comme de coutume, chez Jodorowski. Aucun acteur historique n'est épargné par le couperet tranchant de l'imagination débordante du scénariste, et sa propention à la caricature.

Louis XVI est présenté comme un homme tour à tour sexuellement impuissant puis libidineux, conformément aux calomonies proférées lors de la Révolution.

La reine est une femme dénuée d'individualité et décrite comme hautaine, méprisante envers son fils - ah, cette chienne d'Autrichienne !

Le couple est conseillé par un alchimiste à la cour de Versailles, et de leur union un fils unique voit le jour. Il semble que la mention d'un autre fils - mort en bas-âge - et de deux filles supplémentaires ait été quelque peu... négligée.

Jean-Paul Marat est un anti-monarchiste extrémiste. Il fait assassiner un jeune garçon qu'il pense être Louis XVII et recupère le coeur de sa victime. Puis il le place dans un bocal de verre et le contemple à loisir, posé sur l'écritoire installé au-dessus de sa baignoire.

La boulangère royale - seul son nom a été véritablement porté par une personne réelle - est d'une servilité crasse. Elle se laisse séduire et engrosser par Louis XVI sans broncher, puis abandonne son enfant afin d'endosser sa fonction nouvelle de nourrice royale. A noter : il est remarquable que les deux valets auxquels elle confie son propre fils n'aient pas la présence d'esprit d'élever l'enfant, et préfèrent le laisser aux soins d'une chienne. La paresse n'est pas mise en cause : il semble qu'ils ne sachent sincèrement pas s'occuper d'un enfant. Je serai fort curieuse de connaître la manière dont le scénariste a élevé ses propres enfants. Pas seul, je l'espère.

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Lu aussi

Sujet intéressant mais mal exploité, le scénario manque de logique et de clarté.

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Lu aussi

Un Jodorowsky en service commandé, qui réexploite ses filons habituels en les transposant avec son aisance coutumière dans un XIXe siècle hérité du cataclysme révolutionnaire : mysticisme, initiation, héritage et secrets millénaires se côtoient dans un rythme enlevé qui fait qu'on ne prend pas vraiment le temps de s'attarder sur les personnages. On y use avec malice des ressorts de l'Histoire officielle pour y introduire ceux d'une Histoire occulte qui pourrait transfigurer le monde : les faits sont les mêmes (la décapitation de Louis XVI et Marie-Antoinette, l'assassinat de Marat) mais leur signification et leurs causes subtilement modifiées.

Plus trépidante qu'ésotérique, une aventure intrigante qui mérite qu'on s'y attarde.

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Lu aussi

C'est original certes à n'en pas douter un seul instant !

Héliopolis me fait plus penser à l'Egypte qu'à la Révolution française...

Les emprunts et les arrangements faits à l'histoire de la Révolution française me laissent quelques peu perplexes... Tout n'est pas très clair pour l'instant.

L'ensemble de ce premier tome est prometteur mais pâle et, surtout, laisse quelque peu... perplexe au fur et à mesure de la lecture. Le style et l'ambiance nous transporte bien dans la période certes. Mais le contenu en lui-même laisse réellement très perplexe quant aux objectifs des auteurs concernant le devenir des personnages.

L'utilisation de l'alchimie n'est pas nouveau dans l'Histoire (et les histoires) mais, pour le coup... je ne vois pour l'instant pas trop l'intérêt de son utilisation quant à l'histoire en elle-même.

Pour finir, je feuilletterais à l'occasion le second volume mais l'ensemble me laissant trop perplexe, je suis dans le doute quant à la poursuite de la lecture de cette BD.

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Lu aussi

Alors. C'est original : ça, on ne va pas le nier !

Mais je n'ai clairement pas adhéré à l'ambiance et l'histoire (même si j'adore les dessins de Jérémy ; que j'ai connu grâce à Barracuda) ! Ce n'est pourtant pas ma période historique favorite mais je m'étais laissé prendre par le résumé et... Meh.

À la fin, j'étais assez perplexe et je ne pense pas continuer.

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Bronze

Un premier tome prometteur bien qu'encore un peu pâle, mais les débuts sont rarement pleinement représentatif, surtout lorsqu'il s'agit encore de poser les bases. Original dans l'ensemble, il promet beaucoup et j'espère une suite plus particulière encore.

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Lu aussi

Au départ, je ne pensais pas découvrir une BD, mais un comics. Erreur de ma part, j'ai malgré tout eu cet attrait de la découvrir car lors de ma commande les extraits avaient été le déclencheur. Quoiqu'il en soit, ce premier tome est comme un long premier chapitre qui vient doucement poser les premières bases. Le scénario n'est pas puissant et nous laisse sur notre faim. Cependant, les dessins et les couleurs viennent apporter une beauté incroyable à l'histoire. Même si sur le plan scénario, c'est léger, pas de doute que la suite sera plus puissante.

(Cette critique fut écrite pour le site "Brain de Geek", mais elle n'est plus disponible)

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Date de sortie

Les Chevaliers d'Héliopolis, Tome 1 : Nigredo, l'œuvre au noir

  • France : 2017-05-17 (Français)

Activité récente

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2024-01-02T13:56:18+01:00

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Note globale 6.83 / 10

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