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— Un homme demande à vous voir, monsieur Bane. D’expérience, Claude savait que les affaires de Magnus n’exigeaient pas qu’on demande leur nom aux visiteurs.

— D’accord, fit Magnus en soupirant. Qu’on le fasse entrer.

— Monsieur recevra-t-il son visiteur dans son bain ?

— Monsieur y songe, figurez-vous ! répondit Magnus en soupirant plus fort encore.

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Quant à ses habits... Eh bien, Marcel se fournissait chez le même tailleur que Magnus. Autant dire, donc, qu'il avait des vêtements fabuleux.

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Magnus avait ensorcelé un superbe éventail chinois pour qu’il brasse l’air autour de lui, mais l’objet ne produisait qu’une maigre brise tiède, et le sorcier dut reconnaître (à contrecœur) qu’il faisait vraiment trop chaud pour porter son nouveau manteau en satin et taffetas à rayures bleu et rose, son veston en soie brodé de motifs d’oiseaux et de chérubins, son col cassé, sa perruque, sa culotte en soie et ses sublimes gants jaune citron tout neufs…

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-Coucou, fit Magnus.

le singe ne répondit pas.

-Je vais t'appeler Ragnor, conclut le sorcier en s'adossant à ses oreillers. Claude!

La porte s'ouvrit et Claude apparut. Le serviteur, qui ne semblait pas le moins du monde surpris par la présence du petit Ragnor, se contenta d'éponger le thé éclaboussé par terre.

-J'aurais besoin d'une laisse pour mon singe, réclama Magnus. Ah, et d'un chapeau!

-Bien, monsieur.

-Pensez-vous qu'il aura aussi besoin d'un petit manteau?

-Peut-être pas par cette chaleur, monsieur.

-Pas faux, répondit Magnus en soupirant. Mais faites lui faire une robe de chambre classique, comme la mienne.

-Laquelle, monsieur?

-La rose et argent.

-Excellent choix, monsieur, dit Claude en s'affairant auprès des plumes d'autruche.

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— Vous êtes monsieur Magnus Bane, dit l’homme.

Ce n’était pas une question. À vrai dire, il était rare qu’on confonde Magnus avec quelqu’un d’autre, puisque les hommes grands, à la peau dorée et aux yeux de chat ne couraient pas les rues.

— Lui-même, répondit Magnus.

La plupart des aristocrates que connaissait

Magnus arboraient cet air distrait des gens qui n’ont jamais été confrontés à un seul problème de toute leur vie. Rien de telchez cet homme, qui se tenait très droit et arborait une expression résolue. De plus, il parlait avec un léger accent étranger que

Magnus ne parvenait pas à identifier.

— Je m’en remets à vous pour régler une affaire de la plus haute importance ! Je ne me serais jamais adressé à vous en temps normal, seulement… Je…

Magnus connaissait bien ces hésitations

: il arrivait souvent que les gens deviennent nerveux en présence d’un sorcier.

— Vous êtes tendu, remarqua Magnus avec un sourire. Laissez-moi vous mettre à

l’aise, c’est l’un de mes plus grands talents.

Asseyez-vous et prenez un verre de champagne.

— Je préfère rester debout, monsieur.— Comme vous voudrez, mais puis-je avoir l’honneur de savoir à qui j’ai affaire ?

— Je suis le comte Axel de Fersen.

Un comte ! Prénommé Axel ! Militaire !

Brun aux yeux bleus ! Et dans le désarroi, qui plus est ! Oh ! le destin s’était surpassé ! S’il l’avait pu, Magnus lui aurait fait livrer des fleurs !

— Monsieur Bane, on m’a parlé de vos talents. Je ne sais pas si je dois les croire ou non, mais des gens rationnels, intelligents et sensés m’ont juré que vous étiez capable de miracles qui dépassent mon entendement.

Magnus leva les mains dans un geste de fausse modestie.

— Tout ce qu’on dit de moi est vrai, du moment qu’on me prête des qualités exceptionnelles.

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La Révolution inspirait des sentiments contradictoires à Magnus. D’accord, le peuple avait faim : le prix du pain était exorbitant. D’accord, Marie-Antoinette avait envenimé la situation en proposant à ceux qui ne pouvaient s’acheter du pain de manger de la brioche. D’accord, le peuple avait le droit de réclamer de quoi manger et se chauffer, et tout ce qu’il fallait pour survivre. D’accord, Magnus avait toujours beaucoup compati au malheur des pauvres… Mais d’un autre côté, seule la France avait atteint un tel degré d’excès et de sophistication, et Magnus adorait ça.

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Il a essayé d'apprendre des phrases de séduction dans toutes les langues, mais la seule phrase suédoise qu'il ait jamais vraiment eu besoin était," Servez-vous quoi que ce soit en dehors du poisson mariné? "et "Si vous m'enveloppez dans des fourrures, je peux faire semblant d'être votre petit ours."

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He tried to learn seductive phrases in all languages, but the only Swedish he had ever really needed was, "Do you serve anything aside from pickled fish?" and "If you wrap me in furs, I can pretend to be your little fuzzy bear.”

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- Monsieur, êtes-vous avec nous? Avons-nous votre parole, monsieur?

C'était également une très mauvaise idée.

C'était une très mauvaise idée.

C'était la pire idée qu'il n'avait jamais entendu.

C'était irrésistible.

- Votre parole, monsieur, dit encore Axel.

- Vous l'avez, a déclaré Magnus.

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“Monsieur, will you stand with us? Do we have your word, monsieur?”

It was also a very bad idea.

It was a terrible idea.

It was the worst idea he had ever heard.

It was irresistible.

“Your word, monsieur,” Axel said again.

“You have it,” Magnus said.

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Être fabuleux devenait lourd à porter !

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On ne déclinait pas une invitation de Marcel Saint-Cloud. Pas si on voulait continuer à vivre paisiblement à Paris. Les vampires étaient tellement susceptibles... En particulier les vampires parisiens !

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