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Les chroniques des crépusculaires



Description ajoutée par mounzaza 2013-06-14T17:04:03+02:00

Résumé

Le baron de Rochronde n'est plus. Et, selon la coutume, son fils Agone doit lui succéder. Or, peu enclin à suivre les traces de son père, guerrier sanguinaire impitoyable, celui-ci se destine à une vie d'érudit itinérant. Agone accepte néanmoins la dernière requête du défunt : passer une semaine au collège occulte du Souffre-jour, où d'éminents maîtres d'armes et de magie initient aux arcanes de puissants pouvoirs. Là, il va découvrir le sens de sa destinée... Alors que grandissent menaces extérieures et conspirations fomentées par les adeptes du Cryptogramme-magicien, l'héritier de Rochronde, armé de sa fidèle rapière Pénombre et rompu aux plus redoutables arts magiques, saura-t-il trouver son salut et délivrer les Royaumes Crépusculaires qui sombrent dans la tourmente ?

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Classement en biblio - 85 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par anonyme 2019-10-31T11:52:06+01:00

Ils se concertèrent puis se dispersèrent dans le labyrinthe de ma mémoire. Mon esprit ne perdait rien de leur progression. Ils avançaient sans méfiance comme si rien n’était susceptible de les arrêter. Je me mis à courir en hurlant le nom de Pénombre.

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Commentaires récents

Pas apprécié

J'ai décroché au livre 2 de cette intégrale.

Un départ moyen mais qui aurait pu se rattraper par la suite alors que ça devient la descente aux enfers...

Mon attention durait une phrase ou deux et pouf j'étais distraite par le chat qui voulait des câlins et c'était bien plus intéressant agréable que de lire ce 'livre'.

C'est bâclé, le personnage principal trahi tout ceux qu'il croise, tombe sous le charme d'une femme sans qu'on comprenne pourquoi (j'en ai lu de la romance et il s'en fait des films 😅), au final, c'est la rapière qui est la plus intéressante.

Il y a peu de détails et les événements arrivent un peu comme ça sans trop savoir comment.

Bref je n'ai pas aimé et à partir du second livre j'ai lâché prise je n'en pouvais plus 😵

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Pas apprécié

Je n’ai pas aimé du tout. Si je n’avais pas lu ce livre dans le cadre d’une lecture commune, j’aurais abandonné au début de la deuxième partie, voir à la fin de la première. Au vu des critiques très élogieuses sur ce livre et sur l’auteur, je suis extrêmement déçue. Bien sûr, cette critique ne reflète que mon avis personnel. Mais quand je n’aime pas, je le dis.

Mon problème principal sur ce livre, ça a été les personnages, et en particulier le protagoniste. Au tout début, Agone avait des choses pour plaire : il semblait convaincu et sûr de lui, du genre idéaliste. Et pourtant, il laisse tomber toutes ses convictions en à peine trois jours, retourne sa veste au premier pépin (n’hésite pas à livrer des gens à des envahisseurs partis pour les massacrer, sans problème de conscience).

Au début un gentil petit itinérant pacifique, il devient un guerrier sanguinaire et un mage noir en quelques semaines à peine. J’ai bien compris la tentative du « personnage qui est rattrapé par son passé », mais non, ça ne passe pas, c’est trop rapide, trop radicale. De plus, Agone, qui parle beaucoup en prenant soin de ne jamais réfléchir avant de l’ouvrir, dit par exemple quelque chose dans un paragraphe ou fait une promesse, puis change d’avis à la page suivante parce que… parce que rien en fait, il n’y a aucune raison particulière. Ça devient particulièrement ridicule quand le personnage d’Eyhidiaze apparait. La fille ne s’intéresse pas à lui. Elle lui parle genre trois fois pour l’engager, avant d’apprendre qui il est, ce qu’il a fait, et de le mettre dehors. Et Agone, cette fois dans le rôle de « l’amoureux maudit », s’imagine qu’Eyhidiaze l’aime en retour sans oser l’avouer… alors ça c’était le pompom. C’était tellement mal amené… Bref, Agone est un personnage vraiment farfelu, qui fait confiance pour trahir ensuite, qui refuse d’être accommodant avec les personnes qui l’aident, qui change d’avis comme de chemise, qui parle et agit sans réfléchir pour ensuite regretter… Sans compter qu’il n’hésite pas à raconter son histoire à qui veut l’entendre (alors qu’il est supposé être recherché pour ses crimes), et qui trinque sans problème avec un homme qu’il pense être un ennemi dangereux pour sa vie, jusqu’à en être bourré. Bref, c’est quelqu’un de difficile à suivre et à supporter tant il est sans fond, sans personnalité, sans caractère. Il y a un gros problème de background et de caractère/personnalité sur ce personnage. En plus le récit est à la 1ère personne, ce qui peut vite devenir un piège. Ici c’est le cas : très vite je n’ai plus compris le protagoniste, et j’en suis venu à « subir » cette lecture.

Il se plaint, tout le temps de « subir » les choses, d’endosser des responsabilités qu’il ne voulait pas… alors que tout résulte de ses propres choix, aussi stupides et illogiques soient-ils. Il a décidé de trahir des gens et les faire massacrer, mais ce n’est pas sa faute. Il a voulu prendre le pouvoir et diriger tout le monde, finalement ne sait pas quoi faire, mais ce n’est pas sa faute. Dans les deuxième et troisième parties, j’ai eu l’impression de lire le mot « doute » au moins 50 fois, c’était insupportable.

Agone a également un gros problème de conscience (qui n’existe pas). Après la chute du Souffre-Jour, il souffre, est « profondément ému » à l’idée que les arbres aient pu brûlé… par contre, pas une seule allusion aux pertes humaines. La mort des professeurs et des élèves, bah, on s’en fiche, puisque la première partie n’approfondit que les arbres et pas le reste. Quand il acquiert de nouveaux pouvoirs, il ne songe pas une seule seconde à les utiliser pour les autres. D’ailleurs, de manière générale, il cause des morts partout où il va, sans que ça l’affecte particulièrement. Pour un supposé itinérant altruiste avec des valeurs pacifiques, ça l’affiche mal.

Ajoutons également qu’Agone apprend un nouveau pouvoir quasiment à chaque partie, et surtout il apprend les bases de tout très très vite. Mais jamais, de lui même, il ne va essayer de terminer ses différents apprentissages. Il n’y pense que quand il en a besoin. Novice en tout, Maitre en rien. Malgré tout, avec ses petites bases apprises en quelques jours, il réussit miraculeusement à vaincre des professionnels qui ont plusieurs années d’expérience, et qui se surcroit sont plus nombreux que lui. Incroyable, quel talent !

J’en arrive aux personnages secondaires. Les vivants vont et viennent selon les besoins, sans qu’on sache grand chose sur eux, ou sur leur caractère. Les morts, eux, sont vite oubliés : Hurlanc, Arlequin et Mélodène ne sont presque plus évoqués après leur mort, et au final on n’apprend jamais les motivations de Hurlanc et Arlequin. Ils étaient là pour remplir un vide de quelques pages semble-t-il. Il y a bien quelques personnages que l’auteur a essayé d’approfondir, ça se sent, mais c’est mal exécuté, on nous déballe leur passé comme ça d’un coup, et comme le personnage est voué à mourir deux pages plus loin, c’est maintenant ou jamais pour l’explication, donc je te la balance comme ça d’une traite. C’est bien sûr mon avis, mais je trouve que c’est bâclé. Les personnages apparaissent et disparaissent au gré des besoins de l’auteur, sans justification, sans explication : ça m’a franchement donné l’impression d’avoir affaire à des automates sans aucune personnalité.

Passons maintenant à l’intrigue. Dans la première partie, l’aspect école n’est pas creusé du tout. Agone n’a aucune véritable intéraction avec les professeurs (hormis Mélodène) et les élèves (sauf deux altercations avec un personnage dont on ne connait même pas le nom). On ne dirait pas que le Souffre-Jour est une école, et au final, on ne sait même pas ce qui est enseigné. Je doute que les élèves passent des années à causer « rapière imaginaire » avec tous leurs professeurs. Alors non, je ne demande pas 7 années détaillées à Poudlard, mais j’apprécierais qu’il se passe un minimum de choses qui ressemblent à un apprentissage ou à des relations sociales, c’est une école, quoi ! Et tout ce qu’on y voit, ce sont des arbres. L’Accord apparait subitement. ce concept semble bien connu de manière générale, donc il est étonnant qu’Agone, qui se destinait quand même à être un enseignant itinérant, n’en ai jamais entendu parler. Son éducation laisse à désirer, on dirait qu’il sait juste lire et écrire et qu’il ne connait rien d’autre sur le monde qui l’entoure… et surtout, pourquoi demander des explications quand on peut se complaire dans son ignorance ? Tout bascule brutalement au jour 4, et alors là, plein de choses tombent du ciel par miracle, notamment un complot qui sort du chapeau. Et bam, on est plongé dedans, sans connaitre ni les objectifs, ni les motivations des gens qui en font partie, et je ne parle même pas du contexte géopolitique qui est cité, mais surtout pas expliqué pour justifier tous ces bouleversements. Bref, tout est décousu. L’auteur lance beaucoup de perches au lecteur, mais impossible d’identifier un vrai fil conducteur parmi toutes les informations données dans cette partie.

Dans la deuxième partie, enfin, l’intrigue se précise un peu. On apprend enfin ce qu’est le Cryptogramme-Magicien. Le contexte géopolitique est évoqué, une fois. Mais le fameux complot ne tient pas la route. Que le chef de la révolte soit un farfadet, soit, j’admets, mais son plan pour prendre le pouvoir, réfléchi pendant quinze ans, repose sur le fait que des chats fassent peur aux petites créatures source de magie… Je trouve ça nul. Le farfadet au nom imprononçable veut en gros détruire les ordres de magiciens du pays… pour donner la magie au peuple, sachant qu’aux portes du royaume, les armées voisines attendent pour envahir. Et le farfadet est censé être un adversaire impressionnant… Encore une fois, je reproche un grand manque de logique. Des complots, j’en ai vu dans les livres, et je trouve celui-ci particulièrement mauvais. En plus, l’action se base sur le fait que le farfadet prétend qu’Agone est en danger et que les censeurs le cherchent. Il n’y a pourtant pas de raison pour que son nom ait fuité après l’incendie du souffre jour. D’ailleurs, à part Agone et le farfadet, PERSONNE ne fait allusion à la chute du Souffre-Jour…

Toujours dans la deuxième partie, Agone est censé perdre la mémoire à cause de l’Accord. Pourtant, rien dans son comportement ni dans ses pensées n’indique qu’il a perdu 90% de ses souvenirs. Il le dit « j’ai perdu la mémoire », et c’est tout. No problem, je ne me souviens plus que des quelques dernières semaines vécues, mais c’est pas grave tout va bien. MAIS, miracle encore une fois, dans la troisième partie, Agone se souvient, toujours sans explication :

- de sa soeur Ewelf, de son demi-frère Mésume et du domaine de Rochronde

- du chevalier Thobald qui les accompagnait son père et lui à Lorgol

- de l’aile du château de Rochronde où il se réfugiait pour lire les Devoirs de l’Itinérance

- des visites nocturnes avec son père dans les égouts de Lorgol

Donc, je ne peux m’empêcher de me demander, a-t-il miraculeusement retrouvé la mémoire dans un paragraphe que j’ai loupé, ou l’auteur s’est-il perdu lui-même dans sa propre intrigue, ses propres idées ?

Quant à la troisième partie, que dire ? Mon principal problème sur cette partie a été, comme son nom l’indique, Agone, qui brille par son manque de logique et de consistance, comme les autres personnages d’ailleurs.

J’en arrive maintenant à la magie sous ses différentes formes. Les arbres magiques, bon, pourquoi pas, même si je n’étais pas emballée. Mais il y a deux choses qui auraient pu sauver ce livre : les rapières et l’Accord. Encore aurait-il fallu faire l’effort d’approfondir ces thématiques au lieu de balancer toute la théorie en quatre pages condensées respectivement, façon cours magistrale. Une fois la première partie terminée, on abandonne quasiment ces aspects pour se concentrer sur les « danseurs », les petits êtres qui produisent de la magie… en dansant. Je n’ai pas accroché non plus, j’ai trouvé ça ridicule, pas sérieux du tout. C’est tout sauf intéressant, d’autant que passé la deuxième partie, Agone n’utilise plus du tout son danseur. Donc, on découvre au moins un pouvoir à chaque partie, et on le laisse tomber en commençant la suivante… D’autant que l’existence de ces danseurs n’est pas joyeuse. Car la sorte de magie la plus développée dans ce livre consiste à : 1) crucifier les danseurs sur les roues des chariots pour avancer plus vite, 2) les faire s’entre-tuer, et 3) les démembrer. Bref, violence gratuite, sans même une once de morale derrière, rien, et ça je n’ai vraiment pas apprécié.

Au début, quand j’ai constaté le fouilli, je me suis dit que ça devait être un premier livre, sûrement pour les enfants. Puis les morts ont commencé à pleuvoir, donc finalement non, ce n’était pas pour les enfants. Il y a quand même beaucoup de violence dans ce livre, non justifiée, non réfléchie, et surtout, il n’y a aucune morale là-dedans (en tout cas moi je ne l’ai pas vue). Et en même temps, il y a tellement de choses qui ne sont pas crédibles.

Enfin, termine avec un autre détail qui m’a gêné à chaque fois que je l’ai lu : si on dit « les Marches Modéhennes » et « les Communes Princières », pourquoi dire « LA Provinces Liturgiques » ??

Je n’ai pas pu m’empêcher, pendant ma lecture, de faire des comparaisons avec des livres publiés à la même époque, par des auteurs Français ou étrangers. Je trouve ce livre tellement en-dessous de tout. Si à l’époque on a fait tout un tas de pub pour ce livre, comme le laissent entendre d’autres commentaires, alors qu’il y en a tellement d’autres largement meilleurs, alors pas étonnant que la fantasy soit si mal considérée en France…

Je me suis souvent demandé s’il ne manquait pas un « i » dans le nom d’Agone. Ça expliquerait bien des choses.

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Pas apprécié

(lecture commune)

Pas une lecture pour moi, trop vieux probablement mais plus sûrement à cause de l'incompréhension dans laquelle ce livre m'a laissée. En effet, je n'ai rien compris à l'univers ou au caractère du personnage principal. On peut dire que l'univers a l'air vraiment riche mais tellement mal explicité, on a pratiquement, voire aucun, détail sur le fonctionnement. Du coup on nage dans le flou complet, l'intrigue n'a aucun sens et les différents personnages n'ont décidément pas plus d'intérêt. Le personnage principal manque cruellement de personnalité et de cohérence, il s'accroche à ses idéaux pendant 200 pages et finit par les laisser tomber en 5 lignes sans même se poser de questions. C'en est exaspérant.

Bref, je n'ai pas aimé.

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Or

Mon premier véritable livre de fantasy. J'ai été totalement subjuguée par ce monde, l'ambiance installée par l'auteur, les nomenclatures qui donnaient à cet univers tellement d'étrangeté. Je n'ai jamais trop raffolé des scénarii de Gaborit, assez classiques quoique toujours plaisants à lire. En revanche, tous ses univers m'ont toujours fascinée. J'ai une immense sympathie pour la sensibilité de cet auteur et sa façon de construire des mondes.

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Or

J'ai lu ce livre il y'a très longtemps (15 ans) mais aujourd'hui encore je me souviens à quel point il m'avait marquée.

Ouvrir ce livre ça a été pour moi comme entrer dans un autre univers qui m'a totalement aspirée. J'ai été totalement accrochée par la magie de ce livre, j'ai été transportée ...

Je garde de ce livre un souvenir précieux et je n'arrive pas à me décider à le relire alors que j'en ai très envie parce que j'ai peur de changer de sentiment.

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Argent

J’avoue que j’ai été assez surpris en lisant ce livre.

Le début est vraiment étrange, on ne sait pas trop où l’intrigue va nous conduire , j’ai même failli abandonner mais la fin est vraiment bien mené et on ressort de la lecture impressioné.

Mathieu Gaborit a un très bon style d’écriture qui met en valeur le scénario et nous offre un monde très réussi entre complots, magie et batailles.

Les personnages sont super et jouent très bien leur rôle dans une intrigue avec beaucoup de retournements de situation.

Un bon livre à lire qui offrira une lecture sympa et détendante aux amateurs de fantasy.

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Pas apprécié

Je suis assez mitigée, car d'un côté j'ai trouvé le monde vraiment réussi, et fascinant, et de l'autre j'ai vraiment eu du mal avec le personnage d'Agone, qui semble avoir des principes mais qu'il s'empresse de renier à la première occasion, quitte à devenir ce qu'il déteste. Il ne s'embarrasse pas non plus quand il s'agit de sacrifier ses ennemis, mais aussi ses amis, pour le bien commun. J'ai du mal à apprécier une histoire si je trouve le personnage principal antipathique, c'est dommage car le reste du monde (et des personnages) sont vraiment bien.

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Or

Entre onirisme et fantasy, Mathieu Gaborit signe là une œuvre étonnante, à des lieues de ce qu'on trouve d'ordinaire dans les librairies. Il démontre son imagination foisonnante et nous fait rêver par sa plume enchanteresse, qui nous dépeint un monde moitié baroque, moitié féerique. L'ambiance est souvent sombre, mystérieuse, mais toujours très poétique. Certaines scènes m'ont vraiment transportée dans un autre univers.

L'un des grands noms de la fantasy française, à ne surtout pas rater.

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Or

Un livre découvert par hasard et qui nous plonge dans un univers un peu différent de ce qu'on a l'habitude de trouver en fantasy. Quelque chose de spéciale se dégage de ce livre autant par son récit que par ses personnages et son histoire. Il y a quelques longueur par moment et le rythme semble lancinant. Parfois des descriptions que l'on aurait aimer plus longue mais cela reste anecdotique et n'enlève en rien le plaisir

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Or

Dans un univers baroque sur toile de Renaissance, Agone, fils de baron qui a choisi la voie d'érudit est contraint par testament magique de passer quelques jours dans un collège légendaire et étrange. Dans un univers sombre où la magie est omniprésente le récit emporte le lecteur dans un roman d'apprentissage où l'onirisme et le merveilleux sont présents. Un monde peuplé d'une faune diversifiée à la magie spectaculaire et innovante pour l'époque. Malgré des événements et descriptions un peu bâclées sur la fin, un récit linéaire , le lecteur est transporté par la plume d'esthète et l'émerveillement de l'auteur pour le merveilleux et la magie dans les terres obscures des Crépusculaires. A l'époque de la sortie du livre, l'auteur sortait du lot avec une histoire se déroulant dans un monde original, cohérent, détaillé où l'on sentait poindre la formation de rôliste de celui-ci. Un roman incontournable de la fantasy malgré un manque de punch dans la progression de l'histoire à la dynamique qui s¿essouffle parfois et fait penser au jeu de rôle. Un final en accélération et un peu rapide toutefois. Une très belle histoire de fantasy, sombre à souhait mais jamais trop manichéenne.

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