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Chapitre 8, page 194
Gabe ressera le col de son blouson autour de son cou pour se protéger du vent glacial qui sifflait autour d’eux. Ils s’étaient réfugiés tout les quatre sois l’auvent d’une banque fermée, près du quartier Mission District, dans l’espoir de réussir à se sécher un peu. En vain. Le tonnerre continuait à déchirer le ciel au-dessus d’eux, dans un déluge implacable.
Ils avaient passés la dernière demi-heure, d’abord en marchant puis dans le tram, à écouter Brett leur répéter les paroles de Greta Jaeger.
Gabe avait été profondément contrarié à l’idée de déménager de San Francisco, mais changer de ville et prendre ses marques dans une nouvelle école, il l’avait déjà fait et povait l’accepter.Mais toute cette magie, ces créatures étranges et ces sectes apocalyptiques, c’était trop pour lui. Mais qu’es-ce que je fabrique (désolé, on peut pas lettre du texte en italique mais là c’est Gabe qui pense) ?
Poutant, il possédait la réponse à sa propre question. Son foyer avait été détruit, et son oncle kidnappé.
Mais de tous ce qui s’était passé dans cette journée, de tous les événements incroyables et terrifiants qu’il avai affrontés... ce qui l’obsédait le plus, c’était cette phrase, dans le mail de l’oncle Dan:
Je suis à DEUX DOIGTS d’obtenir des informations pour localiser Aria.
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