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Liste des extraits

Extrait ajouté par MSNordlys 2021-06-01T17:19:23+02:00

Quand on regarde les gens mentir aussi souvent que nous l’avons fait, on a vite fait de repérer les signes par lesquels les autres se trahissent.

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Extrait ajouté par MSNordlys 2021-06-01T17:20:29+02:00

Mais rappelle-toi bien que pour être une femme équilibrée, il est important d’avoir une grande variété d’amies. Pourquoi tu ne passerais pas le week-end avec une des autres filles ? Ou même ici ; ce n’est pas comme si le lycée était vide le week-end.

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Extrait ajouté par MSNordlys 2021-06-01T17:19:35+02:00

C’était la règle la plus importante du Jeu du Mensonge. Mentir à tous les autres, oui. Mais les unes aux autres : jamais.

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Extrait ajouté par Paraffine 2021-03-09T12:51:05+01:00

Un dernier effort héroïque et le chien recule d’un pas mal assuré sur la rive, une forme dans la gueule. Triomphant, il escalade la berge pour déposer son trophée aux pieds de sa maîtresse.

Et sous les yeux sidérés de celle-ci, le chien haletant à ses pieds, le silence recouvre la baie comme une marée montante.

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Extrait ajouté par Paraffine 2021-03-09T12:50:21+01:00

Ce n’est que l’alerte ordinaire d’un texto, un bip bip étouffé dans la nuit. Owen ne bronche pas, et je ne me serais pas réveillée non plus, sauf que je ne dormais pas ; étendue dans le noir, je contemplais le plafond, avec le bébé à mon sein, qui reniflait sans vraiment téter ni tout à fait lâcher prise.

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Extrait ajouté par Paraffine 2021-03-09T12:49:58+01:00

Besoin de vous.

Inutile de me demander ce que ça signifie – je le sais, tout comme je connais l’auteur du message, même s’il vient d’un numéro inconnu.

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Extrait ajouté par Paraffine 2021-03-09T12:48:08+01:00

Par-dessus tout, cependant, je déteste mentir à Owen. Par miracle, j’ai toujours réussi à le tenir à l’extérieur du labyrinthe, et le voilà maintenant qui y est attiré. Quand je pense au message de Kate, j’ai la sensation qu’il s’en écoule du poison, qui se répand de mon téléphone dans la chambre – menaçant de tout gâcher.

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Extrait ajouté par Paraffine 2021-03-09T12:43:37+01:00

Le Jeu du Mensonge.

Il me revient à présent, aussi vif et net que l’odeur de la mer et le cri des mouettes survolant l’estuaire, et je n’arrive pas à croire que je l’avais presque oublié – oublié le score que Kate affichait au-dessus de son lit, couvert de signes cryptiques correspondant à son système de notation complexe. Tant pour une nouvelle victime. Tant pour avoir obtenu une crédulité absolue. Il y avait des points supplémentaires pour les développements détaillés, ou pour avoir réussi à regagner la confiance de quelqu’un qui avait failli vous démasquer. Je n’y ai pas repensé depuis des années et des années, mais en un sens, je n’ai jamais cessé d’y jouer.

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Extrait ajouté par Paraffine 2021-03-09T12:43:20+01:00

— Kate !

Elle n’a pas changé du tout. Mêmes poignets fins, osseux, mêmes cheveux noisette et peau miel, même nez retroussé constellé de taches de rousseur. Elle a les cheveux plus longs, retenus par un élastique, et des rides strient la peau fine autour de ses yeux et de sa bouche, mais à part ça, c’est Kate, ma Kate, et en la serrant dans mes bras, je respire son odeur, ce mélange inimitable de cigarettes, de térébenthine et de savon qui est exactement comme dans mon souvenir. Je m’écarte, la tenant toujours, et m’aperçois que je souris de toutes mes dents, bêtement, en dépit de tout.

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Extrait ajouté par Paraffine 2021-03-09T12:41:55+01:00

La route se rétrécit en une voie unique, puis un chemin de terre gravillonné avec de l’herbe entre les traces de pneu.

Et je le vois – le Moulin des Brisants : une silhouette noire qui se découpe sur l’eau, où s’étirent les reflets de nuages, encore plus miteuse et bancale que dans mon souvenir. C’est moins un bâtiment qu’un ensemble de bouts de bois flotté assemblés par les vents, qui paraît sur le point d’être abattu par eux d’une minute à l’autre. Les souvenirs m’assaillent, impitoyables.

Thea, nageant nue dans l’estuaire au crépuscule, la peau dorée par le coucher de soleil, les longues ombres noires des arbres rabougris venant strier l’eau couleur feu et donnant à l’estuaire la majesté du pelage d’un tigre.

Kate, penchée à la fenêtre du Moulin par une matinée d’hiver, lorsque le gel était épais à l’intérieur de la vitre et recouvrait les roseaux et les joncs, ouvrant grand les bras et rugissant vers le ciel, son haleine faisant un nuage blanc.

Fatima, allongée sur l’embarcadère en bois dans son minuscule maillot de bain, la peau tellement bronzée qu’elle en était acajou, avec sa paire de lunettes noires géantes qui reflétait le scintillement des vagues.

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