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Extrait ajouté par ninanina 2010-06-17T16:26:05+02:00

« Les cuisses s’épanouissaient, encadrant de leurs belles chairs le con qui se tendait, s’entrouvrait pour appeler, pour recevoir la queue dans le vagin : Jean enfilait sa soeur et lui pressait les fesses avec des mains enragées et brûlantes : il manoeuvrait, il allait et venait, sautait sur le ventre rondelet qui répondait à son assaut, il enfonçait les lèvres secrètes, il accomplissait sa mission masculine, la décharge survint inondant la matrice ; Gertrie le serrait dans ses bras ; une molle langueur témoignait seule la part qu’elle prenait à l’action, et dès qu’il eut achevé de jouir, elle lui donna une claque amicale sur la joue, en disant :

Est-il possible d’attacher tant d’importance à ça ! Là, maintenant tu seras sage. Apporte-moi vite de l’eau que je me nettoie et que je me sauve. » (Alphonse Momas), Les Concubines de la Directrice).

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Extrait ajouté par ninanina 2010-06-17T16:26:05+02:00

« Ainsi ligotée, elle apparaissait de dos avec les fesses en relief.

Miss Sticker et Gertrie s’installèrent dans deux fauteuils en face, et Reine, ayant pris les verges fut invitée à s’en servir.

La vue de ces chairs qu’elle caressa si amoureusement, et qu’elle retrouvait tout aussi belles et pleines, agissait sur ses sens : elle éprouvait du remords avant de frapper ce qu’elle adora : elle ne pouvait définir la sensation qui l’envahissait : il lui semblait que ce magnifique derrière sur lequel elle lança si souvent la langue, lui reprochait sa félonie. Il fallait qu’elle se souvint des rebuffades essuyées, des menaces de Clary, de ses poursuites perverses après sa chère Alexandra, pour se durcir le coeur et se décider à lever le bras. Levé, il retomba, et les coups cinglèrent les fesses blanches et dodues qui frémirent : les terribles verges s’élevaient et s’abaissaient ; le bras de Reine ne se fatiguait pas ; plus de douze fois il châtia ces rotondités charnues, auxquelles ses lèvres apportèrent la jouissance. Clary geignait ; elle ne supportait pas avec stoïcisme la flagellation, elle murmura :

N’est-ce point suffisant, miss Reine ? » (Alphonse Momas), Les Concubines de la Directrice).

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Extrait ajouté par ninanina 2010-06-17T16:26:05+02:00

« Qu’importe le fictif, s’il remplit le même office que l’homme ! L’objet imaginé par Clary s’enfouissait dans son vagin et lui procurait mille chatouillements délicieux : la chaleur masculine y existait, et tout-à-coup, comme Gertrie se tordait sous les minettes passionnées qu’elle lui décochait, elle éprouva un gros frisson, Clary, en appuyant, venait de lui lancer dans la matrice un ingrédient liquide tiède qui la plongeait dans un vertige plein de douceur et de volupté. Une tête fourrageait par dessous, elle ne douta pas que ce fût celle d’Alexandra, voulant apporter l’ivresse de ses caresses à l’acte de possession accompli sous ses yeux.

Le délire de luxure se communiquant d’un corps à l’autre, bientôt une boule humaine se forma de ces quatre créatures, où l’on n’entendit plus que le bruit des baisers et des tendresses, hosannas d’amour, unissant dans la fièvre des désirs deux femmes faites à deux jeunes filles très vicieuses et très ardentes, renversant par cette loi d’amour l’autorité des âges et des situations acquises. Les caresses ne lassent pas : une fois l’entente conclue, Reine exerçait la suprématie des sens et, amante réelle de Gertrie, l’empêchait de courir après l’acte viril de Clary : mais Alexandra avait aussi la science du saphisme, et Clary elle-même finissait par se soumettre au joug de l’élève. Ah, quel courage fut nécessaire pour s’arracher, avant la fin de la nuit à l’orgie des sensualités ! Mais Reine, la concubine favorite, dicta la retraite et pas une voix ne la disputa sur cet ordre de sagesse. » (Alphonse Momas), Les Concubines de la Directrice).

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