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Calanthe n'a plus qu'un seul objectif : mener une vie discrète, loin des ennuis. Noyée sous les dettes après l'université, la jeune femme de 24 ans a trouvé un travail de fleuriste et, même si tout n'est pas facile, elle reste optimiste en cultivant l'espoir que sa situation s'arrange. Sa vie bascule lorsqu'elle rencontre un homme qui se fait appeler Tarian Hadez. Dans le monde des mortels, il a construit un empire de l'immobilier et est un redoutable parrain de la Mafia... Mais en réalité, Tarian est Hadès, le dieu des morts. Il a suffi d'un contact entre eux pour que Tarian insuffle sa magie à Calanthe. Et lorsqu'il tombe aux mains de puissants ennemis, la jeune femme réalise que leurs destins sont irrémédiablement liés. La nuit, le dieu des Ténèbres vient hanter ses rêves, faisant grandir une passion envoûtante et interdite. Une passion qui va pousser Calanthe à tous les sacrifices pour sauver Hadès...
J’ai eu du mal avec le début que j’ai trouvé un peu long et je n’étais pas vraiment dedans. Puis, à un moment donné, je n’ai même pas vu que j’étais complètement happée dedans, à tel point que pour la première fois depuis très longtemps, j’ai failli faire une nuit blanche, car je n’arrivais pas à décrocher du livre.
Ce que j’ai le plus aimé, c’est l’intrigue autour de la famille Hadez. Qui a enlevé Tarian et pourquoi. Vers le milieu du roman, les rebondissements vont bon train et tout devient des plus haletants ! On est entre la romance fantasy, l’urban, et le thriller ! J’ai adoré ! Tout comme j’ai adoré la relation entre Calhante et Tarian qui se tisse au fil de leurs rêves communs. C’était palpitant et très mystérieux. J’ai eu également un coup de cœur pour deux personnages secondaires : Malachi et Electra, j’ai d’ailleurs hâte de connaitre leur histoire, car je suis certaine qu’ils en auront une commune (je croise les doigts très fort !!!) Il y avait aussi la mère de Calhante atteinte de la maladie d’Alzheimer. Elle m’a beaucoup touchée.
Bref, finalement, je me suis régalée avec cette histoire et le dernier tiers, on ne peut juste pas le lâcher ! J’ai surkiffé et je suis décidément fan de la plume d’Olivia Wildenstein.
🌹 La Belle au bois dormant version Hadès et Perséphone ? Sur le papier, on signe direct. Ajoutez des rêves partagés, une famille maudite et une romance au potentiel explosif, et vous obtenez My Dark Beast. Sauf que… tout ne rugit pas aussi fort qu’on l’espérait.
💭 L’idée ? Canon.
Calanthe, fleuriste fauchée, touche (littéralement) à l’interdit : Tarian Hadez, héritier d’une lignée magique aussi tourmentée que sexy. Il disparaît sous ses yeux... et réapparaît dans ses rêves. Étrange ? Attendez de voir la suite.
🔥 Ce qui fonctionne :
* L’univers sombre et mythologique qui mélange contes et dieux, avec une vraie ambiance.
* Le lien onirique entre les deux héros : mystérieux, intense, plutôt bien amené.
* La famille Hadez, entre secrets de famille, enlèvement et trahisons. Ça intrigue.
😵💫 Mais...
* Trop de personnages, trop vite, trop flous. On se perd parfois entre cousin, voisin, oncle de la sœur du demi-frère. Beaucoup trop de noms, de familles, de cousins, de "qui est qui déjà ?"
* Le rythme fait du yo-yo : un début loooong, un milieu haletant, une fin qui accélère… trop tard.
* La romance ? Rapide comme une étincelle… mais pas sûre qu’elle prenne feu dans nos cœurs. Beaucoup de désir, pas assez de profondeur.
* Worldbuilding flou : dommage, l’univers avait du potentiel, mais on reste trop souvent à la surface.
📏 Mon ressenti ?
Un roman de presque 700 pages... que j’ai senties passer parfois... Il y a des fulgurances, des personnages secondaires attachants (coucou Malachi et Electra 👀), et des idées qui méritaient mieux. Mais parfois, j’avais juste besoin d’un schéma familial et d’un GPS narratif.
🖤 En bref :
Un début laborieux, un milieu accrocheur, une romance qui fait débat… My Dark Beast n’est pas une bête à dompter facilement. Si vous aimez les romances intenses saupoudrées de rêves, de drames familiaux et de mythes, tentez l’aventure — mais accrochez-vous, la bête est un peu confuse.
💬 Note : 2.75/5
🌪️ Un potentiel fort, une exécution en dents de scie. Mais je ne regrette pas d’avoir plongé.
Les Contes cruels, Tome 1: My Dark Beast d'Olivia Wildenstein est une œuvre qui intrigue dès les premières pages. L'auteur nous plonge dans un univers sombre et envoûtant où la frontière entre le bien et le mal se brouille sans cesse. Chaque personnage semble porteur d'une part d'ombre, ce qui les rend à la fois humains et captivants.
La plume d'Olivia Wildenstein est à la fois poétique et incisive, oscillant entre descriptions envoûtantes et dialogues percutants. L'intrigue est bien rythmée, et les rebondissements tiennent le lecteur en haleine jusqu'à la dernière page.
Cependant, on pourrait reprocher au récit de parfois s'attarder sur des détails qui n'ajoutent pas grand-chose à l'histoire principale, ce qui peut ralentir le rythme par moments. Néanmoins, les émotions sont puissantes, et les thèmes abordés, tels que la lutte intérieure et les sacrifices, résonnent profondément.
En résumé, My Dark Beast est un premier tome prometteur, idéal pour les amateurs de récits sombres mêlant mystère et passion. Si vous aimez les univers riches en émotions et les personnages complexes, ce livre pourrait bien vous envoûter.
Je suis d'avance gênée par le commentaire que je vais écrire car j'adore l'autrice.
Ce one-shot était un fouillis. Il est facile d'identifier ce qui a empêché que ce soit un Banger comme les précédents ouvrages.
Tout d'abord, nous avons trop de personnages. On se perd entre les noms, les liens de parenté. Certains personnages sont nommés sans apparaître, d'autres ont une durée d'existence et d'importance ridicule. Ça perd le lecteur.
Ensuite le World building.
Il y avait un gros potentiel là dessus mais on est lâché dans l'arène sans explication. On ne découvre que tardivement la nature des Altantes, la vision qu'ont les humains sur eux.
S'en suit les rêves et enchaînements d'action. L'autrice a voulu créer quelque chose autour du rêve, mais ça cassait la lecture.
J'ai passé 600 pages à attendre la réelle réunion des protagonistes. Honnêtement, je suis patiente, mais là c'est trop.
Nous nous perdons rapidement avec l'énumération des hypothèses sur le scénario, qui se fait normalement dans notre tête. Le voir par écrit m'a encore plus perdu.
C'est à cause de l'oncle de la tante qui couche avec le cousin du frère du voisin. J'extrapole mais c'est un peu ça.
On a envie de crier stop. Que ça s'arrête.
Le dénouement n'était pas à la hauteur de l'attente.
Je suis sérieusement troublée car jusque là, c'était un sans faute de l'autrice.
Je pense continuer à lui faire une confiance aveugle, mais je m'empresserai d'oublier ce titre.
J'avais hâte de retrouver Olivia Wildenstein dans cette nouvelle série, dont le premier tome est une réécriture de La belle au bois dormant et Hadès et Perséphone, centré sur un premier couple : Calanthe et Tarian. Et si j'ai aimé l'idée de base et ce qui est proposé en termes de réécriture, je ressors assez mitigée de ma lecture.
Calanthe a pris la suite de ses parents dans la boutique familiale. Fleuriste, elle a bien du mal à joindre les deux bouts. Et lorsqu'elle accompagne sa meilleure amie chez son futur beau-père, le célèbre Saul Hadez, elle va faire une rencontre qui va tout changer. D'un simple toucher entre eux, Tarian Hadez, va insuffler de sa magie en Calanthe, la condamnant au pire. Surtout lorsque ce dernier va être enlevé sous ses yeux et la retrouver dans d'étranges rêves plus vrais que nature.
Comme je vous le disais, j'ai aimé le début et l'idée de base. Le mélange des mythes est intéressant, tout comme le fait d'utiliser les rêves pour relier nos personnages. Et franchement ça aurait pu marcher si ça avait été exploité au maximum. J'ai plutôt bien aimé également le côté suspense, bien que pas assez présent. Mais pour le coup, je suis extrêmement mitigée sur tout le reste.
D'abord, je n'ai pas cru à la romance. Ce qui est embêtant pour une Romantasy. Déjà, ça va bien trop vite. L'histoire se déroule sur une semaine (à peu près), c'est du rapide. Mais ce qui m'a le plus dérangé c'est que je ne vois pas ce qu'il y a de plus entre eux qu'une attirance aussi forte que la Superglue. C'est simple, à peine rencontrés, ils se voient en rêves et ne pensent qu'à se sauter dessus. Et les scènes spicy s'enchainent. Pardon mais, le gars est quand même kidnappé, peut-on se concentrer sur le plus urgent ? Eh bien non, nos deux personnages s'imaginent dans des tenues très déshabillées et se laissent totalement porter par leur désir. Du coup, très franchement, je ne vois pas comment en deux/trois échanges, des moments jalousie/possessif, on peut croire à quelque chose de plus profond.
La romance étant au premier plan, le reste souffre malheureusement d'un manque d'approfondissement qui m'a paru assez brouillon. J'ai trouvé le temps long. Vraiment long. On est sur un roman de presque 700 pages et je les ai senti passer. Je suis triste car le potentiel était là. Toute l'intrigue autour de l'enlèvement, de leur nature, de ce mélange entre magie et humain, vraiment il y avait quelque chose. Surtout si on ajoute à cela une famille qui se tire dans les pattes. J'avoue avoir vu venir certains éléments, mais les liens de parentés révélés m'ont fait l'effet d'un too-much sur la fin. Une fin qui, clôture bien l'histoire du couple, ce qui fait que nous n'avons pas de frustration quant à la suite.
En conclusion, il y avait un bon potentiel mais pas mal de loupés dans l'exécution. Je regrette le manque d'approfondissement de l'univers et de la romance qui ne se concentre que sur cette attirance physique et ce spicy à outrance. Quel dommage. Je ne poursuivrais pas l'aventure malheureusement.
Connaissant déjà la plume de l’autrice avec la saga du Royaume des corbeaux que j’avais adoré, j’ai accroché dès le début avec la plume.
Ce roman est un mélange de la belle au bois dormant et du mythe d’Hades & Persephone. Niveau temporalité on se situe de nos jours avec toute la modernité que cela implique et une pointe de fantasy issue de la magie. Le vocabulaire est lui aussi moderne parfois même familier.
Je me suis sentie un peu submergée par moment avec cette multitude de personnages qui pop. On est sur un double point de vue, celui de Calanthe et de Tarian à travers leurs rêves. Car ici la plupart du temps nous sommes plongés dans les bras de Morphée en pleins cœur de leurs rêves.
Niveau romance Calanthe et Tarian se rencontrent très vite et tissent des liens rapidement. Ils sont inexplicablement attirés l’un par l’autre et semblent liés. Même si la relation reste en slow burn, elle est agrémentée de beaucoup de tension et de frustration.
Le côté magique lié aux rêves sort de l’ordinaire. Très emballée au début, j’ai rapidement trouvé des longueurs. L’écriture dans un monde moderne m’a aussi empêché de me plonger complètement dans l’histoire. Quant au smut disons que Tarian ne fait pas dans la dentelle avec un langage assez cru.
Les points forts du roman sont les dialogues entre les personnages. Ils échangent beaucoup entre eux ce qui permet un développement plus approfondi entre les relations de chacun. J’avais peur du trope mafia dont je ne suis pas friande mais fort heureusement il n’est pas exploité de cette façon.
Un premier tome plutôt pas mal. Je ne m'attendais pas à ça en lisant le résumé. L'histoire se lit vraiment très vite, la lecture est fluide et on ne sent pas les pages tourner.
On est plongé dans l'histoire tellement vite que j'ai été un peu déboussolée au début, tout allait trop vite, il y avait trop d'événements qui s'enchaînaient en quelques pages seulement. Au fur et à mesure on finit par se prendre à l'intrigue.
Je n'ai pas été emportée par l'histoire d'amour entre Calanthe et Tarian. On a l'impression d'avoir une alchimie qui sort un peu de nul part dès le départ, même si on finit par se prendre au jeu au fur et à mesure de la lecture mais ce ne sont pas des personnages qui m'ont particulièrement intéressée.
Le côté détective de l'intrigue était intéressant surtout du point de vue de Calanthe. Je trouve que l'auteur a réussi à nous amener avec elle sur ses différentes pistes, ses doutes, ses pensées etc.
Bref j'ai passé un bon moment. La relation entre les deux personnages principaux n'est pas assez développé et rapide, toutefois l'histoire est bien écrite et imaginée.
J'ai vraiment pas adhéré à l'histoire, j'ai été jusqu'au bout du livre mais sa été d'une longueur. On se perd entre la réalité et les rêves entre tous les personnages secondaires qui ont un lien de parenté pour finalement en avoir un autre, trop c'est trop. Je ne lirais évidemment pas la suite ...
J'avais beaucoup aimé le début. La maladie D'Alzheimer de sa mère, sa rencontre avec Tarian dans le cadre de son travail de fleuriste. C'était vraiment sympa comme contexte.
Malheureusement, la suite de l'intrigue a fini par me perdre. L'impression de ne pas avancer m'a vraiment cassé, la magie n'est pas claire. Puis l'évolution de la relation avec Tarian m'a fait froncer les sourcils. C'est un peu trop rapide pour quelqu'un qui disait qu'elle ne voulait pas s'approcher d'un meurtrier.
Résumé
Calanthe n'a plus qu'un seul objectif : mener une vie discrète, loin des ennuis. Noyée sous les dettes après l'université, la jeune femme de 24 ans a trouvé un travail de fleuriste et, même si tout n'est pas facile, elle reste optimiste en cultivant l'espoir que sa situation s'arrange. Sa vie bascule lorsqu'elle rencontre un homme qui se fait appeler Tarian Hadez. Dans le monde des mortels, il a construit un empire de l'immobilier et est un redoutable parrain de la Mafia... Mais en réalité, Tarian est Hadès, le dieu des morts. Il a suffi d'un contact entre eux pour que Tarian insuffle sa magie à Calanthe. Et lorsqu'il tombe aux mains de puissants ennemis, la jeune femme réalise que leurs destins sont irrémédiablement liés. La nuit, le dieu des Ténèbres vient hanter ses rêves, faisant grandir une passion envoûtante et interdite. Une passion qui va pousser Calanthe à tous les sacrifices pour sauver Hadès...
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