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Une trappe, camouflée dans la forêt, qui n’aurait jamais dû être découverte.
Une promesse trop difficile à tenir.
Un trésor que l’horreur seule pourrait séparer.
Et une vague vengeresse, qui s’apprête à déferler.
Souvent associé aux Contes des mille et une nuits, Ali Baba et les quarante voleurs raconte l’histoire d’un homme qui découvre un trésor grâce au célèbre mot de passe « Sésame, ouvre-toi ». Cette réécriture violente vous fera comprendre que les trésors ne brillent pas tous du même éclat, et qu’ouvrir certaines portes revient parfois à sceller son propre cercueil.
— Quand on revenait à notre appart, les sacs remplis d’argent, d’appareils électroniques ou d’alcool, on faisait la fête comme des débiles, enchaîne rêveusement Sébastien. C’est fou, quand même… On se sentait vivants, invincibles… J’ai jamais eu de meilleures baises qu’après un braquage réussi.
Sur ce, il prend une longue gorgée de nostalgie à même sa bouteille de bière.
Ali ne peut s’empêcher de sourire.
— Me semble que je payerais cher pour te voir baiser, Seb, s’esclaffe-t-il.
— Tu me payes quand tu veux, tant que tu me fournis la fille.
Sébastien se tourne aussitôt vers son compagnon, le pointant de l’index.
— T’as intérêt à en choisir une chaude, par exemple !
Ces mots prononcés par l’homme bedonnant, moustachu et couvert de sueur qui se tient devant lui font éclater de rire Ali.
Honnêtement, je n’ai pas beaucoup lu de contes interdits et, bien que le style soit naturellement très sombre avec ses moments de violence très crue, j’ai trouvé l’ensemble assez sympa à lire et je me suis pris au jeu assez facilement.
On ne retiendra finalement qu’assez peu les deux moments vraiment hard au milieu du roman qui fixe la transition entre la partie 1 et 2, et à la fin qui sert de miroir à ce qui s’est passé dans la partie 1 car au-delà de l’acte, c’est surtout le message que l’on retiendra à chaque fois.
La fin est très satisfaisante mais j’aurai tout de même aimé avoir un petit épilogue qui explique ce que sont devenus les autres personnes encore vivantes à la fin du livre, s’ils avaient réussi à se reconstruire après tout ce qui s’était passé. Maintenant, je crois que certains livres des contes interdits ont le droit d’avoir des univers étendus, comme Baba Yaga de Dominic Bellavance avec son univers étendu nommé Red le Cavalier Rouge, mais je ne sais pas si c’est le cas pour celui-ci.
Quoi qu’il en soit, c’était un moment de lecture intéressant, un nouveau pas dans le monde des contes interdits qui ne me déçoit pas, avec de bonnes idées et une réinterprétation sombre et bien ficelée. Le contrat est rempli.
C'est aussi un bon conte interdit. Début soft le temps d'instaurer l'histoire et après on a des horreurs, du sang à répétition. Un conte bien gore Comme on les aime, faut réfléchir à deux fois avant de voler vu le résultat de ce vol... Dur comme fin
Encore une fois, LP Sicard m'a fait perdre la notion du temps avec Alibaba. Sa plume captivante nous entraîne dans une réinterprétation du conte originel, où les éléments familiers sont subtilement intégrés pour bâtir une histoire d'horreur à la fois terrifiante et profondément triste.
Ce récit ne se contente pas d'effrayer ; il dénonce également des vérités poignantes sur notre monde. Les personnages, tous marqués par la vie, leur vécu et la maladie, sont dépeints avec une sensibilité saisissante. On ressent leur douleur et leur fragilité, ce qui rend l'histoire encore plus impactante.
Je ne me lasserai jamais de cette plume poétique qui révèle les horreurs cachées derrière la façade de la vie.
Alors, ça à était le deuxième contes interdits que j'ai lu dans ma vie, je dois avouer que la moitié du livre à était compliqué pour une certaines scene en particulié, mais j'ai ADORÉ la fin Spoiler(cliquez pour révéler)La partie du tueur en série qui tuait un par un les 40 voleurs. La revanche avait un gouts délicieux
La lecture est rapide, haletante et l'histoire vire rapidement à une histoire d'horreur où les personnages disparaissent les uns après les autres, victimes d'un tueur, ce qui m'a beaucoup plu. Les personnages ne sont pas sympathiques, mais ce n'est pas pour s'y attacher qu'on lit les Contes interdits. Il y a de la violence, des scènes de viol brutales, ce n'est jamais subtil et rarement de bon goût, mais l'histoire est prenante et pleine de rebondissements.
Un de mes contes interdits préféré 🤩 Je n’ai pas voulu lâcher le livre. La plume de l’auteur (qui m’a assez déçue dans Blanche Neige) est juste magnifique !
Et l’histoire… superbe ! Elle nous tient en haleine, on ne s’ennuie pas, on flippe un peu de temps en temps, mais c’est ce qu’on aime !
Ali baba et les 40 voleurs est pour le moment 1er des contes interdits.
Résumé
Une trappe, camouflée dans la forêt, qui n’aurait jamais dû être découverte.
Une promesse trop difficile à tenir.
Un trésor que l’horreur seule pourrait séparer.
Et une vague vengeresse, qui s’apprête à déferler.
Souvent associé aux Contes des mille et une nuits, Ali Baba et les quarante voleurs raconte l’histoire d’un homme qui découvre un trésor grâce au célèbre mot de passe « Sésame, ouvre-toi ». Cette réécriture violente vous fera comprendre que les trésors ne brillent pas tous du même éclat, et qu’ouvrir certaines portes revient parfois à sceller son propre cercueil.
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