Les Contes interdits : Krampus

Bien aimé ce roman dont j'ignorais tout du conte à part que de base ça sonnait horrifiant. L'histoire se lit facilement et rapidement. Je me suis beaucoup attachée à Alex qui semblait bien méprisant et antipathique. J'en ai eu le coeur déchiré. J'ai eu un peu de mal avec la communication entre les différents personnages qui pour la plupart viennent tout juste de se rencontrer et se parle comme s'ils se connaissaient depuis toujours mais en même temps... quand notre vie est en danger on créé des liens plus vites. J'ai détesté la directrice ceci dit.

J'ai adoré ma lecture, une histoire intriguante et une révélation choquante qui m'a fais frémir jusqu'à la dernière ligne.

Le destin d'Alex me fend le cœur mais j'ai adoré son histoire quand même.

Une légende ancienne mais bien présente....

Direction un centre pénitenciaire pour jeunes délinquants au beau milieu d'une boucherie sans nom.

Un mythe pire que la mort, des visions cauchemardesques à n'en plus finir.

Un huis-clos au beau milieu de ces futurs tueurs en série.

Une légende germanique que vous n'est pas prêt d'oublier...

Dites bonjour au Krampus, cette créature puante, désagréable à regarder et qui est là pour punir ceux qui n'ont pas été sages...

J'ai passé un agréable moment avec ce roman qui est mon premier Conte Interdit et le premier d'une longue lignée.

J'ai kiffé le plot twist car je ne m'y attendais tellement pas 😱, la fin est majestueuse 😍 même si elle se dessinais assez facilement et rapidement au fur et à mesure de la scène de fin.

Je n'ai juste pas été assez réceptive aux scènes macabres et gores, en effet étant une fan de film d'horreur plus grand chose ne m'effraie 😂. Malgré tout les scènes violentes étaient très réalistes et clairement me retrouver en face du fameux Krampus n'est pas dans mes objectifs. Je suis juste dégoutée qu'il ne sorte QUE le jour de mon anniversaire 🫣, j'y penserai quand ce sera le jour J.

J'ai trouvé les réactions très personnages très réalistes, et j'ai trouvé en certains l'égoïsme de beaucoup de notre monde.

Par contre j'ai été décontenancée par le style d'écriture et le patois québécois. En effet j'ai eu besoin d'un petit temps d'adaptation afin de m'approprier les expression comme Tabernak 😂. Je retiens tout de même la tension dans la plume de l'auteur qui réussis à nous captiver tout au long du roman.

Le huis-clos proposé ici m'a beaucoup plu car entre les murs de ce centre pénitencier pour jeunes, la lueur d'espoir viendrai peut-être du pire personnage qui soit. Et cela me redonne foi en l'humanité.

En bref, un horreur qui saura ravir les fans du genre.

Une de mes meilleures lectures dans l’univers des *Contes Interdits* ! Ce livre m’a tenu en haleine du début à la fin. Malgré leur manque d’humanité pour certains, les personnages ont réussi à me toucher et à m’attacher à eux. Une œuvre d’horreur gore, certes, mais parfaitement maîtrisée, et l’une des meilleures réinterprétations que j’aie lues dans cette collection.

Je ne m'attendais clairement pas à la fin que nous a proposé David Bédard... mais elle était spectaculaire !!! Les trois derniers chapitres, qui sonnent comme une épilogue, ont satisfait ma curiosité un peu morbide sur les raisons du Krampus. Cette nouvelle version de ce vieux mythe allemand est vraiment prenante et addictif. J'ai adoré la plume de l'auteur et je pense sincèrement que je vais continuer à suivre son travail ainsi qu'aller lire les autres contes interdits qu'il a remastériser

Krampus est un conte interdit que j'ai vraiment adoré. J'étais tellement immergé dans l'histoire que j'avais l'impression d'être enfermé avec les personnages. le suspense et la tension étaient palpables tout du long, créant une atmosphère angoissante qui m'a tenu en haleine.

La légende du Krampus est habilement intégrée, ajoutant une profondeur fascinante à l'intrigue. L'auteur a su jouer avec les peurs et les mythes, rendant chaque moment encore plus intense.

Franchement ce livre démontre encore une fois que la collection des contes est terminé pour moi. Il y en a eu des coups de cœur mais très minime par rapport à cette collection. Beaucoup plus de déception qu'autre chose.. Et public averti.. Faut revoir l'interdiction car franchement c'est d'un ennui.

La plume est sympa en tout cas. L'idée aurait pu être bonne. Certes on a des explications mais bon le but est de tuer les méchants enfants.... Moi je trouve pas ça cohérent malgré l'explication de fin.

Un joli tournant... C'est là que j'aurai aimé avec une suite.

Une nuit c'est long mais beaucoup trop de "on bouche les trous pour faire un roman".

Et pour cet épilogue... Je l'avais vu venir dès le début.

J'ai adoré Alex même si je comprends pas non plus pourquoi un simple mineur en prison devient le héros...

Dommage puis surtout comme ça... Par magie Spoiler(cliquez pour révéler)krampus parle .... Fallait faire partout ou pas du tout. Mon simple avis personnel.

J'ai ouvert Krampus, Contes interdits avec autant d'appréhension que si j'avais dû affronter un paquet de factures après les fêtes. Je ne connaissais pas vraiment la légende du Krampus (je pensais que c’était juste un Père Noël en mode méchant), mais dès les premières pages, j'ai compris que j'allais découvrir un côté bien plus sombre des festivités. Entre un centre de détention juvénile et des phénomènes bizarres qui te donnent l'impression qu'un monstre se cache sous ton lit, l'ambiance est posée : ce n'est pas exactement Joyeux Noël, mais ça promettait d’être captivant.

Et puis il y a Alex. Au début, c’est un peu comme ce pote distant qui ne te répond que par des "ok" en SMS. Froid, un peu paumé, mais tu sens qu’il y a du potentiel sous la surface. Et plus j’avançais dans l’histoire, plus je découvrais qu’Alex, c’était un véritable oignon : tu épluches une couche, tu pleures. Ce gars est brisé, mais en mode puzzle mille pièces où tu as perdu le couvercle de la boîte. Même quand il fait des trucs moralement... discutables, je me surprenais à me dire : "Bon, c’est pas sa faute, il est juste incompris." Oui, je sais, ça fait très psy de comptoir, mais honnêtement, mon cœur saignait pour lui.

Bon, je vais être franche, au début, j’étais un peu perdue. Genre : "Krampus, c’est qui déjà ?" C’est comme si tu regardais une série à mi-saison sans avoir vu les épisodes précédents. Mais curieusement, cette confusion m’a accrochée. C’est un peu comme si le livre disait : "Tu comprends rien ? Tant mieux, continue à lire." Et croyez-moi, j’ai bien fait. Les mystères se dévoilent progressivement, et chaque fois que je pensais avoir compris, bam ! Un nouveau rebondissement me laissait aussi abasourdie qu’un élève devant un contrôle surprise. Chaque révélation m’a littéralement fait lâcher le livre et dire : "Non, mais, sérieusement ?!"

Parlons tension. Ce livre est tellement stressant qu’il devrait être prescrit comme remède contre l’ennui. J’étais en mode survie, me demandant à chaque page qui allait y passer. J'avais l'impression que chaque personnage portait un T-shirt avec "Cible potentielle" dessus. Je m’accrochais à ceux que j'aimais, comme Alex, en priant pour qu'ils survivent. Oui, il a des côtés sombres (sociopathe, on a dit ? Non, juste un peu incompris...), mais je ne pouvais pas m’empêcher de ressentir de la compassion pour lui. Son histoire m’a fait pleurer à plusieurs reprises. Littéralement.

Ensuite, il y a Karl. Alors lui, c’est le genre de personnage que tu as envie de détester du début à la fin. Un peu comme ce collègue qui pique ta nourriture dans le frigo sans vergogne. Mais je dois avouer qu’il a une certaine débrouillardise, un côté "petit malin qui s’en sort toujours", ce qui m’a forcée à l’admirer... à contrecœur, bien sûr. Et puis la directrice. Ah, la directrice ! Son comportement vers la fin m’a laissé bouche bée.

Mais le pompon revient à la mère. Oh là là... si je pouvais lui coller une étiquette "personnage le plus détestable du monde", ce serait fait. Elle fait des choses tellement atroces que j'ai failli écrire une pétition pour qu’on la bannisse de la littérature. À chaque fois qu’elle apparaissait, j’avais envie de lui jeter mon livre à la figure.

La fin ? Parlons-en. J’attendais des réponses comme on attend le dessert à la fin d’un repas. Certaines sont venues, mais d’autres... disons qu’elles sont restées dans le four. J’aurais bien aimé un dernier chapitre consacré à la vengeance, histoire de bien digérer tout ça, mais je vais rester vague pour ne pas spoiler. Disons juste que les dernières pages m’ont brisé le cœur en mille morceaux. J’avais un besoin urgent d’un paquet de mouchoirs après avoir tourné la dernière page.

En conclusion, Krampus, Contes interdits m'a fait passer par toutes les émotions possibles : de la panique à la colère, en passant par des moments où j'ai juste voulu câliner un Alex imaginaire (mais bon, avec un peu de distance, parce que, sociopathe, quand même). C’est officiellement mon Conte interdit préféré, surpassant même La Belle et la Bête. Si vous aimez les histoires qui vous retournent les tripes et vous font poser des questions sur votre santé mentale après lecture, foncez. Mais soyez prêts à être secoués.

Honnêtement, j'ai eu un peu de mal au début, il y a de l'action tout de suite, c'est clair, mais j'ai trouvé le temps looooong avant que l'intrigue ne se mette vraiment en place.

Par contre, une fois installée.... Je ne pouvais plus me détacher du livre!!

C'est gore (on aime), l'histoire est intéressante, je ne connaissais pas le conte original, j'ai été me renseigner avant de lire le conte interdit, et j'ai beaucoup aimé la manière dont l'auteur a tourné l'histoire

Je me suis extrêmement attachée à Alex, ce pauvre petit gars qui n'a pas eu de chance dans la vie..

La fin est incroyable, je ne vais pas mentir, j'étais mal après 😭

219 pages

Note finale: ⭐⭐⭐⭐/5

Une très belle réécriture ❤️