Les Contes Interdits : La Bête du Gévaudan

J'ai du mal à comprendre les personnes qui ont trouvé que ce livre "est bien écrit" ou que l'auteur a une "jolie prose".

On trouve deux à trois gros mots dans chaque page, l'intrigue est téléphonée et les personnages n'ont aucune profondeur.

Et quand l'auteur a situé Bagdad en Iran c'était la goutte d'eau...

J'ai finis le livre par principe de ne pas abandonner une lecture mais c'était un supplice...

Une narration très différente des autres contes interdits. Il m'a fallu quelques minutes pour m'y habituer, mais comme tous les autres contes interdits, c'était une vraie perle. Toutes les intrigues, les morales et les remises en question que l'auteur nous fait vivre me porte à croire que j'en ferai même une relecture bientôt. J'étais complètement chamboulée vers les derniers chapitres, quand l'auteur s'adresse directement au lecture. Pour la première fois de ma vie, j'ai eu des frissons en lisant un livre d'horreur. Une autre belle réussite pour la série des contes interdits !

Une perle, différent, sensible, sujets d'actualité

et d'importance. Une narration et une vision différentes où le lecteur se sent interpellé et est poussé à la réflexion ainsi qu'à l'introspection d' une main de maître.

Ce conte interdit ne fera pas partie de mes préférés. J’ai même failli abandonner mais j’ai tenu bon car je voulais savoir jusqu’où l’auteur allait nous mener. Il faut s’habituer à la narration qui déstabilise un peu. Les chapitres sont très courts et pour comprendre pourquoi il faut lire le livre. Attention car c’est pour un public averti et interdit aux moins de 18 ans. La fin est un peu plus intéressante. J’ai cependant pas accroché. Next

Kevin est un ado né dans une famille violente . Un père alcoolique et une mère qui subit des violences. Bref , une vie qui n’est pas idéale pour Kevin. Mais la bête est la, manipulatrice, calculatrice. Mais est ce vraiment la Bête

C'est un livre qui ce lit sans plus.J'ai eu du mal parce qu'on dirait plus un journal intime qu'à un vrai scénario.Cela aurait été bien d'avoir plusisuers point de vue des dialogues.Et puis le fait que la bête s'adresse à nous et que l'auteur s'unsulte lui -même et dérangeant.

C'est le premiers de la saga des contes interdit que j'ai lu et j'ai pas pas vraiment accrocher. Je pense que c'est peut du au point de vue utiliser qui ne m'as fais apprécier la lecture

La claque sur ce conte. La plume. Que l'auteur nous parle. Et cette fin pour nous mettre un doute total.

Je sais pas quoi dire. Beaucoup de citations. On apprend beaucoup sur nous, les gens en général.

Que par notre haine nous sommes faible.

Que par suivre les médias nous sommes des montons.

Et que si nous sommes différent nous sommes un mouton noir.

C'est tout à fait moi. J'ai vraiment adoré ma lecture.

J'ai bien aimé le concept de la bête qui parle dans la tête du personnage principal. Les chapitres sont courts cela se lit donc très rapidement. J'ai été surprise par la fin je ne m'attendait pas à ça. Peut-être pas assez violent/gore comparé aux autres que j'ai pu lire.

Au départ j'étais très hypée par le fait que le livre soit sur le mythe du Gévaudan puis le fait que nous lisions le pdv de la "bête" pendant tous le livre et que nous ne rentrions pas dans l'action m'a plutôt refroidie.

J'ai quand même poursuivie dans ma lecture, sans grand enthousiasme, cependant les derniers chapitres m'ont davantage plus que les autres, étaient plus intéressant et ont réhaussé le "niveau" du livre pour moi, ils ont rajouté un peu d'action et de frissons.

J’ai pas du tout aimé la plume de l’auteur. Les chapitres font 2 pages chacun et le point de vu est très particulier on dirait une bêtes qui parle dans la tête d’une personne s’appelant Kevin