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Un magnat des affaires dont les horribles secrets sexuels sont plus puissants que sa fortune.
Une épouse dévouée, dont la santé qui périclite fera disparaître la bonté et la lumière dans sa famille.
Une adolescente asociale aux aspirations qui font confondre désirs et réalité.
Une prostituée maltraitée qui en a trop dit… Mais si toute cette histoire n’était en réalité qu’un leurre?
Lorsque sa nourrice lui racontait l’histoire de Peau d’âne, le jeune Louis XIV était incapable de trouver le sommeil. Imaginez si on lui avait lu cette version revisitée, dans laquelle la jeune fille n’a rien de passif et d’ingénu comme celle du conte de Perreault… Oserez-vous ouvrir ce livre comme une porte sur l’inconnu, même s’il vous montre qu’il y a bien pire que de prendre la peau d’un animal?
Ma lecture m’a globalement laissée sur une note de déception. Je m’attendais à un développement plus approfondi du personnage d’Anne, dont l’aura fascinante et intrigante méritait davantage d'attention. Toutefois, à la fin du livre, je comprends mieux la raison de sa présence limitée, car elle partage la scène avec sa mère, un personnage effacé, et son père, un homme d’affaires TW-18: a la sexualité d’une brutalité extrême, que ce soit envers lui-même ou ses partenaires. Ce dernier, figure d'immoralité, occupe une place centrale, bien plus que les autres protagonistes.
Trop de personnages gravitent autour de l'intrigue, au point qu’il devient difficile de s’y repérer. L’usage de pseudonymes pour certains ajoute encore à cette confusion. Cela complique la compréhension des événements, d’autant que l’histoire se déploie à la fois dans le présent et dans le passé, semant le doute sur la véracité de ce que l'on nous présente.
J’ai cependant saisi et apprécié les références subtiles au conte originel, habilement intégrées au fil du récit. Mais j'aurais préféré que l’auteur se limite à la première fin, plutôt que de proposer une seconde conclusion qui dévoile une facette différente, ou plutôt, un autre mode d’interprétation de l’œuvre.
En conclusion
bien que l'intrigue, l’histoire et le dénouement ne m’aient pas convaincue, je reconnais que ce livre saura séduire certains lecteurs par sa singularité. Pour ma part, il ne m’était pas destiné.
La première partie ne s’avère être qu'une longue introduction à la suite du récit, présentant “le Président” comme un bourgeois, très riche et donc très méchant, face à un prolétaire très syndicaliste et donc très gentil. Évidemment, le point Godwin ne tarde pas, tout comme une scène un peu grotesque d'intimidation qui, foi de narration, aurait tout aussi bien pu être tirée de “Gangs of New York”. Bref, le combat entre gauche et droite fait rage, tandis que le piège autour du Président se referme dans la seconde partie.
Je dois cependant dire que, sans être absente de radotages et de scènes sexuelles inutiles, l'écriture n'est pourtant pas désagréable.
Non, le problème est que la tension est… inexistante. Le récit est plat.
En dépit de son combat politique interne, cette version de Peau d’âne est affreusement convenue et ennuyante.
Une nouvelle lecture horrifique à souhait. Dans ce tome, on retrouve principalement des abus et violences sexuelles, des petits jeux politiques, une famille désunie, et toujours de la drogue. J’ai commencé ce livre avec de nombreuses attentes. Ayant adoré Barbe Bleue du même auteur, je m’attendais donc à un récit qui me ferait le même effet. De ce point de vue, je suis légèrement déçue. La construction ne m’a pas semblé aussi bonne, la progression n’était pas le crescendo remarquable du livre lu précédemment, l’horreur même n’était à mon sens pas aussi palpable.
Bien que j’aie adoré l’histoire et ressenti des frissons de dégoût, j’ai aussi eu l’impression qu’il y avait des temps morts. Je n’irai pas jusqu’à dire des longueurs, mais des temps morts tout de même. Certains chapitres – brefs, heureusement – apportaient moins à l’histoire, et servaient plus à faire monter le suspens et l’incompréhension… Sauf que le suspens n’était pas immense, à mon sens. Mis à part la toute fin. Même si, je pense, j’aurais pu la voir venir, mais ça n’a pas été le cas. Je me suis laissée emporter par l’histoire, l’écriture de Steve Laflamme reste remarquable. J’adore son style, le vocabulaire, la syntaxe, la structure. Les phrases s’enchaînent logiquement, c’est facile à lire et je trouve qu’on ressent bien les émotions qui veulent nous être véhiculées.
Cependant, savoir dès le début qui était le coupable m’a un peu déçue, je m’attendais à une grande révélation, à être trompée. Néanmoins, malgré cette petite déception, j’ai aimé le déroulement de « l’enquête », j’ai aimé les rebondissements et voir les indices s’accumuler. Ma partie préférée restera sans doute la toute fin, celle qui a su me surprendre, bien qu’elle conserve un arrière-goût d’évidence. À la fin du roman, je me rends compte que j’aurais voulu lire une autre histoire, celle écrite par Steve Laflamme. J’aurais voulu que cette fin soit un milieu ou un début.
Bien sûr, ça n’enlève rien à mon plaisir de lecture. J’espère d’ailleurs que cet auteur écrira d’autres contes interdits, principalement parce que j’espère retrouver le plaisir angoissant ressenti avec Barbe Bleue.
De tous les contes interdits que j'ai lus, c'est le moins terrifiant de tous. Il y a des éléments gore par-ci, par-là mais ca reste supportable. Toujours pour un public averti cependant.
L'intrigue est bien, j'ai été étonnée de la fin qui prend tout son sens.
J'ai été particulièrement troublée par ce roman car il nous entraîne d'un protagoniste à un autre.
J'ai rapidement renoncé à trouver le conte originel, même s'il y a quelques petites références, pour me concentrer uniquement sur le récit en lui-même.
L'histoire est un peu tirée par les cheveux car il faut bien suivre le fil et bien suivre les personnages pour comprendre la fin.
Le début du livre est intéressant, on nous met directement dans le bain avec comme première page les ébats sexuel particulier du président. J'ai été embarquée sans même m'en rendre compte. La plume est fluide, addictive, d'une qualité que j'ai vraiment appréciée.
Puis, mon attention s'est relâchée, la suite est devenue molle, il ne se passait pas grand-chose. L'action qu'on peut y lire n'a ni queue ni tête, c'est incompréhensible. On n'a pas vraiment d'explications, j'ai eu l'impression que le lecteur devait comprendre par lui-même avec les éléments qu'il avait.
Petit aparté pour le président qui est intéressant et attrayant. Au début, je le détestais par rapport à son caractère qui était très cliché, mais son passé nous fait comprendre pourquoi il est devenu ainsi.
En bref, un conte interdit qui ne m'a pas convaincue, bien que le début était prometteur.✨
Le conte interdit que j’ai le moins apprécié jusque là. C’est très long, je me suis accroché pour le finir et même si la fin est imprévisible la déception est là
Les Contes interdits : Peau d'âne par Steeve Laflamme
Publié en 2019
6 heures d'écoute
J'ai lu ce livre au format audio
Un magnat des affaires dont les horribles secrets sexuels sont plus puissants que sa fortune.
Une épouse dévouée, dont la santé qui périclite fera disparaître la bonté et la lumière dans sa famille.
Une adolescente asociale aux aspirations qui font confondre désirs et réalité.
Une prostituée maltraitée qui en a trop dit… Mais si toute cette histoire n’était en réalité qu’un leurre?
Lorsque sa nourrice lui racontait l’histoire de Peau d’âne, le jeune Louis XIV était incapable de trouver le sommeil. Imaginez si on lui avait lu cette version revisitée, dans laquelle la jeune fille n’a rien de passif et d’ingénu comme celle du conte de Perreault… Oserez-vous ouvrir ce livre comme une porte sur l’inconnu, même s’il vous montre qu’il y a bien pire que de prendre la peau d’un animal?
Mon avis
J'ai passé un super moment d'écoute.
Peau d'Ane est un conte que je ne connaissais pas très bien. Je l'ai donc lu avant de découvrir ce titre.
L'auteur le dit dans l'introduction et c'est vrai. Dans chaque chapitre, nous trouvons une référence subtile au conte original.
Attention, il y a dans ce livre réservé à un public averti des scènes de torture, entre autre, sur des animaux, ce qui peut être choquant.
Avant la lecture de ce livre, je ne connaissais pas du tout l'auteur et je dois dire que ce fut une sacrée découverte.
Cela fait à peu près un an que je lis des livres audios et avec celui ci j'ai eu une super écoute.
Je m'explique.
Dans tous les audios que j'ai écouté,il n'y a qu'un seul lecteur. Là il y en avait trois et je pense que c'est ce qui a fait la différence.
Je renouvellerais bientôt l'expérience d'un nouveau titre de cet auteur
Encore une fois, je ne connais pas le conte original (il va vraiment falloir que je les lise un jour) donc je ne saurais pas dire si ce livre le respecte de près ou de loin. Mais je reste perplexe après cette lecture.
L'intrigue est bien, même très bien travaillée si on compare à la plupart des contes interdits dont la complexité de l'histoire est très limitée. Ici on est sur une histoire complexe avec des rebondissements jusque dans les dernières lignes et des renversements de situations plutôt inattendues.
Ce n’est pas la première fois que je lis cet auteur et la plume est toujours aussi propre et impactante.
Il y a des passages bien gore et surtout très violents, mais il m’a manqué un petit quelque chose. Est ce que j'ai retrouvé le côté gore et trash d'un conte interdit ? Je ne sais pas.
Alors oui cette œuvre est très glauque, ne serait-ce qu'à travers l'univers d'Anne ou les déviances sexuelles du “président”. Mais.... Je ne sais pas. Je trouve qu'il manque un petit quelque chose qui fait que ce livre ne trouve pas sa place dans mes préférés.
Et ce petit quelque chose, c’est clairement le personnage de Anne.C'est typiquement le genre de personnage très mystérieux qui mériterait un livre juste pour elle. Ce n'est pas le personnage principal de l'histoire mais pourtant elle en ressort comme le personnage clé du livre. Celui qui m'a le plus intrigué et le plus plu. J'aurais aimé qu'elle soit plus présente et plus travaillée. J'ai vraiment adoré ce personnage très sombre.
Pour finir, je dirais que ce conte interdit m'a laissé sur ma faim. Le livre en lui même est très bien mais c'est assez frustrant de devoir laisser un peu de côté un personnage comme Anne.
Résumé
Un magnat des affaires dont les horribles secrets sexuels sont plus puissants que sa fortune.
Une épouse dévouée, dont la santé qui périclite fera disparaître la bonté et la lumière dans sa famille.
Une adolescente asociale aux aspirations qui font confondre désirs et réalité.
Une prostituée maltraitée qui en a trop dit… Mais si toute cette histoire n’était en réalité qu’un leurre?
Lorsque sa nourrice lui racontait l’histoire de Peau d’âne, le jeune Louis XIV était incapable de trouver le sommeil. Imaginez si on lui avait lu cette version revisitée, dans laquelle la jeune fille n’a rien de passif et d’ingénu comme celle du conte de Perreault… Oserez-vous ouvrir ce livre comme une porte sur l’inconnu, même s’il vous montre qu’il y a bien pire que de prendre la peau d’un animal?
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