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Les coureurs de la fin du monde



Description ajoutée par TerverChante57 2018-05-28T11:22:33+02:00

Résumé

Plus personne n'attend rien de bon, ni rien de grand, d'Edgar Hill. A 35 ans, il est un père et un mari absent, et un homme éteint. Mais le désastre, souvent, nous révèle à nous-même.

Ayant survécu à une catastrophe planétaire, mais séparé de sa femme et de ses enfants par plus de 800 kilomètres, Edgar n'a qu'une seule option pour les rejoindre. Courir. Courir jusqu'à l'épuisement. Dépasser ses limites. Se battre contre lui-même. Et contre les dangers qui, tout au long de sa traversée d'un Royaume-Uni dévasté, menaceront jusqu'à sa survie même. S'il n'arrive pas à temps, il perdra sa famille. Pour toujours.

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Classement en biblio - 35 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par Ori06 2018-07-13T15:54:45+02:00

Les croyances sont étranges. Des certitudes au sujet de choses incertaines.

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Commentaires récents

Lu aussi

Plus que l'histoire en elle-même, c'est une réflexion sur la société que ce roman présente. Parfois un peu long cependant.

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Diamant

Qu'elle claque ce bouquin ! Dès le début on est accroché à l'histoire, dès le début l'action commence fort ! Je n'ai pas trouvée de longueur dérangeante au fil de la lecture, tout est fluide et bien représentés (décors, caractères des personnages). Un des meilleurs livres sur la fin du monde que j'ai pu lire jusque là ! La fin m'a bouleversée, chacun des personnages prends une routes différentes et ça a été émouvant pour ma part. Je le conseil à tous ceux qui aime l'apocalypse, parce que malgré que le livre soit une brique (550 pages) l'histoire n'est pas décevante et ne traîne pas pour autant !

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Bronze

The End of the World Running Club est une histoire telle que je l'attendais.

Dans le genre "fin du monde" j'ai été totalement comblée car une fois n'est pas coutume, nous suivons à la fois le début de l'apocalypse mais aussi le parcours de survivants dans ce monde bouleversé, très différent de ce qu'il était avant que les météorites aient percuté la Terre.

Dès le commencement, l'inconnu rythme le récit. On y suit Ed, se réveillant d'une gueule de bois avec un sentiment d'irrégularité dans ce qui l'entoure. Et pour cause, peu de gens savent qu'un cataclysme planétaire est sur le point de se dérouler sous leurs yeux. Donc, Ed est face à ce que l'on peut qualifier de "calme avant la tempête". Cette sensation étrange qui nous dit qu'il se passe quelque chose sans savoir quoi exactement.

Et puis, la mémoire lui revient et il temps de réagir même s'il est déjà trop tard. L'apocalypse est déjà en marche mais la priorité est de mettre sa famille à l'abri.

Ainsi, on est tout aussi perdu qu'Ed vis-à-vis des événements puisque rien n'a pu être anticipé. La peur de ne pas survivre fait place au pragmatisme qui permet à Ed et sa famille de se réfugier dans leur cave.

Seulement là où j'ai commencé à apprécier le style de l'auteur c'est que ce dernier ne fait pas relater simplement des faits, il nous octroie plusieurs aspects en matière de fin du monde.

Dans un premier temps, les survivants sont très vite pris en charge par l’armée et la survie s’organise.

Ensuite arrive ce pourquoi l’histoire a lieu d’être : courir pour survivre. Courir pour rejoindre sa famille.

Cependant, il faut attendre plus de la moitié du roman pour que les choses progressent dans ce sens et donc pour comprendre le pourquoi du « running club ». Mais en soi, c’est une bonne idée imaginée par l’auteur.

Malgré tout, dès lors que la course contre la montre démarre, certaines scènes viennent alourdir un récit déjà dense à la base. L’auteur ne nous épargne aucun détails que ce soit sur le Royaume-Unis anéanti ou les relations entre les personnages.

Ainsi, on ne peut que regretter trop de longueurs assez ennuyantes. C’est bien pour cela que l’analyse de l’histoire dans sa globalité est positive mais pas exceptionnelle. Seulement, 100 pages de moins n’auraient pas été de refus.

Et puis, cette fin était telle que je l’attendais. Elle est cohérente avec le reste et me convient très bien. Cette incertitude sur l’avenir avec tout de même une note d’espoir n’est que louable de la part de l’auteur.

Au-delà de la trame principale, c’est aussi un développement de la psychologie du protagoniste – Ed - qui rend bien plus réaliste ce récit.

Il a une réelle évolution qui me plaît beaucoup et qu’il n’est peut-être pas si simple de cerner de prime abord. C’est en partie pour cela que l’auteur nous aide souvent à faire la rétrospective des comportements passés, et ce afin de nous rendre compte de ce qu’Ed est devenu maintenant.

Je pense que chacun aurait une réaction qui lui est propre face à la fin du monde et la perte d’êtres chers mais Ed est souvent détestable tout en l’appréciant pour le chemin accompli. De savoir jusqu’où il est capable d’aller pour sauver les siens. Franchement, je n’aurais pas imaginé meilleure descente aux enfers que la folie dans laquelle il sombre. Ces jours passés de restriction, de fatigue ne font que renforcer sa volonté.

Concernant mon appréciation du livre, tout ne m’a pas spécialement plu mais c’est surtout l’extrême des situations et les recours radicaux qui ne m’ont pas séduite.

Dans ces cas là, j’ai trouvé une inhumanité et une facilité d’action trop désinvolte. Le meurtre de sang froid n’ayant jamais été quelque chose que je cautionne même par désespoir de cause.

Je vous parlais de plusieurs aspects de la fin du monde tout à l’heure. En fait, les personnages sont amené à faire des rencontres au cours de leur périple avec à chaque fois des réactions différentes face à des interlocuteurs qui doivent surmonter l’apocalypse. C’est ce que j’ai aimé dans le récit et paradoxalement, ce sont ces parties qui ralentissent le rythme.

Mine de rien, l’auteur nous introduit d’autres façons de survivre et nous montre toutes les facettes d’une humanité au bord du gouffre.

En bref, un bon livre apocalyptique que je vous recommande.

https://melimelobooks.blogspot.com/2016/06/the-end-of-world-running-club-adrian-j.html

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Lu aussi

C'est un gros livre, agréable à lire, cependant je ne sais pas comment le noter car l'histoire est bien mais moi je n'ai pas vraiment accroché, je ne sais pas vraiment pourquoi. Mais c'est tout de même un livre que je recommande pour les amateurs de gros livres

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Chronique de ma co-blogueuse Geneviève:

J'ai reçu ce livre à la fin du mois de janvier, parmi plusieurs autres envois d'Hugo et Cie. Le volume imposant du livre (558 pages imprimées sur un papier épais, laissant ainsi croire qu'il en comporte au moins 800) m'a incitée à le conserver pour mon voyage dans les Antilles à la mi-février. Comme j'adore les polars et les thrillers, je me suis dit que ça occuperait bien le temps passé dans l'avion et mes journées à la plage.

Et oh! que je n'ai pas été déçue. Dès les premières pages, l'écriture d'Adrian J. Walker a su me séduire. Rapidement, son style m'a fait penser à Stephen King (principalement à Brumes et à La peau sur les os) : un rythme lent où l'action est décrite avec un mélange de découragement et d'espoir par le personnage principal. Des sentiments fort à propos quand on pense qu'Edgar et sa famille font partie des rares survivants de la pire catastrophe naturelle que la Terre ait connue et qu'ils n'ont aucune idée de ce que l'avenir leur réserve.

En plus du style d'écriture, j'ai apprécié le personnage d'Ed, un antihéros comme on en voit peu. Père de famille plutôt médiocre, souffrant de désillusion autant que d'embonpoint, il apprend au fil des minutes à prendre les décisions qui - il l'espère - lui permettront de survivre et de retrouver les siens. Car ce roman nous rappelle avant tout à quel point l'équilibre social dépend des ressources disponibles et comme tout cela est précaire. L'auteur développe des personnages complexes qui usent de divers moyens de survie et il explore les aspects les plus sombres comme les plus lumineux de la race humaine.

J'ai également aimé que pour une fois, l'action se déroule ailleurs qu'aux États-Unis. Après tout, ils n'ont pas le monopole de l'apocalypse. Retrouver l'Écosse que j'ai visitée en voyage de noces il y a sept ans faisait du bien (on aime toujours reconnaitre les lieux où se déroule l'action non?), tout en me faisant découvrir d'autres coins de la Grande-Bretagne que j'ai pris plaisir à ajouter à ma liste de destinations.

Ce n'est pas un livre qui se lit rapidement. Les longues descriptions des lieux et des états d'âme du personnage principal, ainsi que ses relations avec les autres survivants font que j'ai régulièrement dû faire des pauses afin de tout digérer. Je vous accorde que la présence de la mer à mes pieds était un incitatif aux arrêts assez puissant.

Je vous suggère très fortement cette lecture. Je suis fort reconnaissante à Hugo Thriller pour la découverte de cet auteur. J'irai certainement chercher ses deux autres romans.

http://letempsdlire.blogspot.ca/2017/02/les-coureurs-de-la-fin-du-monde.html

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Commentaire ajouté par Maks 2016-08-27T18:46:31+02:00
Argent

The end of The World Running club à un titre original, on se dit "tiens" encore un roman post-apocalyptique, mais cette fois avec un club de joggeurs, on se demande : c'est quoi ce délire, çà doit être un peu décalé. Eh bien non c'est un roman post-apocalyptique classique, mais bien écrit et bien construit malgré quelques problèmes de rythme avec des passages à vide un peu ennuyeux mais pas si nombreux que ça non plus.

Les personnages sont approfondies, avec du caractère, le héros est un pauvre type qui ne sait pas s'occuper de sa femme et de ses enfants, il picole en douce (au point d'en oublier la fin du monde tout de même), de la classe moyenne et avec un peu d'embonpoint et détestant le sport.

Pour les personnages annexes on a le gros loubard mais finalement sympa, le vieux un peu illuminé, la jolie et intelligente blonde sergent dans l'armée et le bourgeois qui a tout vus tout connus mais qui ne conçoit même pas tout n'est pas tout cuit d'avance.

Tout ce beau monde par dans un road trip de plus de 500 km et se retrouve à ne pas pouvoir utiliser de véhicules, nôtre héros décidé donc sur un coup de désespoir de faire se trajet en courant, seul moyen d'arriver à temps pour rejoindre sa famille. Tout ce petit monde va le suivre et nous sommes entraînés dans certaines situations assez cocasses voir parfois désespérées.

J'ai globalement bien aimé le récit et la plume de l'auteur même si ce n'est pas un coup de cœur et malgré le problème de rythme qui survient parfois, l'auteur respecte le titre de son roman en développant bien le concept de course à pied.

http://unbouquinsinonrien.blogspot.fr/2016/08/the-end-of-world-running-club-adrian-j.html

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Or

Le voyage épique d'un homme qui court dans un Royaume-Unis dévasté par une pluie de météorites pour retrouver sa famille. Edgar est loin d'être un homme parfait, mais bien qu'il en ai plusieurs fois envie, il n'abandonne pas, cette volonté le rend attachant et rend l'histoire encore plus captivante.

Durant son voyage il est accompagné par d'autres survivants ce qui hélas rend l'ambiance générale moins effrayante.

Néanmoins, ce roman est excellent et je le conseille vivement.

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Argent

http://jldragon.over-blog.com/2016/07/the-end-of-the-world-running-club-d-adrian-j-walker.html

Excellent roman ! En premier lieu, je tiens directement à le dire !

Nous avons le droit ici à une course post-apocalyptique vers l’espoir. Un roman qui aborde énormément de thèmes et qui est très riche en action malgré la narration à la première personne du singulier. Car certes, le point de vue reste limité, mais vu l’ambiance démentielle, cela a dû permettre à l’auteur de garder un certain contrôle sur son récit et au lecteur, cela lui permet de suivre les cours de choses sans trop se perdre.

Cependant, l’immense réussite aurait été pour moi d’écrire ce roman à la troisième personne et de se libérer de certaines barrières.

Mais il est vrai aussi que la narration d’Edgard, le personnage principal, est très bonne. Le style est très, très addictif.

Les thèmes sont donc nombreux des relations humaines, à la psychologie, de la survivance à la mort, de la prise de conscience (elles sont nombreuses en fait) à la course à pied (c’est bête, mais ce livre me donne envie de courir), de la place du père à l’amour tout simplement.

J’ai aimé les passages où l’auteur vilipende notre société de consommation, j’ai aimé les passages où il dépeint les émotions humaines, les passages où il décrit le Royaume-Uni après la chute des météorites ou astéroïdes. Les descriptions sont saisissantes, très réalistes, très cinématographiques.

Ce roman ferait un excellent film.

Les personnages sont très attachants, car ils nous ressemblent concrètement. L’auteur n’use d’aucun artifice pour exagérer ces derniers. Ils sont. Ils vivent. Ils survivent. C’est tout.

Edgard est un anti-héros qui n’a rien demandé… Bon en même temps dans ce roman, je crois qu’aucun des personnages n’ait demandé à attraper des cailloux venus de l’espace en pleine tronche.

L’intrigue en elle-même est simple dans le sens où ce roman n’est pas un thriller. Non, ce roman est une belle aventure (effroyable, mais belle quand même) et une aventure humaine avant tout !

Si vous aimez les mondes post-apocalyptiques, si vous aimez les lectures addictives, si vous aimez courir, alors ce roman est fait pour vous !

Note globale : 18/20

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Dates de sortie

Les coureurs de la fin du monde

  • France : 2016-06-09 (Français)
  • France : 2018-06-14 - Poche (Français)

Activité récente

Titres alternatifs

  • The End of The World Running Club - Français

Évaluations

Les chiffres

lecteurs 35
Commentaires 8
extraits 3
Evaluations 13
Note globale 7.31 / 10

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