Commentaires

J'ai moins accroché que les 2 tomes précédents, je l'ai trouvé moins léger, long et rebarbatif

Contrairement à certains avis, j'ai bien aimé ce tome. Ce que j'ai apprécié, c'est le parallèle entre les deux héros, qui ont chacun un protégé qui se fait railler par la cour. D'une part, Léonie qui va s'occuper de rendre Gladys reine de la Saison, d'autre part, Lisburne doit protéger son ami Swanton, qui se fait railler pour sa poésie.

J'ai bien aimé découvrir un peu plus le personnage de Léonie, qui était discrète dans les autres tomes, et je n'ai pas été déçue.

La personnalité de Léonie est très différente de ses soeurs et que dire de celle de Lord Lisburne ou Simon. Amusant, on dirait que cela se passe aujourd'hui. J'ai hâte de lire l'histoire de Clara.

Je suis vraiment déçue par ce tome qui est bien loin d'être à la hauteur des deux premiers. J'ai trouvé les personnages superficiels, pas du tout aussi piquants que les protagonistes précédents. L'intrigue en elle-même semble venir de nulle part, et cousue de fil blanc. Je me suis beaucoup ennuyée au cours de cette lecture, et j'avoue ne pas avoir retrouvé ici ce qui faisait le sel de cette série.

Dommage.

L'histoire était fade et l'action longue et sans réel intérêt. Au début, j'étais intéressé, mais seule les poèmes de Mme Abdy et le caractère de Lady Gladys m'ont encouragé à continuer par la suite. En réalité, c'est parce que je ne savais plus quoi lire et que mon emprunt arrivait à son terme que je me suis forcé à le continué alors que j'étais à un peu plus loin que la moitié. Car j'avais concrètement abandonné cette lecture, pour tout dire, je n'ai même pas vraiment lu se qui restait, je sautait plusieurs pages pour ne lire que les dialogues.

La fin m'ai totalement incompréhensible, mais je met ça sur la faute du fait que je n'ai pas lu les deux premiers tomes. Et sur ce point, tant que j'y suis, je le déconseil à ceux qui voudrait s'y tenté sans avoir lu les tomes précédent : on ne comprend pas grand choses aux soeurs de Leonie et elles sont quand même importante dans sa vie alors on a l'impression de ne pas saisir l'histoire.

Enfin, on voit que l'auteur à vraiment fait beaucoup de recherche pour ce livre alors je suis déçu de lui donné une note si négative. Mais son style d'écriture n'est tout simplement pas pour moi.

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Le tome 3. Un roman intéressant d'une jeune femme avec un sens aiguisé des affaires et un fort caractère. Un homme sous le charme fera tout pour essayer de la conquérir, même avec un pari inusité.

Un monde de poésie, de sensualité et de passion. 8/10. Et moi qui adore avoir des références en lien avec la peinture, je suis servie : Mars et Vénus de Botticelli.

C’est toujours avec plaisir que je retrouve les sœurs NOIROT, ce tome ne déroge pas à la règle, j’adore l’écriture de Loretta CHASE, son sarcasme, ses répartis, les dialogues sont plus relevés mordants voir piquants, Léonie était la sœur la plus discrète dans les tomes précédents, et j’avoue qu’elle avait piqué ma curiosité, je n’ai pas été déçue par son caractère, son tempérament. La plus pragmatique des trois elle sait que la maison NOIROT va changer après les beaux mariages de ses sœurs aînées, mais elle ne veut pas perdre ce qu’elles ont construit à leur arrivée en Angleterre. J’ai aimé son attachement à ce qu’elle a, elle ne demande pas plus pour elle-même en dehors de la boutique. Sa rencontre avec le Marquis de Lisburne va la déstabiliser, Il est de retour en Angleterre après avoir passé 5 ans sur le continent, d’un caractère placide, il prend la vie comme elle vient, elle titille sa curiosité et j’ai aimé ses réactions lorsqu’il est en contact avec Léonie, ils se complètent, il la tempère, ils sont attachants. Je finis l’histoire des trois sœurs en me disant qu’elles ont bien trouvé les Hommes qui les complètent parfaitement. bon moment de lecture.

Cette série est vraiment sympathique et ce tome ne déroge pas à la règle.

La répartie des soeurs Noirot n'est pas en reste avec la benjamine de la famille : Léonie.

L'histoire tout comme les premiers tome est dotée d'humour et de sensualité. J'ai passé un agréable moment de lecture avec la romance Léonie/Lisburne.

Seul bémol : j'aurais aimé que les couples des deux premiers opus soient plus présents dans cette histoire.

Comme d’habitude avec Loretta Chase, je ne suis pas déçue. La Vénus en velours est passionnant, plein d’humour, doté d’une petite intrigue qui pimente l’histoire, pourvu d’une sensualité débordante et un romantisme jamais trop lourd.

Ce livre est le troisième tome de la série Les Couturières. Je n’ai pas lu les deux premiers (pas encore, mais ça ne saurait tarder), on peut donc lire ce tome indépendamment des autres mais je pense qu’il vaut mieux avoir lu les premiers avant. Pas pour la compréhension de l’histoire en elle-même, mais plutôt pour la compréhension de pas mal de références qui sont faites aux autres tomes et qui donnent vraiment envie de les lire. Et également, je pense, pour la compréhension pleine et entière du personnage de Léonie Noirot dont son passé est, j’imagine, également expliqué dans les deux précédents livres, avec celui de ses sœurs.

Sinon, c’est un livre comme je les aime. Le héros est superbe dans tous les sens du terme, un héros digne de Chase et pourtant elle ne fait pas toujours les mêmes. Il est beau, il est intelligent, il sait ce qu’il veut et il fait tout pour l’avoir. L’héroïne m’a quelques fois légèrement agacée… et encore ce n’est pas vraiment le mot. Mais sinon, elle m’a beaucoup plu. C’est une femme d’affaires forte et intelligente qui ne se laisse pas marcher sur les pieds, et c’est très appréciable.

L’écriture est fluide et très agréable à lire, il y a toujours beaucoup d’humour. De plus, dans ce livre, on apprend pas mal de choses grâce aux recherches poussées de l’auteure qui a la bonté de nous expliquer à la fin les quelques anachronismes présents et où elle a eu tous ces renseignements.

L’histoire quant à elle, est passionnante, mais je l’ai déjà dit au début de cette chronique. J’ai hâte de lire les aventures des deux autres sœurs Noirot !

J’entame avec grande envie ce troisième tome, comme les deux précédents m’avaient beaucoup plu !

Après les deux premières sœurs, nous retrouvons Léonie, la benjamine de la fratrie. Elle, c’est plutôt la bosse des maths.

Pour autant, elle affectionne beaucoup son métier de couturière, et la satisfaction de ses clientes lui tient à cœur. C’est pour ça qu’elle n’hésitera pas à relever le défi que représente Gladys Fairfax.

En parlant de défi, c’en est réellement un, et Lisburne se prête au jeu. Il veut à tout prix posséder Léonie.

L’intrigue se complique un peu. Le ‘protégé’ de Lord Lisburne est probablement victime d’un coup monté, et Lisburne et Léonie vont enquêter car la réputation de la Maison Noirot est en jeu. L’argent et la mode avant tout ! Ce qui ne amène à laisser le défi en arrière-plan et à approfondir la confiance et l’attachement entre nos deux protagonistes.

L’histoire est plaisante, mais j’ai moins été emballée dans ce tome-ci. J’ai bien mis deux semaines pour lire ce tome car le couple ne m’a pas spécialement plu. J’ai déjà aimé les apparitions de Gladys car Léonie m’a semblé plus fade que ses sœurs aînées.