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“Le monde magnifique et horrible de Mariana Enriquez, tel qu’on l’entrevoit dans Les Dangers de fumer au lit, avec ses adolescents détraqués, ses fantômes, les miséreux tristes et furieux de l’Argentine moderne, est la découverte la plus excitante que j’ai faite en littérature depuis longtemps.”
Kazuo Ishiguro, Prix Nobel de littérature
Peuplées d’adolescentes rebelles, d’étranges sorcières, de fantômes à la dérive et de femmes affamées, les douze histoires qui composent ce recueil manient avec brio les codes de l’horreur, tout en apportant au genre une voix radicalement moderne et poétique. Si elle fait preuve d’une grande tendresse envers ses personnages, souvent féminins, des êtres qui souffrent, qui ont peur, qui sont opprimés, Mariana Enriquez scrute les abîmes les plus profonds de l’âme humaine, explorant de son écriture à l’extraordinaire pouvoir évocateur les voies les plus souterraines de la sexualité, du fanatisme, des obsessions.
Il n'a pas protesté quand je lui ai dit que j'en avais marre. Que je voulais le voir. Poser la main sur son cœur délivré des côtes, de sa cage, le tenir dans ma main, palper, jusqu'à ce qu'il arrête de battre, sentir les valvules désespérées s'ouvrir et se fermer à l'air libre. Il a juste dit qu'il en avait assez, lui aussi.
Ce livre, qui se lit avec une aisance et rassemble des récits aussi variés qu’uniques, tous imprégnés d’une envoûtante étrangeté gothique. Plongé dans un univers où légendes et mythes se mêlent, le lecteur est confronté à la noirceur de l’âme humaine, révélée à travers des métaphores saisissantes et une portée morale subtilement engagée.
Si certains récits m’ont moins marquée – ce qui semble inévitable, tant nos sensibilités et goûts diffèrent – trois d’entre eux m’ont particulièrement captivée : L’Exhumation d’Angelita, Où es-tu, mon cœur et Viande, dont la puissance m’a profondément conquise.
En conclusion
TW langage grossier/drogue/mention de relations sexuelle.
cette lecture fut un moment agréable, et je suis impatiente d’explorer d’autres œuvres de cette autrice à l’écriture aussi belle que singulière.
Je lis très peu de livres d'horreur mais celui-ci m'a interpellé par sa manière d'ouvrir les anciennes blessures et tabous d'un pays. Plaçant les nouvelles dans notre monde, bien réel, le malaise et le dérangeant vous sautent à la gorge sans prévenir, vous forçant à ouvrir les yeux sur l'horreur du quotidien. Un bonne entrée dans l'univers angoissant de Mariana Enriquez où passé et présent se mélangent.
Formidable et affreux. Rares sont t les livres qui me font cet effet : de l'attirance et de la répugnance en même temps. Ces nouvelles sont profondément tristes et belles en même temps. Poisseuse, elles collent au corps longtemps après. Une sensation déplaisante.
J’ai été très surprise par ce livre. En effet, je l’avais sélectionné car il avait fait parler de lui sur les réseaux et j’étais curieuse de découvrir ce qui se cachait derrière cette couverture et ce titre.
Je m’attendais à quelque chose d’original et je n’ai pas été déçue ! Les différentes nouvelles sont toutes plus étranges et glauques les unes que les autres. Certaines m’ont fait grincer des dents, d’autres m’ont un peu moins plus mais j’ai, en bref, découvert une autrice dans une style que je ne connaissais pas du tout.
Un mélange d’horreur, de fantastique, de fantômes et d’Argentine… avis aux curieux.
Les dangers de fumer au lit est un recueil de nouvelles.
Mon avis est plutôt mitigé.
Certaines nouvelles sont très biens, d'autres un peu moins, voir inutile.
J'ai été complètement happée par Les petits revenants ou Où es-tu mon cœur, et incroyablement déçue par Les dangers de fumer au lit (la nouvelle).
Pour moi, l'ordre des nouvelles est mal agencé et aurait dû être pensé différemment. Les petits revenants, qui est la plus longue des douze, aurait dû se situer plus tôt dans le recueil, la suivante devant être plus légère et plus facile à lire.
Le fait que la majeure partie des personnes soit féminin est un vrai plus. L'auteure a aussi une très belle plume, ce qui rend la lecture agréable.
Quelques incompréhensions à la fin de certaines nouvelles comme Le Mirador par exemple, laissent un goût amer, une impression de trop peu.
Dans l'ensemble, ça reste tout de même une lecture que je recommande.
Spoiler(cliquez pour révéler)Je ne sais pas trop où me placer vis-à-vis du livre. Pour moi, il s'agissait d'une lecture inégale, ce qui a eu tendance à gâcher le plaisir général.
D'un côté, j'ai eu des nouvelles dans lesquelles je me suis investie et qui m'ont touchées, mais de l'autre c'était tout l'inverse. Ce n'est pas à cause de la plume qui est très efficace pour plonger dans une ambiance en peu de mots, mais le contenu qui semblait parfois peu abouti en raison du la nature des nouvelles. Je ne vais pas vous mentir, la majorité des fins étaient ouvertes et c'est quelque chose qui a tendance à me saouler. Donc peut-être que c'est ça qui m'a un peu bloqué dans le livre.
Mais mon expérience n'était pas uniquement négative, bien au contraire ! J'ai beaucoup aimé me plonger un peu dans les légendes et croyances d'Amérique du sud et la manière dont la folie humaine était décrite dans certaines nouvelles. Ce sont vraiment celles qui m'ont le plus marquées au final.
J'ai conscience que mon avis est un peu brouillon, alors je ne peux que vous conseiller de vous faire votre avis !
Waouh ! Je ne lis pas souvent de l'horreur, et j'en viens à penser que c'est une erreur puisque ce recueil de nouvelles m'a particulièrement plu. J'ai aimé toutes les histoires, à degrés variés bien sûr, mais la plupart m'ont fait délicieusement frissonner. Ce n'est certainement pas ma dernière rencontre avec cette autrice !
J'aime beaucoup l'écriture et le fait de réunir plusieurs histoires toutes différentes qui permettent de changer de vision sur les grands classiques Européen. Cependant certaines histoires ne m'ont pas vraiment passionné et j'ai parfois eu du mal à le terminer. Il reste tout de même sympa pour s'ouvrir sur des lectures horreurs, sorcelleries et autres.
Résumé
“Le monde magnifique et horrible de Mariana Enriquez, tel qu’on l’entrevoit dans Les Dangers de fumer au lit, avec ses adolescents détraqués, ses fantômes, les miséreux tristes et furieux de l’Argentine moderne, est la découverte la plus excitante que j’ai faite en littérature depuis longtemps.”
Kazuo Ishiguro, Prix Nobel de littérature
Peuplées d’adolescentes rebelles, d’étranges sorcières, de fantômes à la dérive et de femmes affamées, les douze histoires qui composent ce recueil manient avec brio les codes de l’horreur, tout en apportant au genre une voix radicalement moderne et poétique. Si elle fait preuve d’une grande tendresse envers ses personnages, souvent féminins, des êtres qui souffrent, qui ont peur, qui sont opprimés, Mariana Enriquez scrute les abîmes les plus profonds de l’âme humaine, explorant de son écriture à l’extraordinaire pouvoir évocateur les voies les plus souterraines de la sexualité, du fanatisme, des obsessions.
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