Descrip­tions

Vere Mallory, le duc d'Ainswood, a tout : le titre, l'argent et les femmes, qu'il séduit d'un regard. Immoral, insouciant et indépendant, le dernier libertin des Mallory court droit à sa perte.... jusqu'à ce que son chemin croise la sublime Lydia Grenville. Déterminée à protéger Londres des don Juan débauchés tels que Vere, Lydia affiche clairement son mépris. Mais Vere ne peut résister au défi de conquérir cette beauté blonde indomptée.

Dans cette venelle sordide de Londres, la grande blonde aux yeux bleus toute de noir vêtue a tapé dans l’œil de duc d'Ainswood. Au sens propre: elle lui a flanqué son poing dans la figure! Humilié, le dus rumine sa vengeance. Journaliste au style incisif, porte-parole des miséreux, Lydia Grenville est une femme d'une insolence rare. Et surtout, elle est magnifique. Quel plaisir il va prendre à la séduire! Comme ce sera agréable de lui infligé une bonne leçon! Il s'en réjouit d'avance...sans savoir que l'heure de sa propre reddition a sonné.

Elle avait besoin d'être apprivoisée... Elle était provocante à couper le souffle, et Vere Mallory, le célèbre duc d'Ainswood n'avait jamais vu de femme comme elle. Bien qu'il pense sauver Lydia Grenville des griffes d'un gaspilleur notoire, il découvre rapidement qu'elle est fâchée de son intervention. Amusé par la fureur de la harpie, Mallory jure de lui enseigner un peu d'humilité- dans la vie comme en amour. Il est exactement l'homme de la situation. Lydia Grenville fulmine. Elle est décidé à sauver la gente féminine des voyous comme cet infâme Mallory, mais pas à succomber à ses charmes scandaleux. Elle se retrouve bouleversée par les sensations chatoyante qu'il impose à son corps, mais quand elle découvre qu'il s'est vanté de "l'apprivoiser" Lydia jure de lutter contre ses avances...cependant rien ne l'avait préparé à la reddition qu'elle trouve dans ses bras