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Tout a une fin - même les Désastreuses aventures des orphelins Baudelaire. Nous avions été prévenus : pas de happy end (en français dans le texte), et ce volume 13 contient sa dose d'ingrédients navrants, contre lesquels Snicket, comme toujours, met en garde son « Cher lecteur » - terrible tempête, breuvage douteux, cage à oiseau surdimensionnée (pour misérable oiseau rare), secret troublant concernant le passé des parents Baudelaire… Une triste fin, alors, ou une fin triste ? Douce-amère plutôt, et drôle, et profonde - et plus concentrée encore en inattendu que les précédents épisodes. Tout commençait mal, tout finit-il donc mal ? Pas vraiment non plus, puisque en réalité rien ne finit jamais, ni d'ailleurs ne commence, telle est la conclusion en substance… Après la tempête susmentionnée, le trio Baudelaire se retrouve en effet sur une île étrange - celle qui voit s'échouer sur ses grèves, tôt ou tard, tous les vestiges du passé, tous les débris de naufrages au propre comme au figuré, sans parler de quelques naufragés. Accueillis par les îliens, apparemment pacifiques, les trois enfants vont faire là de bien curieuses découvertes, y compris sur leur propre histoire. Cette île sans nom serait-elle le dernier lieu sûr à l'écart du monde perfide ? Aux jeunes Baudelaire d'en décider, et au lecteur au moins autant, car pour finir tout reste ouvert dans ce beau conte philosophique riche en suspense, en interrogations, en poésie, en tendresse aussi… mais sans excès de sucre.
— Le cap sur un concessionnaire auto ? ironisa Violette. Désolée. On ne peut mettre le cap sur rien. Le vent est tombé, et Klaus et moi n’en pouvons plus de ramer.
— La paresse n’est pas une excuse, gronda Olaf. Moi, je n’en peux plus d’avoir tant intrigué, et m’entendez-vous me plaindre ?
— Qui plus est, renchérit Klaus, nous n’avons pas la moindre idée d’où nous sommes. Donc pas la moindre idée de la direction à prendre.
— Je le sais, moi, où nous sommes, gloussa Olaf. Au milieu de l’océan.
— Haricots, dit Prunille.
— Oh ! et toi, la paix, marmitonne. J’en ai jusque-là de ta bouillie infâme ! Elle est plus atroce encore que cette salade que confectionnaient vos parents. L’un dans l’autre, orphelins, vous êtes les pires acolytes que j’aie eus de ma vie !
— Nous ne sommes PAS vos acolytes ! éclata Violette. Il se trouve simplement que nous naviguons ensemble.
Une série qui commence comme elle se termine: dans le doute, les incertitutes, bon nombres de questions et la perte d'etre chers.
Le style de l'auteur est plus que fluide, on finit par s'y perdre et se demander où l'on va..
Une série assez répétitive qui ne trouve finalement dans cet énième tome pas vraiment de fin.
Un avenir incertain se présente pour les orphelins qui libérés de leur plus féroce ennemi ne sont pas sauf pour autant.
La tristesse suinte sans nous laisser d'avenir rassurant à contempler avec nos petits héros.
Si Lemony nous entraine dans son monde, il nous laisse sans réponses sur de nombreux points et j'ai pour ma part été assez déçue. Si je ne m'attendais certainement pas à un happy ending, je souhaitais trouver des réponses, meme horrifiantes.
Pour moi, une fin qui n'en est pas une. Une fin qui nous laisse dans un flou désagréable et mystérieux.
Cette saga est l'une des premières que j'ai lu est j'en garde un incroyable souvenir.
J'ai absolument adoré tous les tomes et à aucun moment elle m'a parut répétitive ou bien ennuyeuse. C'est plein d'humour noir, de mystères et de personnages, tous plus loufoques les un que les autres. Mais ce que j'ai surtout aimé c'est le style de l'auteur. Les choses ont beau être déplorables, l'histoire ne manque jamais d'humour. J'adore aussi sa manière d'inclure le lecteur dans l'histoire et toutes ses petites remarques qui semblent, sur le moment, complètement hors sujet. Franchement je suis vraiment fan.
Pour en revenir à ce dernier tome, et bien je dois dire que c'est l'une des meilleures fins de saga que j'ai pu lire. Et je comprends qu’elle ne satisfasse pas tout le monde, après tout on n'a pas toutes les réponses mais je la trouve vraiment brillante, elle sonne authentique. Sans compter que le message globale de la saga est très beau et surtout rempli d’espoir. Eh oui, parce que malgré toutes ses mésaventures, Violette Klaus et Prunille sont toujours restés les trois enfants intelligents et débrouillards qu'ils étaient au début de la saga.
Bref, une série que j'ai adoré et des personnages que je quitte avec le coeur gros.
Enfin, j'arrive au bout de cette saga. Elle est bien, mais franchement, vers la fin, ça devient vraiment redondant ! J'ai apprécié l'intrigue et suivre ces pauvres orphelins dans toutes leurs désastreuses aventures, mais arrivé au 10ème tome, on a vite envie d'en finir.
J'ai commencé ce livre avec une mauvaise intuition qui malheureusement, n'a fait que se confirmer tout le long. J'ai imaginé tous les scénarios possibles notamment que cette série était en fait un cauchemar de l'auteur.
Pourquoi écrire 13 tomes de mystères pour finalement ne jamais les résoudre ??? J'imagine que l'auteur a un penchant sadique et que ça l'amuse de nous torturer...
Ce n'est pas surprenant mais la fin est inattendue, bien qu'à la fois, pas trop non plus... Jusqu'au bout, on trouve de nouveaux mystères et c'est particulièrement frustrant. Comme de voir que des intrigues ou objets disparaissent d'un tome à l'autre (le sucrier...)
Spoiler(cliquez pour révéler)Lemony est-il le père Baudelaire ???
Les procédés littéraires utilisés sont top. Je suis triste de quitter les orphelins car je m'étais bien attachée à eux.
Si certains lecteurs veulent qu'on en parle, c'est avec joie !!!
Une série plutôt décevante pour moi ... la lecture manquait de fluidité car l’écriture était parfois « pompeuse », des éléments complètement absurdes (impossibles scientifiquement) et les personnages agaçants.
Tout simplement un roman qui n’était pas fait pour moi !
Pour la petite histoire j'emménage bientôt dans mon futur chez moi, et je fais le tour pour voir ce que j'emmène ou pas. C'est en fouillant dans mon ancienne armoire chez mon père que j'ai aperçue la série des livres des orphelins Baudelaire. Ces livres font partie de mes premières lectures je n'avais donc pas d'autres choix que de les afficher ici. Une histoire absolument passionnante, le genre de livre où vous mettez le nez dedans et vous n'en sortez qu'une fois le livre fini.
Ce dernier tome de la saga me laisse assez perplexe mais j'imagine que c'est le but de l'auteur : une fin sans réel point final. Bref la vie en somme ou comme nous le dit si bien ce roman "in medias res"
Résumé
Tout a une fin - même les Désastreuses aventures des orphelins Baudelaire. Nous avions été prévenus : pas de happy end (en français dans le texte), et ce volume 13 contient sa dose d'ingrédients navrants, contre lesquels Snicket, comme toujours, met en garde son « Cher lecteur » - terrible tempête, breuvage douteux, cage à oiseau surdimensionnée (pour misérable oiseau rare), secret troublant concernant le passé des parents Baudelaire… Une triste fin, alors, ou une fin triste ? Douce-amère plutôt, et drôle, et profonde - et plus concentrée encore en inattendu que les précédents épisodes. Tout commençait mal, tout finit-il donc mal ? Pas vraiment non plus, puisque en réalité rien ne finit jamais, ni d'ailleurs ne commence, telle est la conclusion en substance… Après la tempête susmentionnée, le trio Baudelaire se retrouve en effet sur une île étrange - celle qui voit s'échouer sur ses grèves, tôt ou tard, tous les vestiges du passé, tous les débris de naufrages au propre comme au figuré, sans parler de quelques naufragés. Accueillis par les îliens, apparemment pacifiques, les trois enfants vont faire là de bien curieuses découvertes, y compris sur leur propre histoire. Cette île sans nom serait-elle le dernier lieu sûr à l'écart du monde perfide ? Aux jeunes Baudelaire d'en décider, et au lecteur au moins autant, car pour finir tout reste ouvert dans ce beau conte philosophique riche en suspense, en interrogations, en poésie, en tendresse aussi… mais sans excès de sucre.
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