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Cher lecteur, J'espère que tu n'as pas choisi ce livre en te disant : " Ca a l'air drôle ! " Si tel est le cas, referme-le vite ! De tous les épisodes de la triste vie des orphelins Baudelaire, celui-ci pourrait bien pulvériser tous les records de désolation. Les trois enfants se retrouvent dans une scierie dont le patron est leur nouveau tuteur, mais derrière chaque bûche (ou presque) est embusquée une embûche. Lunettes cassées, affreux puit de casseroles, pinceuse géante, fumée de cigare qui parle, mystérieux cas d'hypnose, chewing-gum à tous les repas - rien ne leur sera épargné. J'ai fait le serment, pour ma part, de relater les misères endurées par ces trois enfants, mais ce serment n'engage que moi. Libre à toi, cher lecteur. de te choisir bien vite une lecture plus réjouissante. Avec mes sentiments respectueux, Lemony Snicket
- "L'hypnose ? Dit Violette. Je croyais que c'était seulement dans les films d'épouvante."
- "Oh ! Détrompe-toi. L'an dernier – tu te rappelles ? - J'ai lu un gros bouquin là-dessus, l'Encyclopoedia Hypnotica. On y décrivait des tas de cas d'hypnose, parmi les plus célèbres de l'Histoire. Par exemple, dans l’Égypte ancienne, un grand roi avait été hypnotisé. Son hypnotiseur n'avait qu'à crier bien fort « Ramsès II ! » et aussitôt le roi se mettait à caqueter comme une poule devant la cour entière."
- "Intéressant, dit Violette, mais est-ce q..."
- "En Chine, c'est un marchand qui avait été hypnotisé, du temps de la dynastie Ling. Son hypnotiseur n'avait qu'à crier bien fort « Mao ! » et aussitôt le marchand se mettait à jouer du violon, alors que jamais de sa vie il n'avait touché à un violon."
- "Incroyable, mais est-ce q..."
- "En Europe, j'ai oublié où, vers 1920, c'est un Irlandais qui fut hypnotisé. Son hypnotiseur n'eut qu'à crier bien fort « Bloomsbury ! » et d'un seul coup l'homme devint un grand écrivain, alors qu'il savait à peine écrire."
- "Mazé !" Fit Prunille de sa petite voix aiguë, ce qui signifiait sans doute : « Tout ça est bien joli, Klaus, mais tu crois qu'on a le temps d'écouter des histoires ? »
Encore une aventure rocambolesque de nos trois orphelins avec ce qu'il faut d'humour et d'intrigue. J'aime beaucoup la ribambelle de nouveaux personnages que l'on retrouve dans ce tome.
On observe un changement d'environnement pour ce quatrième tome mais malheureusement pas un changement de trame scénaristique. Mon avis sur la série reste donc le même.
Ce tome-ci est bien. Il est un peu cruel de faire travailler des enfants de cette manière. J'avais hâte de connaître le dénouement de cette partie de l'histoire.
J’adore cette “unité de style”, cette manière du narrateur à nous plonger dans cet univers noir et triste tout en nous laissant entrevoir l’espoir d’un fin heureuse malgré qu’il dit l’inverse, ça a commencé dans la tristesse et ça terminera ! Chaque tome devient de plus en plus sombre, les orphelins finissent de pire en pire. Le livre se lit d’une traite
comme vous pourrez le voir, j'ai mis une très mauvaise évaluation de ce livre car j'ai trouvé qu'il n'était absolument pas original (l'histoire tourne en boucle et se répète depuis le tome 3)
Comme l'indique son nom, l'histoire est horriblement désastreuse, ces pauvres enfants me font pitié : ils sont obligés de vivre dans une usine pour y travailler non-stop (même le bébé !), et leur repas n'est qu'un chewing-gum, leur salaire se réduit à des remises , ou tickets de réductions. Je ne l'ai pas terminé. Je pensais que ce serait drôle mais pas du tout!
Olaf me fait toujours autant rire (oui oui) ! Ses déguisements sont plus farfelus les uns que les autres. Et l’ingéniosité des orphelins est superbe. [/spoiler]J’adore le concept de l’hypnose ![/spoiler]
Une série plutôt décevante pour moi ... la lecture manquait de fluidité car l’écriture était parfois « pompeuse », des éléments complètement absurdes (impossibles scientifiquement) et les personnages agaçants.
Tout simplement un roman qui n’était pas fait pour moi !
Niveau intrigue, ça devient vraiment répétitif. Heureusement, le décor est là pour rattraper ça : ce tome nous plonge dans une ambiance mystérieuse, un peu ésotérique - entre la bourgade au bord de l'abandon, le patron "invisible" et les références à Orwell, on n'est pas loin d'une vibe midwest gothic. Le comte Olaf arbore son déguisement le plus outrancier, les exploits des enfants pour se tirer de ses griffes touchent au summum de l'absurde, le dénouement est presque gore, tout est dans l'exagération, encore plus que d'habitude. Mais ça fonctionne !
Et bien sûr, petit bonus pour la critique anticapitaliste sous-jacente <3
Résumé
Cher lecteur, J'espère que tu n'as pas choisi ce livre en te disant : " Ca a l'air drôle ! " Si tel est le cas, referme-le vite ! De tous les épisodes de la triste vie des orphelins Baudelaire, celui-ci pourrait bien pulvériser tous les records de désolation. Les trois enfants se retrouvent dans une scierie dont le patron est leur nouveau tuteur, mais derrière chaque bûche (ou presque) est embusquée une embûche. Lunettes cassées, affreux puit de casseroles, pinceuse géante, fumée de cigare qui parle, mystérieux cas d'hypnose, chewing-gum à tous les repas - rien ne leur sera épargné. J'ai fait le serment, pour ma part, de relater les misères endurées par ces trois enfants, mais ce serment n'engage que moi. Libre à toi, cher lecteur. de te choisir bien vite une lecture plus réjouissante. Avec mes sentiments respectueux, Lemony Snicket
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