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L’expression « comme deux ronds de flan » a de quoi laisser perplexe. Être ou rester comme deux ronds de flan, c’est être stupéfait ; renversé ; sans voix ; médusé. Que le flan ait sa place ici, passe encore. Après tout, le flan est bien une sorte de crème renversée, sans voix, à vague consistance de méduse. Admettons, mais pourquoi rond ? Le flan peut prendre toutes les formes ! Et surtout, pourquoi deux ? Comment fait-on, à soi tout seul, pour ressembler à deux ronds de flan ?

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Si vous êtes allé au musée un jour – qu’on vous y ait traîné de force ou que vous y soyez entré de vous-même, pour échapper à la canicule ou à la police –, peut-être avez-vous remarqué ce type de tableau qu’on nomme un triptyque.

Un triptyque se compose de trois panneaux, et sur chacun de ces panneaux est peinte une scène différente. Par exemple, mon ami le professeur Reed a réalisé un triptyque pour moi. Sur l’un des panneaux on voit du feu, sur l’autre une machine à écrire, sur le troisième le portrait d’une femme à la fois intelligente et belle. Ce triptyque s’intitule Le destin de Beatrice, et je ne peux y poser les yeux sans fondre en larmes.

Je suis écrivain et non peintre. Mais si je devais peindre un triptyque intitulé Les Tristes Aventures des orphelins Baudelaire à l’Institut J. Alfred Prufrock, je peindrais Mr. Rémora sur un panneau, Mme Alose sur un autre, une boîte d’agrafes sur le troisième, et l’effet produit serait si triste que, tel que je me connais, entre le triptyque Beatrice et le triptyque Baudelaire, je pleurerais du matin au soir.

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Les enfants Baudelaire s’étaient découvert des amis et là, dans la bibliothèque Prufrock, en compagnie des triplés Beauxdraps, le monde semblait plus petit et plus sûr qu’il ne l’avait été depuis des mois.

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Tout le monde mourra un jour, c’est une certitude absolue – tous ceux pour qui ce n’est pas déjà fait. Les artistes de cirque mourront un jour, les clarinettistes mourront un jour, vous et moi mourrons un jour. Et peut-être, à l’instant même, quelqu’un que vous avez croisé ce matin va mourir dans quelques secondes, parce qu’il s’apprête à traverser la rue en oubliant de regarder de chaque côté. Chacun de nous mourra, mais sauf exception nous n’aimons guère qu’on nous le rappelle.

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Rien n’est plus navrant, je le sais, qu’un scénario qui se répète, mais c’est la triste réalité.

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S’il existait une médaille d’or réservée à la pire chipie de la planète, elle serait détenue – et pour longtemps – par une certaine Carmelita Spats. De toute manière, l’intéressée vous l’aurait arrachée des mains, cette médaille, si vous aviez tardé à la lui donner. Carmelita Spats était une petite pimbêche teigneuse, hargneuse, arrogante, revêche, et il m’en coûte de parler d’elle. Cette histoire contient déjà bien assez de choses pénibles sans être obligé, en plus, de décrire une mégère en herbe.

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Pour Béatrice

A jamais dans mon cœur, dans mes pensées - dans la tombe.

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Les amis ont ce pouvoir étrange de vous donner l'impression que le monde est plus petit et moins fourbe. C'est l'effet magique de se retrouver auprès de gens qui ont vécus des expériences proches des vôtres.

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