Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
Meurtrières et salvatrices sont les vérités des Dieux.
Hseth, la grande déesse taliciane du feu, a été détruite, ses autels brisés, son pouvoir annihilé. Mais le prix à payer a été colossal... Accablés par la perte de Kissen, Elogast, Inara et Skedi se réfugient à Lesscia, la cité d'adoption de la veiga.
Ils y apprennent que l'armée du roi Arren est en marche, et que le jeune souverain est prêt à tout pour devenir le seul dieu du Middren. Mais au même moment, une rébellion se forme car nombreux sont ceux qui espèrent voir les déités retrouver leur puissance d'antan.
Le chevalier brisé en quête de liberté, la jeune noble assoiffée de vengeance, et le petit dieu des mensonges pieux s'apprêtent à devenir le meilleur espoir pour tenter d'endiguer la guerre menaçant de plonger le Middren dans les flammes et le sang. Et dans les remous de la mer d'Osidisen, les échos d'une ancienne promesse qui liait le dieu à une déicide taciturne résonnent...
J'avais une grande hâte de lire ce tome 2 - notamment pour savoir ce qu'il était advenu de Kissen. Kissen, que j'aime toujours autant, mais que j'ai trouvé un peu trop mise en retrait dans ce tome-ci, à mon grand regret.
Dans l'ensemble, j'ai plus apprécié ce tome que le précédent, notamment pour l'action, qui s'enchaîne à un rythme assez effréné sur le dernier tiers du roman. J'ai vraiment aimé le fait que les chapitres raccourcissent au fur et à mesure, le temps d'urgence de la situation en ressort encore mieux. Les chapitres n'étaient pour autant pas bâclés, et avaient chacun leur importance, nous permettant d'avoir un point de vue d'ensemble de la bataille à Lescia.
Concernant les personnages, j'ai trouvé qu'Inara ressemblait encore une fois beaucoup à Ciri (dans la saison 1 de The Witcher), assez capricieuse et immature. Toutefois, c'est une fille de 14 ans, et j'avoue que malgré mon agacement lié à certaines de ses réactions assez puériles, j'ai apprécié que l'autrice reste fidèle à ce qu'on imagine d'une jeune adolescente, et ne la transforme pas en super héroïne badass d'un claquement de doigt. Donc même malgré mes contrariétés, le développement accordé à Inara est bien mené, et suit son cours jusqu'au dernier tiers du roman, où elle est beaucoup plus supportable.
Elogast est fidèle à lui-même, même si j'ai trouvé qu'on avait moins accès à ses sentiments et à ses pensées, qu'à celles d'Inara, qui ressortent de manière assez transparentes. J'ai beaucoup aimé la quête des origines d'Ina, et le développement de ses pouvoirs. Skediceth est aussi plus touchant, notamment dans la fidélité de son amitié pour Inara (moi qui l'attendais au tournant au vu du premier tome, il s'est bien ressaisi).
Par contre, je dois avouer que j'ai fondu pour Telle et Yatho, et pour leur amour. Le fait qu'elles s'expriment en langue des signes, la danse de leurs mains que décrit si bien l'autrice, le mélange de leurs émotions que Skedi et Ina nous décrivent...Tout est mignon ; de la férocité de leur amour à la dévotion qu'elles ont l'une pour l'autre. J'étais donc trop heureuse qu'elles occupent une place plus importante dans ce tome, et ai été assez frustrée qu'elles disparaissent un peu soudainement lors de la dernière bataille.
Enfin, concernant Kissen...Que dire...J'ai adoré sa dévotion à Inara, sa volonté de la protéger, quitte à renier ses principes (la dette de son père, les dons aux Dieux, prendre parti dans une guerre), bref, Kissen est une perle, et j'ai été émue lorsqu'elle a ouvert ses sentiments à Inara, malgré toute la faiblesse que cela implique. Kissen, la combattante, une femme forte, drôle et résiliente, fidèle, aimante...Bref, je pense qu'elle est l'une de mes héroïnes de fantasy préférée, parce qu'elle n'est pas non plus parfaite et n'essaye pas de l'être.
J'ai détesté Arren, je l'ai trouvé aussi pathétique que l'autrice l'a réussi, et je pense que le fait qu'il garde des traits humains, celui d'un adulte élevé sans reconnaissance ni amour, joue beaucoup. On comprend ses motivations, et on voit qu'il perd la tête face au pouvoir qu'il gagne grâce à Héra.
J'ai encore une fois bien aimé la plume de l'autrice, qui porte bien le récit et possède un vocabulaire différent de celui que je croise d'habitude : même si ça rend la lecture un peu plus compliquée, elle s'enrichit et ne dérange pas la compréhension des descriptions (les dialogues sont dans un anglais accessible).
Pour le scénario, j'avoue que j'ai beaucoup aimé qu'une grande partie de l'intrigue se passe en huit-clos, je ne m'y attendais pas étant donné que la carte au début du roman est dézoomée par rapport au tome un, car les continents voisins s'impliquent lentement dans les affaires de Middren.
L'autrice a su bien me tenir en haleine pendant tout le roman, et j'ai vraiment failli casser mon crâne en arrivant à la fin - j'avais trop peur d'être laissée sur ma faim, avant de lire les remerciements et d'apprendre qu'il s'agissait d'une trilogie. A mon plus grand plaisir ! Je l'attends avec impatience (et je crois que comme l'autrice l'a teasé, je ne suis pas prête : ça va partir dans tous les sens, et vu la belle plume qui a mené l'action et le suspens de ce tome, j'ai hâte de voir sa maîtrise à plus grande échelle : le point culminant de ce roman m'est apparue de manière très claire et presque filmique tant c'était bien géré).
Au final, je ne sais pas pourquoi le roman ne se hisse qu'en liste d'argent vu ma critique, il a dû manquer deux trois petits éléments pour en faire un roman de liste d'or - peut-être les quelques longueurs du début.
Le début de l'aventure m'avait énormément plu, sorte de The Witcher revisité, avec des dieux au lieu de monstres mais le même message : que ce sont les hommes qui se révèlent au final être plus cruels que les créatures qu'ils combattent.
Sauf que le tome 2 est 𝘴𝘪 𝘧𝘢𝘥𝘦. Le POV supplémentaire (celui d'Arren) ne sert strictement à rien et toutes les scènes traînent inutilement en longueur, ce qui est malheureusement la malédiction des tomes 2, comme si les auteurs se sentaient chaque fois obligés de respecter le format de la trilogie mais sans avoir jamais assez pour combler les pages. Et donc ça traîne, ça traîne, et j'ai décroché.
J'avais une grande hâte de lire ce tome 2 - notamment pour savoir ce qu'il était advenu de Kissen. Kissen, que j'aime toujours autant, mais que j'ai trouvé un peu trop mise en retrait dans ce tome-ci, à mon grand regret.
Dans l'ensemble, j'ai plus apprécié ce tome que le précédent, notamment pour l'action, qui s'enchaîne à un rythme assez effréné sur le dernier tiers du roman. J'ai vraiment aimé le fait que les chapitres raccourcissent au fur et à mesure, le temps d'urgence de la situation en ressort encore mieux. Les chapitres n'étaient pour autant pas bâclés, et avaient chacun leur importance, nous permettant d'avoir un point de vue d'ensemble de la bataille à Lescia.
Concernant les personnages, j'ai trouvé qu'Inara ressemblait encore une fois beaucoup à Ciri (dans la saison 1 de The Witcher), assez capricieuse et immature. Toutefois, c'est une fille de 14 ans, et j'avoue que malgré mon agacement lié à certaines de ses réactions assez puériles, j'ai apprécié que l'autrice reste fidèle à ce qu'on imagine d'une jeune adolescente, et ne la transforme pas en super héroïne badass d'un claquement de doigt. Donc même malgré mes contrariétés, le développement accordé à Inara est bien mené, et suit son cours jusqu'au dernier tiers du roman, où elle est beaucoup plus supportable.
Elogast est fidèle à lui-même, même si j'ai trouvé qu'on avait moins accès à ses sentiments et à ses pensées, qu'à celles d'Inara, qui ressortent de manière assez transparentes. J'ai beaucoup aimé la quête des origines d'Ina, et le développement de ses pouvoirs. Skediceth est aussi plus touchant, notamment dans la fidélité de son amitié pour Inara (moi qui l'attendais au tournant au vu du premier tome, il s'est bien ressaisi).
Par contre, je dois avouer que j'ai fondu pour Telle et Yatho, et pour leur amour. Le fait qu'elles s'expriment en langue des signes, la danse de leurs mains que décrit si bien l'autrice, le mélange de leurs émotions que Skedi et Ina nous décrivent...Tout est mignon ; de la férocité de leur amour à la dévotion qu'elles ont l'une pour l'autre. J'étais donc trop heureuse qu'elles occupent une place plus importante dans ce tome, et ai été assez frustrée qu'elles disparaissent un peu soudainement lors de la dernière bataille.
Enfin, concernant Kissen...Que dire...J'ai adoré sa dévotion à Inara, sa volonté de la protéger, quitte à renier ses principes (la dette de son père, les dons aux Dieux, prendre parti dans une guerre), bref, Kissen est une perle, et j'ai été émue lorsqu'elle a ouvert ses sentiments à Inara, malgré toute la faiblesse que cela implique. Kissen, la combattante, une femme forte, drôle et résiliente, fidèle, aimante...Bref, je pense qu'elle est l'une de mes héroïnes de fantasy préférée, parce qu'elle n'est pas non plus parfaite et n'essaye pas de l'être.
J'ai détesté Arren, je l'ai trouvé aussi pathétique que l'autrice l'a réussi, et je pense que le fait qu'il garde des traits humains, celui d'un adulte élevé sans reconnaissance ni amour, joue beaucoup. On comprend ses motivations, et on voit qu'il perd la tête face au pouvoir qu'il gagne grâce à Héra.
J'ai encore une fois bien aimé la plume de l'autrice, qui porte bien le récit et possède un vocabulaire différent de celui que je croise d'habitude : même si ça rend la lecture un peu plus compliquée, elle s'enrichit et ne dérange pas la compréhension des descriptions (les dialogues sont dans un anglais accessible).
Pour le scénario, j'avoue que j'ai beaucoup aimé qu'une grande partie de l'intrigue se passe en huit-clos, je ne m'y attendais pas étant donné que la carte au début du roman est dézoomée par rapport au tome un, car les continents voisins s'impliquent lentement dans les affaires de Middren.
L'autrice a su bien me tenir en haleine pendant tout le roman, et j'ai vraiment failli casser mon crâne en arrivant à la fin - j'avais trop peur d'être laissée sur ma faim, avant de lire les remerciements et d'apprendre qu'il s'agissait d'une trilogie. A mon plus grand plaisir ! Je l'attends avec impatience (et je crois que comme l'autrice l'a teasé, je ne suis pas prête : ça va partir dans tous les sens, et vu la belle plume qui a mené l'action et le suspens de ce tome, j'ai hâte de voir sa maîtrise à plus grande échelle : le point culminant de ce roman m'est apparue de manière très claire et presque filmique tant c'était bien géré).
Au final, je ne sais pas pourquoi le roman ne se hisse qu'en liste d'argent vu ma critique, il a dû manquer deux trois petits éléments pour en faire un roman de liste d'or - peut-être les quelques longueurs du début.
Résumé
Meurtrières et salvatrices sont les vérités des Dieux.
Hseth, la grande déesse taliciane du feu, a été détruite, ses autels brisés, son pouvoir annihilé. Mais le prix à payer a été colossal... Accablés par la perte de Kissen, Elogast, Inara et Skedi se réfugient à Lesscia, la cité d'adoption de la veiga.
Ils y apprennent que l'armée du roi Arren est en marche, et que le jeune souverain est prêt à tout pour devenir le seul dieu du Middren. Mais au même moment, une rébellion se forme car nombreux sont ceux qui espèrent voir les déités retrouver leur puissance d'antan.
Le chevalier brisé en quête de liberté, la jeune noble assoiffée de vengeance, et le petit dieu des mensonges pieux s'apprêtent à devenir le meilleur espoir pour tenter d'endiguer la guerre menaçant de plonger le Middren dans les flammes et le sang. Et dans les remous de la mer d'Osidisen, les échos d'une ancienne promesse qui liait le dieu à une déicide taciturne résonnent...
Afficher en entier