Les dieux verts
Auteur
- Charles Henneberg (Écrivain)
- Nathalie Henneberg (Écrivain)
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Classement en biblio - 9 lecteurs
Commentaire le plus apprécié
J'ai découvert avec cette histoire une auteure bien méconnue de la science-fiction, mais qui a pourtant apporté plus que son content de pierres à l'édifice. Un roman décoiffant comme on en fait plus. On revient ici aux origines de la science-fiction, un genre bien loin des hybridations de ce qu'on peut lire en ce moment. C'est la science-fiction à la Jack Vance mais belle et poétique là où Vance nous présente des abominations dans un style dépouillé. Ce qui est fascinant ici c'est que l'auteure nous présente elle aussi un univers impitoyable, abominable et qui rend mal-à-l'aise, mais tout cela dans un style si profondément lyrique, beau même dans sa laideur, que je ressors de cette lecture avec la mine comblée du spectateur de l'œuvre-d'art.
En effet, l'auteure nous dépeint un monde végétal monstrueux, et néfaste, contre toute idéologie de préservation de la planète et de conscience de la biodiversité que nous pouvons avoir aujourd'hui, et cela même si c'est tout à fait étrange, paraît réel tant elle est parvenue à nous convaincre que les plantes sont effectivement monstrueuses. C'est une véritable claque, bien que j'aurais préféré que quelques points qui me paraissent flous soient plus clairement expliqués, mais le format de 160 pages y est peut-être aussi pour quelque chose.
Bref, je trouve vraiment que l'on devrait mettre plus en avant cette auteure surprenante qu'est Nathalie Henneberg, ses romans étant bien plus originaux que tout ce qui s'est fait bien après.
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Un livre grandiose ! Par contre, je tiens a préciser que malgré ce qu'on entend souvent, Nathalie a bel et bien écrit ses livres seules ! Son mari ne lui servait que de nom, elle écrivait sans aucune aide.
Autre chose: je ne sais pas si d'autres lecteurs sont du meme avis mais en lisant ce livre j'ai eu l'impression qu'il y avait pas mal de suprématie blanche, à un point ou je me suis demandée si Nathalie n'était pas raciste. Je me demande si d'autres ont eu la même impression, n'hésitez pas a me le dire !
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J'ai découvert avec cette histoire une auteure bien méconnue de la science-fiction, mais qui a pourtant apporté plus que son content de pierres à l'édifice. Un roman décoiffant comme on en fait plus. On revient ici aux origines de la science-fiction, un genre bien loin des hybridations de ce qu'on peut lire en ce moment. C'est la science-fiction à la Jack Vance mais belle et poétique là où Vance nous présente des abominations dans un style dépouillé. Ce qui est fascinant ici c'est que l'auteure nous présente elle aussi un univers impitoyable, abominable et qui rend mal-à-l'aise, mais tout cela dans un style si profondément lyrique, beau même dans sa laideur, que je ressors de cette lecture avec la mine comblée du spectateur de l'œuvre-d'art.
En effet, l'auteure nous dépeint un monde végétal monstrueux, et néfaste, contre toute idéologie de préservation de la planète et de conscience de la biodiversité que nous pouvons avoir aujourd'hui, et cela même si c'est tout à fait étrange, paraît réel tant elle est parvenue à nous convaincre que les plantes sont effectivement monstrueuses. C'est une véritable claque, bien que j'aurais préféré que quelques points qui me paraissent flous soient plus clairement expliqués, mais le format de 160 pages y est peut-être aussi pour quelque chose.
Bref, je trouve vraiment que l'on devrait mettre plus en avant cette auteure surprenante qu'est Nathalie Henneberg, ses romans étant bien plus originaux que tout ce qui s'est fait bien après.
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Date de sortie
Les dieux verts
- France : 1961-01-01 (Français)
Activité récente
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Résumé
Sur cette terre dangereuse de l'ère Emeraude, l'empire des hommes est déclinant, la partie semble même perdue pour l'humanité devant la terrible emprise des impitoyables dieux verts. Cependant des humains combattront pour sauver leur esprit, leur race, lui rendre sa place au soleil. Ils seront trois à lutter, à espérer, à s'aimer et à se déchirer. Le subtil prince Uxmal, l'éblouissant Suffète des mers, Argo et la petite Reine Atléna « cette âme plus légère que l'air » qui fera peut-être pencher la balance.
A sa mort Charles Henneberg laissait divers manuscrits inachevés. Ils furent complétés par sa femme, qui collaborait déjà avec lui dés le début. On retrouve dans Les Dieux verts toutes les qualités de l'œuvre puissante d'Henneberg, la splendeur de l'époque, la peinture d'un monde délirant et baroque, où les hommes combattent les insectes géants, et où la Terre est régie par les plantes intelligentes auxquelles l'homme est soumis. (Jacques Van Herp)
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