Commentaires

Ce roman est un joli moment de lecture. Très simple et très court, le fondsnous amène à réfléchir sur la procréation, la famille et l’égoïsme.

Très bon livre pour avoir un aperçu de la culture chinoise aussi ancestrale qu'insaisissable, le récit est truffé des citations et de la sagesse confucéenne, la différence entre la Chine d'hier et d'aujourd'hui. La lecture est facile et plaisante, je ne m'y attendais pas. Bonne surprise !

Une jolie nouvelle qui nous parle de la Chine et nous en apprend plus sur ce pays, sur la politique de l’enfant unique et sur ce que son Histoire peut infliger aux gens. On se questionne sur mme Ming, on s’interroge sur le message qu’elle porte et on est touché par ce que l’auteur nous dévoile. Vraiment très beau et touchant.

Donne envie de continuer le cycle de l'invisible ! Lecture qui donne toujours à réflexion !

Ouvert à un moment où j'avais l'esprit embrouillé, peu propice à la lecture, et pourtant, j'ai lu ce livre en une seule fois, tout en en goûtant chaque phrase.

Bien que ce conte moderne soit vif, profond et agréable à lire grâce à la plume presque aérienne d'Éric-Emmanuel Schmitt, je regrette de n'avoir pas pu rentrer vraiment dans le récit, parce que je suis sans doute trop hermétique et peu éduquée à la pensée de Confucius et à la conception de vérité et d'illusions véhiculée par ce beau et court roman.

Un homme d’affaires en déplacement en Chine rencontre Mme Ming, la dame pipi de l’hôtel dans lequel il travaille. Cette dernière lui raconte l’histoire de ses 10 enfants au fil de leurs entrevues aux toilettes du sous sol.

Comment se fait-il qu’elle puisse avoir autant d’enfants dans un pays qui mène la politique de l’enfant unique ?

Je n’ai pas bien compris où nous menait l’auteur. L’histoire est loin d’être extraordinaire, et je n’ai pas su trouver la réflexion que le lecteur était peut-être amené à avoir...

L’auteur, comme pour les autres tomes, nous plonge dans un conte philosophique avec une thématique centrale qu’il va explorer tout au long du récit. Je vais donc faire court pour vous plonger dans le décor : un homme rencontre une dame d’un certain âge qui lui parle des nombreux enfants qu’elle a eus. Toute l’intrigue va se jouer autour de cette femme et des histoires qu’elle raconte.

Même si le roman est court, j’ai eu le temps de changer 15 fois d’avis sur le fait que cette femme affabulait ou non. Si l’on présente cet aspect comme central, on termine le livre avec l’impression que le sujet était en réalité plus vaste et qu’il s’appliquait à plusieurs personnages. Le mensonge est-il un bien ou un mal ? Peut-on mentir aux autres et à soi-même pour une juste cause ?

Je n’ai pas accroché rapidement aux deux personnages. Mais j’ai refermé le livre avec une certaine émotion grâce à l’intervention d’un troisième intervenant, amenant une conclusion à la question que l’on se pose depuis le début du récit. Et, force est de constater que c’est assez touchant : on remet tout le récit en perspective de cette nouvelle donnée.

Si Mme Ming aura su me toucher, je garde une pointe de colère envers le personnage masculin et le traitement abjecte qu’il a infligé à une jeune femme. Je n’ai pas réussi à dépasser ça pour l’apprécier et ce sera peut-être mon seul bémol.

Pas de surprise donc puisque j’ai bien aimé ma lecture. Et, même s’il ne fera pas partie de mes préférés de la série (la palme revient pour le moment à Monsieur Ibrahim et Oscar), j’en garderai un bon souvenir.

Je reviendrais rapidement vous parler des deux derniers tomes de cette belle série.

Récit tout à fait attrayant qu on ne peut quitter avant d être arrivé à la dernière page car on se laisse prendre par la principale énigme concernant l existence des enfants de madame Ming. Faut dire que l ouvrage se lit très rapidement en raison, d une part, de la minceur du volume ainsi que la légèreté de son écriture. Débordante de sagesse, cette histoire mène à de multiples pistes de réflexion sur le sens de la vie. Je crois qu il s agit d une lecture pouvant convenir à des adolescents, ce qui constituerait ainsi une introduction à la philosophie.

Un petit conte de sagesse et de poésie, très joliment écrit qui nous amène à nous questionner sur le sens de la Vérité et le sens de la vie. J'ai beaucoup aimé le personnage de Mme Ming, très touchante !