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Mon premier livre du Cercle de l'invisible et aussi mon premier E-E.Schmitt. J'ai beaucoup aimé. Dans la Chine actuelle et sa règle de l'enfant unique, une femme parle de ses 10 enfants à inconnu qui la considère dans un premier temps comme une mythomane.

C'est une belle histoire, écrite simplement. Elle se lit très vite.

C'est l'histoire de l'amour d'une mère pour ses enfants Spoiler(cliquez pour révéler)(celle qu'elle a eu et ceux qu'elle n'a pas eu mais qu'elle aime presque autant), la fierté et les soucis que sa progéniture a engendré, ce qu'une fille est capable de faire par amour pour sa mère. C'est aussi l'histoire d'un homme qui ne peut s'attacher et fonder une famille mais qui, a chaque fois qu'il est en contact avec Mme Ming le regrette.

J'ai beaucoup aimé et en tant que maman, ce livre m'a touché.

Encore un très bon roman de cet auteur. Roman que j'ai adoré, de temps par sa culture chinoise que par ses citations.

Une très jolie histoire entre Madame Ming et cet homme d'affaire, de très beau discours.

Eric-Emmanuel Schmitt reste pour moi une valeur sûre !

Morale voire pensée philosophique ,et traditions vont être présentes lors d'un conversation atypique ,entre deux protagonistes, au sujet d'enfants imaginaires.

Voici le troisième roman du Cycle de l'Invisible que je lis et j'ai plutôt apprécié. Certes, moins que L'Enfant de Noé ou Oscar et la dame Rose, mais apprécié quand même. Cette histoire, même si Mme Ming est joyeuse, est au fond assez triste : face à la loi de l'enfant unique, une mère s'invente une famille nombreuse de dix enfants (seule Ting Ting est réelle) au point de mêler fiction et réalité.

Le personnage de Mme Ming est vraiment attachant et offre une vision de la vie positive, avec tous ses dictons (je les ai adorés !). Elle permet au narrateur de se remettre lui-même en question quant à la famille, chose qu'il fuit avec son travail.

Conte philosophique, Madame Ming parle de ses 10 enfants alors qu'en Chine c'est impossible, la dame pipi raconte à un inconnue l'histoire de ses enfants.

Très belle histoire, on se laisse transporter par ce merveilleux livre tel un conte des mille et une nuits.

Un jolie conte philosophique qui se lit facilement, même à relire pour bien saisir la philosophie de vie de Madame Ming.

Madame Ming est LA "dame pipi" d'un grand hôtel de la province de Guangdong, une fonction qu'elle exerce dignement avec une "prestance altière". Homme d'affaires, le narrateur est amené à séjourner dans cet hôtel où, naturellement, il fait la connaissance de Madame Ming. Lui, qui dit avoir deux enfants, a bien du mal à croire que son interlocutrice ait, comme elle le prétend, dix enfants sachant que l'Etat chinois interdit aux couples la possibilité d'avoir plus d'un enfant.

S'instaure alors, entre ce Français et cette Chinoise, un échange sur la vie en général mais surtout sur ces dix enfants exceptionnels dont Madame Ming dresse le portrait ou vante les mérites...

Ce livre est le sixième du "Cycle de l'Invisible". C'est un voyage en Chine que nous propose l'auteur, une Chine mystérieuse qui intrigue et qui fascine... Et c'est à travers le portrait des "Dix enfants que Madame Ming n'a jamais eus" qu'il traite de sujets et thèmes tels la politique de l'enfant unique, les conditions de travail, le sexisme de la société chinoise, la Révolution Culturelle, le communisme, la Doctrine de Confucius...

Audace, imagination, mythomanie... l'auteur met à l'honneur le mensonge et l'imagination fertile. Il choisit pour cela une protagoniste attachante et simple qui inspire la confiance et le respect. On aime l'écouter parler de son pays passé et présent, nous faire une douce morale pleine de sagesse... on aime l'entendre nous rappeler aussi que chaque être a le droit de s'autoriser à souffrir de manquer de quelque chose, s'autoriser à pleurer...

Cette lecture, comme de nombreuses autres d'Eric-Emmanuel Schmitt,est agréable à découvrir, l'auteur n'ayant rien perdu de son talent de narrateur, mais je lui ai préféré "Les deux Messieurs de Bruxelles, "Oscar et la Dame en Rose" ou "Monsieur Ibrahim et les Fleurs du Coran"... le sujet peut-être ou bien un petit manque de ce sel qui venait relever les autres récits...

Gros coup de cœur!! A découvrir de suite!!

Voir ma chronique sur http://lenotebookdegwen.blogspot.fr/2015/09/les-dix-enfants-que-mme-ming-na-jamais.html

Une petite histoire toute simple, mais combien sympathique! L'auteur joue un peu avec nous et on ne sait jamais jusqu'avant la fin si madame Ming a effectivement 10 enfants. Mignon comme tout et empreint de belles réflexions.

Récit d'une femme qui dans le société qui prône l'enfant unique ce construit, a une famille de dix enfants. Elle se raconte tout en délicatesse a un étranger qui par son récit trouvera son chemin sans le savoir.