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Liste des extraits

- Pourquoi es tu si petit?

- Je ne suis pas petit. Je suis agréablement compact.

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- Non... ce doit être un cauchemar.

- La plupart des femmes considèreraient que je suis plutôt un rêve devenu réalité.

- Alors pourquoi n'allez-vous pas rôder dans leurs jardins ?

- Parc que c'est toi que je veux.

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La tête rejetée en arrière, Char partit d’un grand éclat de rire.

— Je croyais qu’il avait perdu l’esprit. Maintenant je commence à comprendre sa fascination.

Ses yeux gris s’assombrirent jusqu’à ressembler à de la fumée alors qu’il les faisait glisser sur son corps, examinant avec insistance sa chemise de nuit trop courte.

Tayla poussa un soupir résigné. Les dragons avaient-ils pour règle de flirter avec toutes les femmes qui croisaient leur chemin ?

— Non, vous aviez raison la première fois, dit-elle d’un ton pince-sans-rire. Il a perdu l’esprit.

Le sourire de Char s’élargit et ses narines se dilatèrent comme s’il humait son parfum.

— Vous êtes différente.

Tayla recula d’un pas.

— Non, je ne suis qu’une simple sidhe. (Elle haussa les épaules.) À moins que vous ne fassiez allusion à mes talents de pâtissière. Je dois reconnaître que mes scones sont extraordinaires. Vous devriez passer à mon salon de thé pour les goûter.

— Hmm. (Il attarda le regard sur sa bouche.) Je me demande quelle saveur vous avez.

Saveur ? Ce terme ne pouvait rien augurer de bon. Tayla déglutit, chassant la boule qui menaçait de l’étouffer.

— Ce n’est pas poli de manger ses invités.

Il s’avança vers elle.

— Même pas du bout des lèvres ?

— Non.

— Je vous promets que ça vous plaira.

Elle voulait bien le croire. Si elle l’avait rencontré avant Baine.

Mais désormais…

Presque comme si penser au dragon l’avait fait apparaître, une explosion de pouvoir secoua le sol.

— Un pas de plus, Char, et je t’écorche vif pour te transformer en canapé, promit une voix tonitruante.

Ils se retournèrent tous deux pour découvrir Baine qui se tenait sur le pas de la porte de la chaumière.

Avec une nonchalance étonnante étant donné qu’un feu ambré couvait dans les iris de Baine et que ses tatouages lui tournoyaient sur la peau avec une rapidité vertigineuse, Char jeta un coup d’œil à Tayla.

— Pas la peine d’être égoïste, protesta l’hybride. C’est un morceau de choix, mais il y en a bien assez pour deux.

Avec raideur Baine marcha droit sur lui, et l’air crépita sous l’effet d’une chaleur qui aurait consumé Tayla si elle avait été humaine.

— Quand as-tu développé des envies suicidaires ?

Char tint bon.

— À peu près au même moment où tu as développé une obsession des sidhes.

Avec une rapidité fulgurante, Baine tendit le bras et enroula les doigts autour de la gorge de Char. Puis, manifestant une force terrifiante, il le souleva de terre.

— Elle m’appartient, murmura-t-il.

Le visage de l’hybride rougit alors que Baine l’étranglait, mais celui-ci semblait étrangement satisfait par la réaction violente de son maître.

Était-il cinglé ?

— Pigé.

— Dis-le, insista Baine.

— Elle t’appartient, Monsieur.

— Foutaises, grommela abruptement Tayla.

Les deux hommes échangèrent des regards interloqués, comme étonnés de sa présence. Puis Baine esquissa un sourire amusé.

— Foutaises ? demanda-t-il, reposant son ami au sol.

— Je suis peut-être temporairement obligée de payer pour les dettes de mon père, mais je n’appartiens à personne, l’informa-t-elle.

— Elle va avoir besoin d’être dressée, fit remarquer Char, massant délicatement les brûlures sur son cou qui guérissaient rapidement.

— Exact, convint Baine. Je crois que je suis prêt à m’en charger.

Les yeux plissés, Tayla pointa un index vers le dragon exaspérant.

— Votre ami n’est pas le seul à avoir des envies suicidaires, l’avertit-elle.

Char rit doucement.

— Elle est toujours grognon au saut du lit ?

Tayla sentit une chaleur l’envelopper quand Baine s’avança vers elle, ses traits séduisants contractés par un appétit à peine bridé.

— Je suppose que je ne vais pas tarder à le découvrir.

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«-Pff!(Les ailes de Levet tremblèrent d'indignation.) Cupidon est un impotent.

-Un impotent?(Elle lutta pour déchiffrer le langage-à-la-Levet.) Tu veux dire un imposteur?

-Oui. Quel genre de spécialiste de l'amour transpercerait ses victimes... euh, pardon, ses clients... d'une flèche?»

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– Vous vous êtes introduit sur une propriété privée, dit-elle, fière que ses mots ne sortent pas sous la forme d’un cri terrifié. Montrez-vous.

Quelqu’un, ou quelque chose, fit claquer sa langue bruyamment.

– Tu oses tenter de me donner des ordres N Tu n’as certainement pas oublié les modalités de notre relation, n’est-ce pas, sidhe ? Je suis le maître, et tu es mon esclave

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Tayla se figea. Merde. Pourquoi n'avait elle pas apporté une lampe de poche? Ou un lance flammes. Voire une petite bombe nucléaire.

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Un passage qui m’a fait bien rire entre le puissant dragon et une gargouille, page 86:

« Sa véhémente défense de la gargouille n’apaise en rien la contrariété de Baine, qui continua à foudroyer Levet du regard.

-Pourquoi es-tu si petit?

Levet enroula la queue autour de ses pieds griffus qui pendaient au-dessus du sol.

-Je ne suis pas petit. Je suis agréablement compact. »

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Il resserra la main sur son visage.

— Tayla, regarde-moi.

C'était un ordre, pas une suggestion, et Tayla obéit avant d'avoir pu s'en empêcher.

— Quoi ?

Il baissa la tête jusqu'à ce que seuls deux centimètres les séparent, une petite volute de fumée s'élevant de son nez.

— Es-tu dans ce lit parce que tu me désires ou parce que tu t'es sentie obligée ?

— Baine...

— Réponds à la question, commanda-t-il d'une voix rageuse. Pourquoi es-tu dans mon lit ?

Mince, elle ne voulait pas lui résister. Du moins, son corps ne le voulait pas.

Mais elle ne parvint pas à prononcer les mots. Elle secoua alors la tête.

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- Une jeune fae à Londres attend d’être secourue. Mes jours de C.F.D. ne sont pas encore finis. (Levant le bras, Levet saisit la main de Tayla et y déposa un baiser furtif.) Au revoir, ma belle*.

Avant que Tayla ait pu lui demander des précisions, Levet battait ses ailes de fée et se dirigeait vers le ciel émaillé d’étoiles.

— C.F.D. ? s’enquit Baine alors que la gargouille disparaissait rapidement à la vue.

— Chevalier sur son Fier Destrier, expliqua-t-elle avec un petit sourire.

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Être si près de Baine, c'était comme se trouver à côté d'un volcan prêt à entrer en éruption à tout moment. Un volcan très sexy, chuchota une voix dans sa tête

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