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Affligée d’un père farfelu qui s’est mis à dos tout le comté, lady Roberta se désole de rester vieille fille. Après un énième esclandre, elle décide que la coupe est pleine et débarque du jour au lendemain chez sa cousine, l’excentrique duchesse de Beaumont. Entre deux scènes de ménage, celle-ci l’accueille à bras ouverts et promet de lui trouver un beau parti en quelques semaines. Or Roberta a déjà fixé son choix sur l’arrogant duc de Villiers, qui l’a subjuguée d’un regard et qu’elle entend épouser coûte que coûte. N’en déplaise au comte de Gryffyn, le frère de la duchesse, qui voudrait lui faire croire que l’élu de son cœur est un rustre doublé d’un suborneur. Par dépit, sans doute…
« Le doute qui l’habitait confusément quant aux motivations de la duchesse refusait de s’éteindre. N’était-il pas étrange qu’elle l’ait invité dès son retour en Angleterre ?
Impossible qu’il s’agisse d’une manœuvre derrière laquelle se cacherait Beaumont. Il songea au regard furieux et froid de son ancien ami : non, la duchesse n’avait pas prévenu son époux de sa présence au bal, ni du défi qu’elle comptait lui lancer.
Alors, c’était sûrement la passion des échecs qui l’animait.
Ou bien cherchait-elle à l’humilier ? S’imaginait-elle pouvoir le battre, lui, le meilleur joueur d’Angleterre, en biaisant la partie par des questions provocantes au moment propice ?
Un sursaut de rage pure l’ébranla. Au diable les petits manèges de la duchesse ! Avait-il jamais résisté au désir ? Oui, évidemment. Et il lui résisterait, à elle aussi.
Aucune femme ne le piégerait, ni par sa beauté ni par son talent aux échecs.
En fait…
Un sourire matois se dessina sur son visage.
Le temps était venu qu’il se marie. Le tue-l’amour ultime, à ses yeux. L’idée que Jemma le découvre occupé à organiser son mariage alors qu’il venait de lui proposer de partager sa couche lui plaisait. Voilà qui empêcherait Sa Grâce de trop savourer son petit succès.
Lu il y’a quelques années je me replonge dans cet univers car je n’avais pas laissé de commentaire.
Que dire, j’avais souvenirs d’avoir apprécié la saga sans pour autant m’en souvenir.
On débarque dans une famille pour le moins excentrique. Quand bien même le père de madame soit porté sur les émotions, ce qui la dérange, finalement madame aussi.
Après son arrivée à Londres pour dénicher le mari, on tombe sur une multitude de personnage et une multitude de points de vue.
Intéressant mais il faut tenir la barre et j’ai souvent trouvé que ça tournait autour des personnages et non pas autour des héros (Villiers, Roberta et Gryffin). J’ai trouvé le personnage de Roberta un peu terne par rapport à la sulfureuse Jemma, et toutes ces relations les uns les autres ne nous font pas nous attacher à l’héroïne je trouve. Même Gryffin que je n’ai commencé à réellement apprécier que peu de temps avant le duel c’est peu dire.
Je me rend compte que c’est parce qu’en fait les personnage de ce roman ne sont que très peu développer et on dirait enfait l’ouverture des prochains.
Ce 1er tome est la mise en place de personnages que nous allons rencontrer dans les prochains tomes de la sérié. Il est vrai que l'on parle beaucoup du duc de Villiers (qui apparaîtra dans le tome 6), du couple Beaumont et Jemma (qui seront les héros du tome 5) et ce, pour la moitié du livre.Je suppose que cela aidera à la compréhension des tomes suivantes.
Il est quand même dommage que l'histoire de Roberta et Damon ne soit pas plus développée. Mais peut-être que nous les retrouverons dans la suite de cette série.
Mais comme d'habitude, l'écriture d'Eloisa James est agréable,facile à lire.
Les personnages m'ont bien fait rire au début, ça change des romances historiques habituelles. Pour une fois, j'ai sincèrement apprécié la plupart des personnages secondaires qui apportent tous quelque chose à l'histoire, même si ma préférence va au père de Roberta qui s'avère être pire qu'une drama Queen et Damon qui semble tout prendre comme un jeu.
Un moment agréable qui m'a donné envie de lire la suite !
J'ai trouvé que le début trainait un peu en longueur. Toutefois j'ai beaucoup aimé cette histoire qui se finit heureusement comme je l'espérais. On a l'impression que touts les œuvres de ce genre se suivent et se ressemblent. Cependant je me suis laissée transporter dans l'univers d'Eloïse James. Une lecture que je conseille à ceux qui aime le genre.
J'ai beaucoup aimé découvrir l'univers des "Duchesses" avec lady Roberta et ses tentatives de mettre le grapin sur le duc de Villiers. C'était plus plaisant à lire, on passe un bon moment.
Un très bon premier tome qui promet une excellente saga.
On s'attache très vite aux personnages.
Si l'intrigue du roman semble commune, le fil conducteur de la saga, lui, est passionnant. Nul doute que je lirai la suite.
Deux points négatifs cependant : le récit est malheureusement assez prévisible et Roberta est assez énervante pendant une partie du roman (heureusement qu'elle évolue !).
Je me suis beaucoup amusée avec cette lecture. C'est le 1er roman de cet auteur que je lis et je ne suis pas déçue. J'ai beaucoup souri, les personnages sont assez farfelus, et l'histoire n'est pas concentrée sur un couple, ce qui promet de belles suites à cette histoire.
Thèmes : romance historique, fin du XVIIIème, jeu d’échec, aristocratie, Angleterre, passion,
Avis :
Une très belle histoire de la fin du XVIIIème siècle en Angleterre.
Roberta, fille du marquis fou, souffre d’une mauvaise réputation à cause de l’image véhiculée par les médias sur son absence de mari. Qu’importe, après une fête plutôt décevante, elle décide qu’elle épousera le duc de Villiers, un homme élégant et très en vogue dans la haute société. Roberta demande de l’aide à sa cousine Jemma, la duchesse de Beaumont. Ce qu’elle n’a pas prévu en revanche, ce sont les avances du comte de Gryffyn, le frère de Jemma.
Les personnages de l’œuvre sont pour la plupart intéressants et promis à une belle évolution. Seul Roberta (pourtant l’héroïne) n’est pas très sympathique… elle est naïve et prend ses rêves pour la réalité. Difficile en effet de l’accompagner dans son désir d’épouser Villiers, alors qu’elle n’a fait que lui foncer dessus dans un couloir !
J’ai beaucoup aimé Damon, alias le comte de Gryffyn, qui est patient et dévoué. Jemma aussi mérite un coup de cœur, son histoire m’a mis les larmes aux yeux et j’ai hâte de lire le tome 5 qui lui est dédié. Quant à Villiers… j’adore ce personnage ! Il est très tranché : libertin, riche, élégant, gâté… Il a tout de l’anti-héro idéal, et ce genre de prise de position de l’auteur fait souvent mouche, et ici, c’est une réussite.
Côté plume, c’est magique. Aucune scène en trop, aucune en moins, la perfection incarné. L’auteure sait nous tenir en haleine, et, malgré le peu « d’action » à proprement parler (car la romance est le thème principal) l’histoire reste palpitante. Le seul défaut que j’ai remarqué : certains mots reviennent trop souvent à mon goût.
Si l’entrée dans l’univers est au début assez brusque, on ne peut qu’admirer le génie avec lequel Mme James a introduit ses futurs livres, et ses futurs personnages. Je n’avais encore jamais lu de romance historique avec un fond aussi complet, et aussi historiquement juste et impliqué. La mode de l’époque est bien présente (robes à paniers, postiches, coiffures immenses…) c’est un vrai régal. Toutes ces précisions historiques auraient pu nous empêcher de nous attacher aux personnages, ce qui n’est heureusement pas le cas : Éloisa James sait nous faire saliver.
Malheureusement, j’ai été très déçue par l’image des français dans cet œuvre… Elle n’est pas très glorifiante !
Donc pour résumer:
Les points positifs
-Très belle immersion dans l’histoire
-Excellent background
-Histoire palpitante
-Personnages intéressants
-Représentatif de la société anglaise du XVIIIème siècle
Résumé
Affligée d’un père farfelu qui s’est mis à dos tout le comté, lady Roberta se désole de rester vieille fille. Après un énième esclandre, elle décide que la coupe est pleine et débarque du jour au lendemain chez sa cousine, l’excentrique duchesse de Beaumont. Entre deux scènes de ménage, celle-ci l’accueille à bras ouverts et promet de lui trouver un beau parti en quelques semaines. Or Roberta a déjà fixé son choix sur l’arrogant duc de Villiers, qui l’a subjuguée d’un regard et qu’elle entend épouser coûte que coûte. N’en déplaise au comte de Gryffyn, le frère de la duchesse, qui voudrait lui faire croire que l’élu de son cœur est un rustre doublé d’un suborneur. Par dépit, sans doute…
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