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Ayla et Jondalar poursuivent leur chevauchée à travers les steppes immenses du continent européen de l'ère glaciaire. Ils suscitent le trouble et l'effroi sur leur passage car les peuples qu'ils rencontrent vivent de chasse, de cueillette, et n'ont jamais vu d'animaux domestiques. Or ce couple étrange se déplace à cheval en compagnie d'un loup apprivoisé! La jeune femme semble en outre, avoir des talents de guérisseuses et sait parler aux animaux. L'homme, lui sait confectionner de merveilleux outils dans la pierre et dispose d'un instrument - le propulseur - qui lui permet de lancer son épieu à de grandes distances.D'où tiennent-ils leurs pouvoirs, sinon de divinités puissantes ? Au cours de ce grand voyage, Ayla et Jondalar vont cependant affronter des ennemis impitoyables et de multiples dangers dans un monde inconnu, terrible et grandiose.
Ils ne doutaient pas que dès que le couple de cavaliers aurait disparu, ils reprendraient la forme de la Grande Terre Mère et de son Compagnon Céleste, et qu'ils rejoindraient les cieux en chevauchant le vent, suivis par leur fidèle protecteur, l'Etoile du Loup.
J'ai adoré la partie chez les S'Armunaï qui pimente un peu la routine de leur voyage. J'ai beaucoup aimé cette première partie où les deux compagnons et leurs animaux se rapprochent et s'unissent pour trouver un foyer !
Une lecture plutôt répétitive, que ce soit dans les longues descriptions environnementales ou les dialogues (et les ébats...) des personnages principaux. Malgré cela, une fois la première partie passée, l'histoire a regagné mon intérêt avec l'introduction d'un clan disfonctionnel et la fin du long Voyage des amoureux (et de leurs fidèles compagnons à quatre pattes).
Un plaisir de retrouver Ayla et Jondalar mais il y a de trop grandes descriptions sur la faune et la flore, on apprend sur les conditions de vie pendant la préhistoire
Je m'obstine à continuer cette saga mais là, je jette l'éponge.
J'ai cette sensation que la narration est de plus en plus pauvre en plus d'être répétitive. Sans parler des scènes de sexe toutes les 20 pages.
Le même schéma qui revient encore et toujours au fil des tomes.
C'est de moins en moins intéressant. Plus de 250 pages de descriptions de paysages... sérieusement ?
Les personnages lassant, Ayla est tellement décrite de manière parfaite... elle est la plus belle, elle sait tout, sait tout faire, que ça en devient ridicule.
Si je sentais déjà, au tome précèdent, un certain essoufflement dans mon plaisir de suivre cette histoire, c'est devenu une évidence avec ce 4e volume. C'est long, mais long... Tant de passages où il ne se passe rien...
Et entre Jondalar, qui m'est de plus en plus insupportable dans son égoïsme, et les scènes de fesses à tire-larigot, je ne prends plus aucun plaisir à suivre cette aventure.
Et bien pour un grand voyage c'est effectivement un grand voyage, c'est dingue le trajet que Ayla et Jondalar parcours durant ce tome.
J'ai beaucoup aimé le passage avec le camp des trois sœurs avec Attaroa et ses louves, ça change beaucoup de tomber sur une tribut hostile car depuis le début de l'histoire quoi qu'il arrive on retrouve toujours des personnes relativement amicale dans l'ensemble alors c'est très rafraîchissant et ça pimente l'aventure.
La seule chose qui me dérange dans ce livre ou même cette série en général c'est les trop nombreuses répétitions, le livre fait dans les 900 pages mais si on enlevait toutes les répétitions et flash back on pourrait réduire le livre d'au moins 1/4, je trouve que cela gâche un peu la dynamique du récit.
Quoiqu'il en soit j'ai beaucoup apprécié ce nouveau tome, bien plus que le précédent et j'ai hâte de continuer l'aventure.
Telle un onagre têtu, je poursuis mon périple auprès de Jondalar et d'Ayla, les Enfants de la Terre, dans ce quatrième tome, le Grand Voyage, où ils se dirigent tous deux vers l'ouest afin de rejoindre le peuple du premier. Un itinéraire long de plusieurs milliers de kilomètres et de presque un an.
Le tome précédent m'avait nettement refroidie alors que la saga s'annonçait sous les meilleurs auspices. Souvenez-vous, dans les Chasseurs de Mammouths, les deux personnages, niais au possible, passaient leur temps à se lamenter sur leur histoire d'amour. Dans ce quatrième tome, ils ont dépassé ce stade, la Grande Mère en soit louée ! et leurs préoccupations sont toutes autres. Il leur faut en effet survivre durant une odyssée particulièrement éprouvante.
J'ai trouvé ce roman immersif, quoique mes misérables connaissances en géographie m'aient empêchée de comprendre toujours parfaitement les détails des descriptions faites par l'auteur (qui auraient sans doute gagné à être allégées). Il y avait cependant du charme à se trouver plongée dans une nature disparue, auprès de personnages qui en savouraient autant qu'ils en subissaient les rigueurs et les beautés. Une nostalgie à se dire que, non, nous ne pourrons jamais, nous autres humains du 21ème siècle, vivre à ce point dans cette intimité sensuelle avec notre environnement. Les scènes de sexe que je trouvais répétitives et assommantes dans le tome 3 y gagnaient en sens (pas toutes quand même et je ne peux m'empêcher de vous délivrer cette perle, attention prenez une inspiration : "Soudain, il cria son nom, elle se pressa contre lui, et une immense explosion les submergea, tel le soleil qui inonde la vallée de ses derniers rayons dorés avant de plonger derrière les nuages noirs qui rehaussent l'or incandescent de sa lumière céleste.")
Beaucoup de scènes restent cependant très caricaturales, notamment lorsque nos héros, deux Candides avant l'heure, découvrent que le mal existe dans l'être humain en la personne d'Attaroa, une chef de clan S'Armunai. A noter que l'auteur justifie sa cruauté par la folie induite par les traumatismes subis dans son passé : c'est tellement plus facile ! Bref, peu de finesse psychologique. En contrepoint, Ayla reste quant à elle l'héroïne accomplie et au grand coeur du tome 3 et manque de peu, au vu des miracles qu'elle fait devant tout le monde, être assimilée par les gens qu'elle rencontre à la Grande Mère elle-même.
Ceux qui ont adoré comme moi le Clan ou Têtes Plates du premier tome (les Néenderthal) auront le bonheur hélas trop bref d'en rencontrer à nouveau quelques représentants dans ce tome
Ce tome nous apprend beaucoup de choses sur la façon dont vivaient les hommes à la Préhistoire (ou en tous cas sur la façon dont on pense qu'ils vivaient), mais j'ai trouvé certains passages trop lents.
Ce n'est pas le tome qui m'a le plus marqué, je me souviens de longues descriptions au cours de ce voyage. Mais j'ai beaucoup aimé la plume de l'auteur et je me suis ruée sur le suivant !
Jondalar a décidé de retourner vivre parmi les siens, au delà des glaciers, et pour ce faire, il faudra accomplir un long voyage, accompagné d'Ayla, la femme qu'il aime, de Loup et de deux chevaux qu'elle a apprivoisé.
L'auteure étant préhistorienne, nous fait découvrir à travers son ouvrage toutes ses connaissances et on peut dire qu'elles sont nombreuses, la façon dont vivait les clans, leurs chasses et la construction de leurs armes, leurs habitats qui diffèrent selon les régions et si ils sont nomades ou pas, mais aussi la faune et la flore qu'ils croisent en chemin, elle nous parle des nombreuses espèces rencontrées et sa connaissance des plantes et leurs propriétés curatives est assez impressionnante.
Si le récit possède toujours ses longueurs il reste éducatif et la suite sera prévue mais peut être pas pour tout de suite.
Résumé
Ayla et Jondalar poursuivent leur chevauchée à travers les steppes immenses du continent européen de l'ère glaciaire. Ils suscitent le trouble et l'effroi sur leur passage car les peuples qu'ils rencontrent vivent de chasse, de cueillette, et n'ont jamais vu d'animaux domestiques. Or ce couple étrange se déplace à cheval en compagnie d'un loup apprivoisé! La jeune femme semble en outre, avoir des talents de guérisseuses et sait parler aux animaux. L'homme, lui sait confectionner de merveilleux outils dans la pierre et dispose d'un instrument - le propulseur - qui lui permet de lancer son épieu à de grandes distances.D'où tiennent-ils leurs pouvoirs, sinon de divinités puissantes ? Au cours de ce grand voyage, Ayla et Jondalar vont cependant affronter des ennemis impitoyables et de multiples dangers dans un monde inconnu, terrible et grandiose.
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