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Les Enfants du silence



Description ajoutée par Gkone 2017-01-27T17:49:21+01:00

Résumé

Les Enfants du Silence

Tan Hagmann

Roman de 445 000 caractères, 75 800 mots.

— Mais tu es sûr de le pouvoir ? De pouvoir t’occuper d’un enfant ?

— J’en suis absolument certain ! lui certifia Kristian. Du moins si, toi, tu es toujours prêt à t’occuper de moi...

Il sentit Déa se crisper, et ses muscles, sous sa peau, jouer avec nervosité. Kristian se retourna pour l’embrasser mais Andréa l’esquiva. C’était pour ce dernier très clair, il n’était pas question que qui que ce fût vînt lui disputer l’amour de sa muse !

Après Bi Live in Me et La Couleur de l’Enfer, Tan Hagmann nous livre, avec Les Enfants du Silence, le dernier volet de sa trilogie musicale. À l’heure où la question de l’homoparentalité reste un sujet controversé, une belle histoire, pas si tendre, d’amour fou et de compromis.

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Classement en biblio - 14 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par Lektriss 2017-03-26T23:20:27+02:00

Toute cette affaire prenait une tournure ridicule. D’un romantisme et d’un optimisme navrants ! Que voulait faire Kristian ? Jouer au gentil petit couple, gay et pères de famille, et discuter biberons et couches avec d’autres mères promenant au parc leur enfant ? C’était grotesque !

D’un geste nerveux, il prit sur la table son paquet de Lucky, constata qu’il était vide, et aussitôt se pencha sur le côté du lit pour sortir de la poche de sa veste roulée en tas sur le tapis un nouveau paquet.

Kristian le regarda replier méticuleusement le papier alu entourant ses cigarettes et le glisser à l’intérieur de l’ancien carton. Il avait beau détester dans sa chambre les odeurs de tabac, tous les gestes de Déa le fascinaient.

— Tu m’aimes ?

Andréa soupira. Fallait-il que Kri fût au bord du gouffre pour lui poser pareille question ! Il tira de sa cigarette une apaisante bouffée, se rappelant sa promesse de ne plus jamais le laisser. Quoi qu’il arrivât.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par lilylelfe 2017-04-29T12:59:09+02:00
Or

Attention ! Ce roman étant le dernier tome de la trilogie démarrée par « Bi Live in Me » et suivie de « La Couleur de l’Enfer », cette chronique peut comporter des spoilers pour les tomes précédents !

Tout d’abord, je voudrais infiniment remercier Tan pour sa gentillesse et ce service-presse que j’ai eu la chance d’avoir en avant-première. Et quel plaisir de n’avoir pas eu à attendre pour découvrir la suite et fin des aventures de mes deux têtes à claques favorites et d’avoir eu le privilège unique de pouvoir savourer ce tome avant même sa sortie. Mille mercis à toi, Tan !

Je ne sais pas comment démarrer cette chronique, encore la tête perdue dans les derniers mots si musicaux de Tan, parce que franchement… franchement… Bon, si, je sais quoi dire en tout premier lieu ! J’ai eu des envies de mettre des baffes à nos deux héros tout du long ! Ô combien !! Dans ce tome tellement riche en retournements de situations qu’on finirait presque par en devenir chèvre, je me suis nettement rapprochée de Hans, le cousin de Kristian, avec lequel je n’ai pu que compatir… Lui qui adore Kri a dû passer ce tome, comme moi, à s’arracher tous les cheveux de la tête pour tenter de canaliser nos deux autistes préférés, qui semblent partir en vrille dans tous les sens. Mais alors, littéralement tous les sens !!

Etonnamment, pour moi, (et ceux qui l’ont lu me diront sans doute que j’ai pété une durite, mais je vais m’expliquer…) ce tome possède une véritable légèreté, presque un souffle joyeux. En tous cas, par rapport aux deux précédents. Alors, vu les évènements de ce volume, en effet, on pourrait me regarder comme une démente ayant définitivement plongée dans la folie, mais ce sentiment, en fait, est tout explicable. « La Couleur de l’Enfer » portait bien son nom, et en effet, ce second opus avait, comme je l’ai dit dans ma chronique le concernant, une saveur de fin du monde. D’hiver, froid, d’espoir envolé, d’obscurité inaltérable ou presque. Or, quand on a plongé au fin fond de l’enfer, on ne peut, ma foi, plus aller plus bas. Comme une note printanière (et je ne prononce pas le mot note à la légère, comme vous le verrez après), la fin de cet opus a ramené avec elle les premiers présages d’un printemps à venir. Le printemps, saison complexe, saison des amours, certes, mais aussi époque agitée de l’année, où l’on essuie aussi bien des torrents de grêle dévastatrice que les rayons lumineux d’un soleil retrouvé. Pour moi, « Les Enfants du Silence » avait un goût de printemps.

Ce n’est pas seulement les évènements agités de ce tome, les situations passant du plus rayonnant soleil à une brusque averse s’abattant sur les héros sans avertissement préalable qui me fait faire ce parallèle. Tout, en fait, dans cet opus, me fait penser au printemps. Le chant d’amour éperdu de Déa qui, en « mâle » de Kri, se déchaine complètement dans ce tome. Violence et tendresse, sur un fond sonore qui berce chaque instant de ce volume, lancinant et émouvant son du jazz qui berce cette trilogie et que, page après page, je n’ai plus réussi à me sortir des oreilles. Une musique de fond, qui vous colle à la peau, qui refuse de quitter votre tête, poignante et bouleversante, qui vous donne la nostalgie ou l’envie soudaine de crier un bon coup… Musique du saxo d’Andréa, de son piano, musique des corps enivrés qui, telle une drogue, prend des allures d’obsession, au fil des pages… Musique vibrante, qui vous mène au bord du gouffre… ou aux prémices de la vie.

Très sincèrement, Tan m’a sidérée, avec ce tome ! Impossible de s’attendre au déroulement chaotique des évènements qui se déroulent sous nos yeux incrédules. Parfois, envie de secouer Kri et Déa, de leur demander de cesser derechef leurs conneries, parce que bon, ces deux anges déchus qui ne savent se dire et se comprendre, c’est sciant, pour les nerfs ! C’est vrai qu’à leur décharge, tous les deux n’ont pas été épargnés par la vie, et dans cet opus, d’ailleurs, on en parle beaucoup, de leur passé. C’est captivant… et terriblement bouleversant. Entre Kri qui, comme on le sait, a été traumatisé par sa « chère » mère, qui l’a traité en véritable poupée vivante, et ce qui s’esquisse, peu à peu, de la période que Déa a passée au pôle… Ces deux jeunes hommes, si intenses, si vibrants, si entiers, au fond, ont été tant et tant brisés par la vie qu’on se demande vraiment, jusqu’à la dernière page, si l’avenir peut réellement leur apporter autre chose que souffrance et désespoir…

Mais, reste cette lueur dansante même au plus profond de la nuit. Les yeux d’Andréa, si bleus, si clairs, fixés dans ceux, noir et intenses, de Kristian. Le son désemparé d’un saxo qui ne sait se taire, et exprime ce que son musicien tente, parfois, d’étouffer. La musique ne trompe pas. Et quand les mots ne parviennent plus à exprimer autre chose que colère et violence, elle continue à parler, à danser, fidèle et éternelle. On en voit de toutes les couleurs, dans ce tome, vraiment. Du rouge, du noir, du doré… Comme une peinture qui se dessine, qui ne cesse d’osciller entre clarté et ténèbres, laissant son peintre (au hasard, Eddi, que l’on redécouvre ici avec plaisir !) ébranlé et profondément troublé par cette toile qui se tisse presque contre son gré et qu’il a du mal à suivre… tout comme le lecteur, qui, parfois, a bien envie de se glisser dans le roman pour crier stop et obliger les deux anges déchus à faire preuve, pour une fois, d’un peu de bon sens !

Car oui, le monde de la peinture débarque dans ce tome ! Esquissé dans le volume précédent, voici qu’elle vient peupler cet opus de nouvelles couleurs, avec une dominante de… roux. Je n’en dis pas plus, mais je ne pouvais pas non plus rien en dire. Une nouvelle couleur qui se rajoute à la palette de Tan et nous fait vivre bien des émotions… et des surprises. Et quelles surprises ! En fait, j’ai passé mon temps sur le cul, avec « Les Enfants du Silence » ! Et pas parce que j’étais assise bien confortablement à lire, non… Parce que… eh bien, il faut le lire pour le croire et le comprendre, je crois ! Alors je n’ai qu’une seule chose à vous dire, dans l’instant… si vous n’avez pas lu cette série, c’est un vrai sacrilège ! Parce que si vous aimez les émotions fortes, les personnages cohérents à la psyché torturée, les histoires d’amour qui ressemblent à des batailles dignes de Game of Thrones, la descriptions apocalyptique de ces milieux artistiques et people qui ressemblent plus à des ruines fumantes couvertes de paillettes qu’à cet univers doré qu’on tente de nous montrer, si vous aimez la musique et la folie, alors, cette série est clairement pour vous !

Pour finir, j’ai envie de dire, redire, ou reredire que j’ai vraiment terriblement accroché avec les personnages décrits par Tan. En positif ou en négatif, d’ailleurs, parce que même les personnages « négatifs » sont surprenants et vraiment bien travaillés, Corinne Jorgensen, par exemple, qui donne envie tout du long de lui casser des briques sur la tête, Christophe et Diane de Royer, avec qui on ne sait sur quel pied danser (parce que visiblement, eux non plus !) Eddi, touchant mais vraiment désagréable, parfois… les musicos, qui forment un contraste flagrant et choquant avec le monde guindé et « classe » d’où provient Kri… Des touches de féminité agréables, touchantes ou émouvantes également, Gaëlle, puis Aude, et enfin Eve, et Hans, dans tout ça, qui est sans doute le personnage qui ressemble le plus au lecteur, avec son désir de voir son cousin enfin heureux et son agacement face aux tribulations de ce dernier et de son amant tant aimé… Et, bien sûr, Kri et Déa… J’en aurais parlé tant de fois, mais voyez-vous, je crois qu’on ne pourra jamais en dire assez sur ces deux-là… J’aime les romans où l’on s’attache aux personnages, mais là, ça dépasse le simple attachement. Ces personnages sont tellement réalistes et touchants qu’ils en deviennent réels. J’ai eu la sensation de les trainer partout avec moi, ces derniers jours, eux et leur vénusté à la hauteur de leurs dommages intérieurs… Envie de rire avec eux, de m’extasier avec eux, de pleurer avec eux… de les claquer, aussi, beaucoup, sur ce dernier tome qui est fait exprès, j’en suis sûre, pour faire souffrir le lecteur ! Kri et Déa, ce sont deux héros que je n’oublierai pas, je crois. Deux jeunes hommes complètement fous et intenses qui m’auront fait voyager bien loin… Et qui me manquent déjà !

Aurélie, pour La Livrothèque http://lalivrothequeblog.weebly.com/les-enfants-du-silence-par-tan-hagmann.html

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Commentaire ajouté par PlumKreole 2017-03-15T14:46:45+01:00
Argent

Si j’avais eu un véritable coup de cœur pour le tome 2 de cette trilogie, je dois dire que ce dernier volet, pour ma part est en deçà des deux autres ! Je suis ressorti de cette lecture avec un goût amer … un certain énervement, et une vague à l’âme saupoudrée d’une certaine mélancolie, et ce pour le personnage de Déa …

Si je suis une fan incontestable de la plume de l’auteure (je n’en ai encore vu aucune autre comme celle-ci, qui s’exprime comme si elle nous délivrait des morceaux de poésie), je dois dire que dans ce tome-ci, j’ai trouvé que certains sujets étaient mal exploités, que les personnages étaient trop complaisants, compatissants ! Je ne veux pas trop rentrer dans les détails, car je ne veux pas spolier l’histoire de ce couple et des intervenants qui gravitent autour, mais il y a des passages qui m’ont mis dans un état de nerfs maximum … où mon vécu m’a fait sortir de ma zone de confort, en me disant : « Non ! Comment Kri peut être à ce point imbu de lui-même et avoir cette réaction, ne penser qu’a lui, quand il connaît le vécu d’Andréa ??» …

Alors je sais que Kristian est un jeune homme tourmenté, fragile, que le sexe est pour lui comme un pansement, un besoin pour soulager ses tourments … Mais là NON !!! Je lui en ai voulu de tout imposer à Déa … Il a encore le malheur de ne pas comprendre ses réactions ! Sérieux ! Pour ma part, j’ai trouvé Andréa tellement trop conciliant !!! Alors oui, l’amour nous fait faire des choses insensées, nous fait parfois fermer les yeux sur les erreurs de l’être aimé ! Mais là comment est-ce possible ? Pour moi, c’était trop … J’aurais voulu que Déa se révolte plus …. Que Kri comprenne qu’il ne pouvait pas toujours autant tirer sur la corde … Oui dans ce troisième tome, j’ai eu mal au cœur pour Andréa et j’ai eu très envie de le secouer pour qu’il prenne le taureau par les cornes et bouscule un peu le jeune homme qu’il aime !

Avec ce titre, la romantique que je suis ne s’attendait pas du tout à ce final (j’avais imaginé tout autre chose) … Quand j’y réfléchis bien (avec le recul depuis la fin de ma lecture), au vu des autres tomes, et de leur relation particulière, effectivement cette fin est tout de même en adéquation avec la psychologie de leurs personnages. Malheureusement, la magie cette fois n’a pas opéré sur moi ! Ce qui ne m’empêche pas d’attendre impatiemment un nouveau roman de cette auteure à la plume que j’affectionne tout particulièrement … Affaire à suivre donc ;)

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Commentaire ajouté par Milletunepages 2017-03-03T09:54:59+01:00
Or

Si je devais décrire en quelques mots cette série, je dirais que Bi Live in me était les préliminaires, La couleur de l’enfer, une étreinte passionnée et sauvage et Les enfants du silence le temps de la maturité et d’un amour inconditionnel apaisé. Cet opus est l’étape nécessaire à la construction d’un avenir en commun. Il met un terme divinement bien à cette trilogie en nous livrant quelques drames et beaucoup de joie.

Tan Hagmann nous malmène en taraudant ses deux personnages, en nous faisant croire qu’ils ne vont pas dans la même direction, qu’ils hésitent de trop ou baissent les bras. Alors qu’en réalité, ils souhaitent, avant de se jeter à corps perdu dans cet amour parfois destructeur, mais instinctif, faire face à leurs peurs, les vaincre et se dévêtir de ces chaînes qui les empêchent d’avancer. Pour Andrea, l’heure de la vengeance a sonné ! Et pour Kristian, il n’est plus question de se perdre dans la douleur, il veut vivre avec Andrea et avoir cet enfant qu’il appelle tant. Leur relation est en dents de scie tantôt au zénith où plus rien n’existe à part eux, et tantôt dans le noir absolu. Mais l’amour entre Kristian et Andrea est si puissant que la voie de la réconciliation et de la raison est toujours la plus forte.

J’aime vraiment beaucoup la plume de Tan Hagmann, ce n’est pas un secret. Pourtant avec cet opus, elle a réussi à me la faire apprécier encore plus. Il y a une poésie dans ses mots, ses phrases, une musicalité et puis cette manière de nous parler du lâcher-prise avec réalisme. Je ne m’attendais pas à ce dénouement que je trouve un peu facile, mais ces deux personnages en ont vraiment bavé, alors on s’en fiche un peu.

On ferme cette trilogie en ayant l’impression que l’auteure a su utiliser avec aisance toute la palette de sentiments et de sensations à notre portée. Après le chaos, la lumière et nous en prenons plein les yeux. Une auteure française à découvrir et suivre !

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Commentaire ajouté par onarluca 2017-02-28T21:19:31+01:00
Lu aussi

Bon bah je suis contente d'être venu au bout de cette série qui m'aura déçu jusqu'au bout malheureusement :(

J'aurai pu arrêté au tome 1 mais quand je commence une série je vais jusque bout et j'avoue avoir espéré que ça aille mieux au fils des chap. mais non dommage :(

En ce qui concerne l'écriture, et la fluiidité de lecture, elles se sont amélioré et ça c'est bien. ^__^

En ce qui concerne l'histoire dans sa globabilité.

y'a des trucs bien comme des mauvais, tout n'est pas à jetée.

je pense que l'auteur à certain moment en faisait trop.

dés que ça allait bien, d'un seul coup un truc arrive et ça va plus, 1 fois ou deux d'accord mais à répétition ça devient grave soulant!!!!!!!

dans ce dernier tome j'avoue que Kristian et Andrea mon tappé sur le système avec leur comportement de gamin.

un pas en avant deux en arrière. va y que je te trompe, va y que je monte sur mes grand chevaux, va y que je te quitte, et je reviens. pénible!!!!!

danc ce tome, les persos non pas vraiment évolué, il était plus adulte dans le tome 1. on dirait qu'ils ont régréssé là.

Bref si j'avais su, je me serai passé de lire cette série.

c'est dommage car elle avait du potentiel :( a trop en vouloir en faire on plombe une histoire, et là ça été le cas :(

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Date de sortie

Les Enfants du silence

  • France : 2017-01-27 (Français)

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Les chiffres

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Note globale 6 / 10