Extraits

- Das Kapital? Vous êtes sûre de vouloir lire ce torchon?

- Je vous promets qu'après y avoir jeté un coup d'oeil, j'en fais un cale-porte.

Quand il n'y a rien dans les journaux, il faut aller chercher du côté des potins.

En arrivant à Londres, j'avais été choquée par la misère et senti le besoin d'agir.

Je ne peux pas rester sans rien faire. Quand on tombe de vélo, il faut savoir remonter.

Masses laborieuses, il est temps de se rebeller ! L'Empire est bâti sur le dos du peuple. Nous sommes exploités par les capitalistes ! Les ennemis de l'ordre ! Le droit des travailleurs. Nous devons réclamer ce qui nous revient de droit. L"opium du peuple ! C'est par décret divin, à ce qu'ils disent, que les travailleurs doivent s'échiner... Tandis qu'une poignée de fainéants... entourés de femmes de chambre et de valets de pied, qui passent leur temps à ne rien faire, à part se changer cinq fois par jour... Par deux fois, nous nous sommes rassemblés ici. La loi nous y autorise. Et la police nous a chassés ! La prochaine fois, nous ferons flotter les drapeaux de la révolution.

Le seul moyen de rester libre, en tout cas jusqu'à nouvel ordre, est de vivre comme mon prénom le suggérait. Seule.

Il est temps d'enfiler ma troisième vie.

J'ai été choisie. Un peu comme Jeanne d'Arc.

Si une jeune fille fuit au bras d'un soupirant, elle sera vue comme sotte et naïve. Tandis qu'une lady qui lit Marx sera jugée comme dérangée et prête à n'importe quoi.

Le seul moyen de rester libre, en tout cas jusqu'à nouvel ordre, est de vivre comme mon nom le suggérait. Seule.