Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 649
Membres
1 013 251

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

- Place ! Place, cria-t-il. Les secours arrivent !

Il fit rouler un magnifique camion de pompier et mima un dérapage contrôlé juste avant d'arriver devant le train.

- Euh..., je peux vous aider à sauver des vies ? demandai-je timidement.

Les yeux des deux garçons pétillèrent. Hermance me tendit une minuscule civière, une voiture de secours, et m'investit du rôle de médecin.

Nous étions en train de tenter une réanimation très délicate sur un blessé qui avait les deux jambes coupées (si, si... c'est ce qu'ils avaient décidé !), lorsque Darius se racla la gorge derrière nous.

Je me levai aussitôt, confuse.

- Oh, je suis désolée, me confondis-je en excuses, je n'ai pas vu le temps passer.

Il rit du nez.

- Entre gosses, on s'amuse toujours beaucoup, hein ?

Afficher en entier

Je fermai les yeux et fis jaillir sans douleur de longs crocs blancs de mes gencives supérieures. Je relevai le menton, victorieuse, et battis exagérément des cils.

- Argh..., s'étrangla-t-il.

- Je te plais ?

Il gonfla les narines en retenant sa respiration et me fit brusquement basculer sur le lit. Il se mit au-dessus de moi, prenant soin de ne pas m'écraser et grogna - rugit pour être exacte.

- Tu es à croquer, dit-il d'une voix rauque.

- Alors, croque-moi, soufflai-je à son oreille.

Afficher en entier

— Ma vie t’appartient. Je suis avec toi.

Afficher en entier

Au moment du "bombage" de mousse, une étudiante s'insurgea violemment, expliquant qu'elle était allergique à la menthe. Darius avait l'air de n'en avoir cure, il s'apprêtait à la mousser quand même. Je m'interposai brusquement entre eux.

- Bon ça va, elle peut quand même vendre ces cochonneries sans mousse, non ?

Darius rengaina sa bombe et haussa les épaules.

- Je suppose que oui. On y va !

L'étudiante en question m'aurait baisé les pieds, je crois.

- Merci, dit-elle avec gratitude. Je ressors en cloques, sinon.

- Tu n'as pas besoin de te justifier. On ne devrait pas nous imposer ça.

Elle me regarda avec curiosité.

- Pourquoi participes-tu au bizutage, dans ce cas ?

- Je n'en ai aucune idée ! m'exclamai-je avant de m'éloigner pour rejoindre Darius.

Afficher en entier

-c'est qu''elle mordrait ! Allez, honey, voyons si ton flair de lupus fait honneur à ton cacaractère de louve !

Afficher en entier

— Pourquoi es-tu là ? demandai-je.

Son visage se vêtit d’une tristesse qui me coupa le souffle. Il s’approcha et reprit sa position initiale, à mes genoux. Les battements de mon cœur devinrent des sursauts indomptables.

— J’ai essayé, mais je n’y arrive pas, Hannah.

— Tu as essayé quoi ?

— De me passer de toi.

Ma respiration s’arrêta nette.

Afficher en entier

La porte du coffre claqua et la mienne s'ouvrit.

- C'est maintenant que tu me libères ? m'impatientai-je.

Leith s'esclaffa.

- Qu'est-ce que tu es pénible ! ça ne devait pas être drôle de partir en vacances avec toi quand tu étais gamine. "C'est quand qu'on arrive ?", se moqua-t-il en imitant une voix de petite fille.

Un grognement guttural sortit des bas-fonds de ma poitrine.

- C'est qu'elle mordrait ! Allez, honey, voyons si ton flair de lupus fait honneur à ton caractère de louve !

Je fis comme si je n'avais rien entendu.

Il passa son bras au-dessous du mien et nous commençâmes à avancer.

Louve ou pas, il m'était difficile de ne pas me prendre les pieds dans la caillasse qui jonchait le sol, et ce, malgré la bonne paire de baskets que j'avais enfilée sous les conseils de mon petit ami.

- Allez, petit bouquetin, du nerf ! me railla Leith en voyant que je me retenais à lui pour ne pas tomber. Plus que quelques centaines de mètres et je te retire ton bandeau.

- Quelques centaines ? Tu veux ma mort, ou quoi ? Je n'y vois rien du tout ! Contrairement à ce que tu crois, je ne suis pas un cabri et je n'ai pas ton expérience. Alors s'il te plaît arrête de... ahh, ahhhhhhhhhh !

Il m'avait soulevée de terre et jetée sur son dos comme un vulgaire ballot de farine. Je me retrouvai avachie sur le sac à dos, bras et jambes ballants dans le vide.

- C'est mieux ainsi ? demanda-t-il, hilare.

Comme seule réponse je relevai doucement la tête, cherchai à tâtons son cou et mordis sa peau d'un coup sec.

- Mais quel caractère ! brailla-t-il, d'excellente humeur.

J'appuyai mes coudes sur son paquetage, coinçai ma mâchoire entre mes mains et boudai jusqu'à ce qu'enfin, nous arrivâmes à destination.

Afficher en entier

— J’aime mieux ça ! On verra. Je saurais repérer ta baisse d’énergie. Pour le moment, tu t’en sors bien. Mais il va falloir que je t’initie à la nourriture humaine, ça ne va pas être drôle.

— Je n’ai pas besoin d’être initiée ! Moi, j’en ai mangé toute ma vie !

— Mais c’est qu’elle serait convaincante, la gourde ! On va essayer un truc, tu veux bien ? Ne bouge pas d’ici.

Il sortit de la pièce et revint une minute plus tard avec un bonbon au miel. Il se rassit en face de moi et retira le papier transparent avec componction.

— Les bonbons au miel sont, d’après ce qu’on m’a raconté, les plus doux et les plus sucrés. Ils sont très appréciés. Tu con-firmes ?

— En effet.

— Ouvre la bouche.

J’obéis, sûre de moi.

Il déposa la petite boule sucrée sur ma langue, je refermai immédiatement les lèvres. Dès lors que ma salive humidifia le bonbon, je fus prise d’un écœurement intolérable. Aucune bière, aucune cigarette, aucun café au monde n’auraient pu être aussi mauvais que ça.

Je réussis à tenir dix secondes avant de lui recracher la sucrerie en plein visage. Le bonbon au miel alla se coller dans les beaux cheveux blonds de Darius.

Son rire me laissa sans voix. Finalement, il leva les sourcils avec un air supérieur et retira le bonbon de ses cheveux. Il l’écrasa d’une simple pression des doigts.

Afficher en entier

Votre sang a-t-il déjà fait un tour? Je veux dire, pour de vrai? Pas dans une de ces métaphores qu'on emploie pour romancer une situation, non, réellement - de la haute voltige hémodynamique qui vous paralyse physiquement de la tête aux pieds et qui fait que votre cœur s'arrête par la même occasion?

Moi, ça m'est arrivé. Ce jour même, dans cette salle, au moment où je vis Leith debout, tenant dans ses mains ce qu'il restait de cette pauvre chaise. Mon cœur n'est reparti qu'au bout de plusieurs secondes, immédiatement revigoré par son odeur que j'arrivais subitement à détacher de toutes les autres - douce, musquée, envoûtante et aussi sucrée que le miel.

Afficher en entier

Mon cœur se brisa en un millier d’éclats. Je n’étais plus qu’un tas d’atomes éparpillés. Elle ne saurait jamais comment je me sentais, à cet instant précis. J’étais mort et vivant à la fois. J’étais plein et vide. J’étais heureux et triste. J’étais tout et son contraire.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode