Les Femmes du bout du monde
Auteur
- Mélissa Da Costa (Écrivain)
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Classement en biblio - 803 lecteurs
extrait
Elle sait que l'amour est comme l'océan : il peut être parfois tempétueux et passionné, parfois calme et ronronnant. Elle sait que tout cela, même les lames grises et boueuses, peut fait partie de l'amour.
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Pour une fois, je me permets de ne pas faire un résumé complet, puisque je pense que ce roman, comme tous ceux de l’auteure, connaîtra son succès et qu’il y aura assez de résumé de fait.
En revanche, je vais donner mon avis mais il est à contre-courant des retours que j’ai lu, jusqu’à présent.
En grande admiratrice de la plume de Mélissa Da Costa, j’ai débuté ce roman avec un grand enthousiasme et en étant confiante. J’attends chaque sortie de ses romans avec grande impatience.
Oui mais là… ça ne l’a pas fait avec moi et j’en suis la première dégoûtée car je me suis ennuyée les 3/4 du roman. D’ailleurs, honnêtement, si ce n’était pas cette auteure, j’aurai sûrement abandonnée.
Les animaux sont très présents dans ce roman. Vous connaissez mon amour pour eux. Mais….même si c’est appreciable d’en apprendre sur tous ces animaux marins, j’ai fini par faire une overdose. J’avais l’impression, à des moments, d’être + dans un documentaire animalier, que dans l’histoire de ces femmes. Alors que ce que je recherchais, c’était à en savoir + sur Flore notamment.
Flore qui s’est exilée à l’autre bout du monde pour fuir son mari Paul, avec qui plus rien n’allait. Elle a saboté leur relations avec ses aventures extra-conjugales, mais pourquoi ?
On apprendra enfin, dans les 100 dernières pages, ce qui s’est passé. J’aurai aimé en savoir davantage plus tôt !
D’ailleurs, l’action se passe principalement dans ces 100 dernières pages car le reste du roman est rempli de longueurs et, est globalement platonique, trop gentillet pour ce que je recherche.
J’ai bien aimé la relation entre ces femmes, le fait qu’elles avancent ensemble pour se reconstruire. De ce point de vu, c’est touchant. Mais l’émotion m’a manqué durant cette lecture.
Aussi, j’ai aimé en apprendre + sur la culture maori. Certains passages étaient longs mais intéressants.
On visualise facilement les paysages et la nature de la Nouvelle Zélande.
Mais voilà,je m’attendais à une histoire plus prenante. J’ai mis 10 jours à le lire, c’est inhabituel. Pour autant, je resterai fidèle à l’auteure et lirai ses autres romans.
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Si vous me suivez depuis quelque temps maintenant vous savez que j'apprécie particulièrement la plume de cette romancière. Un style qui me transporte, des histoires fortes avec des protagonistes qui ne nous laissent jamais insensibles et qui gardent une place en moi pour très longtemps.
Je n'ai pas craqué à sa sortie pour son nouveau roman tout simplement parce que je vais au Festival du livre de Paris à la fin du mois d'avril et de base il était impossible d'apporter ses propres romans... mais oh joie les "règles" ont changé et il est maintenant possible de s'y rendre avec deux livres, j'ai donc accouru en librairie pour me procurer ce roman qui me tentait tant.
On fait la rencontre de Flore, une jeune femme dévastée qui a fait le choix de s'isoler au bout du monde pour tenter de se faire oublier par les siens. En plein divorce de son mari, Paul, on ressent de suite que c'est une femme blessée qui atterrit en Nouvelle-Zélande et particulièrement dans le camping d'Autumn et sa fille Milly.
Elles vont devoir s'apprivoiser les unes les autres, elles sont toutes les trois des êtres blessées par la vie, dotées d'une résilience parfois insoupçonnée. Ce trio féminin va cohabiter avec la nature néo-zélandaise qui ne fait pas toujours de cadeaux. Les journées sont ponctuées de durs labeurs sur le camping et c'est dans le travail, dans le silence, dans l'abnégation qu'elles vont chacune trouver la force de se relever des épreuves que la vie à mis sur leur chemin.
J'ai aimé que ce roman soit enrichis par les mythes maoris, on respire à plein poumons, on voyage aux côtés de ses trois femmes, on surveille la nature, on rêve de nager avec les dauphins, d'apercevoir les manchots aux yeux jaunes. Je n'avais qu'une envie c'est de retourner, chaque jour de ma lecture, au côté de Flore, Milly et Autumn.
J'ai eu un coup de cœur pour ce roman, pour la sororité qui en résulte, pour le calme qu'il emmène dans son sillon et des tempêtes intérieures que nous traversons avec ses trois femmes du bout du monde.
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Lecture assez contemplative dans ce monde perdu, où de la côte on voit le Pôle sud. Un monde sauvage où vivent 2 femmes taciturnes occupées à un travail manuel titanesque avec leur camping. Tout est bouleversé par l'arrivée de Flore, une française torturée, qui a détruit son mariage.
J'ai beaucoup aimé la description des paysages, des animaux et du peuple maori ainsi que leurs légendes. On entre parfaitement dans ce monde traditionnel et connecté à la nature. C'est une culture que je ne connaissais pas et j'ai aimé la découvrir surtout qu'elle est dépeinte avec beaucoup de respects.
Si vous aimez les livres qui bougent beaucoup vous serez déçu. C'est un livre où tout avance lentement à l'image des personnages. Et en même temps qui évoluerait en 2 semaines ?
L'histoire d'amour est vraiment belle. Elle tourne autour d'une chanson sur 2 bateaux et le choix apporte vraiment quelque chose à l'histoire. La manière dont l'histoire d'amour est décrite est vraiment poétique.
On découvre des femmes attachantes en particulier Milly que j'ai trouvé si juste. Elles se soutiennent et finissent par trouver la paix... au bout du monde.
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J ai aimé découvrir ce bout du monde les personnages touchants autant qu attachants
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La seule chose que j'ai aimé c'est de me dépayser et de découvrir la Nouvelle-Zélande, les légendes maories sont passionnantes. Sinon j'ai eu du mal avec les personnages.
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L'histoire se déroule dans les Catlins, sur l'île du Sud, en Nouvelle-Zélande. Dés le début du livre, nous sommes plongés dans une nature belle et sauvage; soumise aux tempêtes et aux pluies mais également magnifique et apaisante grâce aux couchers de soleil sur cette baie si bien décrite et grâce à cette incroyable diversité faunistique qui habite cette zone géographique. L'histoire est très bien écrite et est majoritairement bercée dans une atmosphère mélancolique (qui peut, tout de même, freiner, certains lecteurs). Les légendes et la culture Maorie sont également des éléments clés du roman qui nous permettent de parfaitement bien nous plonger dans le décor. En revanche, je regrette un peu que le personnage, l'histoire et les sentiments d'Autumn ne soient pas aussi bien décrits que ceux de Flore ou de Milly. Je rejoins également certains lecteurs sur la vie passée de Flore qui n'est dévoilée qu'à partir des 100 dernière pages, ce qui est un peu dommage.
Enfin, pour un livre qui prône l'écologie et la biodiversité néo-zélandaise, il y a un passage qui m'a réellement dérangée et qui semble presque totalement contradictoire avec la philosophie du livre, bien qu'il soit très symbolique vis à vis du personnage de Flore et de son envie de rédemption;Spoiler(cliquez pour révéler) il s'agit du du moment où elle jette tous les objets "négatifs" (symboles de son ancienne vie) dans la mer.
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Ce roman de Mélissa Da Costa nous prouve qu’il y a toujours deux versions à une seule et même histoire et qu’il ne qu’il ne faut pas juger avant de les connaître chacune.
J’ai été plongé dans les paysages et la culture. de la Nouvelle-Zélande. C’est une belle lecture comme toujours avec cette autrice.
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J’ai bien aimé ce livre qui se lit très facilement. Les personnages étaient attachants et j’ai trouvé qu’ils étaient vraiment humains. J’ai aimé retrouver des thématiques propres aux femmes.
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C'est le premier livre de Mélissa Da Costa que je lis. Je l'ai trouvé très lent mais c'était très approprié vu le sujet. Tout le livre je me suis demandée si j'aimais bien les héroïnes ou pas. J'ai eu des moments je ne les aimais pas, d'autres où elles m'ont touché. Je crois que je n'imaginais pas du tout cette histoire comme ça mais qu'en fait elle était bien plus belle ainsi.
Bref c'est une lecture qui répare, qui est douce et que j'ai finalement adoré.
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Gros coup de coeur pour ce roman. Je me suis attachée à ces 3 femmes, chahutées par la vie et qui se guérissent les unes les autres. Pour avoir dévoré la saga du nuage blanc de Sarah Lark, j'ai retrouvé les légendes maories et les paysages qui m'avaient tant plus. Bref Melissa Da Costa a réussi à me cueillir une nouvelle fois !
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on part à l'autre bout du monde mon premier roman de Melissa Da costa L'histoire aurait pu être belle mais je la trouve assez plate trop de longueurs dans certains paragraphes au vu des comentaires que j'ai vu sur les reseaux je m'attendais a mieux
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J'ai beaucoup aimée ce livre. Une belle écriture. On apprend beaucoup avec ce livre.
Afficher en entierLes gens aiment aussi
Dates de sortie
Les Femmes du bout du monde
- France : 2023-03-01 (Français)
- France : 2024-03-27 - Poche (Français)
Activité récente
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Distinctions de ce livre
Évaluations
- 55ème Lecture dans les transports en commun (13 participants)
- 126ème 5 étoiles challenge mars 2025 (17 participants)
Editeurs
Résumé
« Si tu te demandes ce que nous faisons ainsi, loin des hommes, je vais te dire : nous veillons sur notre petit univers, nous veillons les unes sur les autres. C'est ce que font les femmes du bout du monde. »
À la pointe sud de la Nouvelle-Zélande, dans la région isolée des Catlins, au cœur d'une nature sauvage, vivent Autumn et sa fille Milly. Sur ce dernier bastion de terre avant l'océan Austral et le pôle Sud, elles gèrent le camping « Mutunga o te ao », « le bout du monde » en maori. Autumn et Milly forment un duo inséparable, jusqu'au jour où débarque Flore, une jeune parisienne en quête de rédemption...
Hantées par le passé, mais bercées par les vents et les légendes maories, ces trois femmes apprendront à se connaître, se pardonner et s'aimer.
Mélissa Da Costa nous offre un voyage inoubliable à travers des paysages d'une stupéfiante beauté, aux côtés de personnages inspirés et inspirants. Un nouveau roman magistral et une ode à la liberté.
[Source : Albin Michel, 2023]
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