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L'attirance qui existait entre eux n'en était pas moins absurde.

-Je vois, répéta Minnie. Vous ne séduisez pas les femmes.

-Eh bien... disons que...

-Ce sont elle qui vous séduisent.

Avant de réfléchir, de souligner les obstacles et les impossibilités, elle se hissa sur la pointe des pieds, comblant les quelques centimètres qui les séparaient.

Il réprima un soupir d'étonnement lorsqu'elle l'embrassa. Apres le choc initial, il la prit dans ses bras.

-Oui, exactement comme vous venez de le faire, murmura-t-il.

Les lèvres chaudes du duc se firent plus pressantes, plus exigeantes.

Ce baiser n’était pas une fin, mais une découverte exaltante, qui offrait d'infinies possibilités... Les lèvres de Robert s'emparèrent, il prit son visage entre ses mains et l'attira contre lui avec une telle force qu'elle craignit de se briser en deux.

Elle se laissa embrasser, nichée contre lui, les mains sur son torse. Elle glissa les doigts sous son foulard pour l'attirer plus près encore.

Soudain, il s'écarta. En ouvrant les yeux, Minnie se retrouva dans cette cour lugubre.

-J'ai l'impression que c'est la première fois que je retiens toute votre attention, déclara-t-il avec un sourire.

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Il baissa d’un ton et s’inclina vers elle.

— Voyez-vous, lui murmura-t-il à l’oreille, il y a une femme…

Elle refusait de le regarder. Il en était hors de question !

— En temps normal, on aurait évoqué sa beauté, mais la femme dont je parle n’est pas d’une beauté classique. Pourtant, en sa présence, je n’ai d’yeux que pour elle, au mépris de toute autre.

Il lui effleura la joue du bout des doigts. Elle refusait toujours de le regarder, car il lirait le désir dans ses yeux, et ensuite…

— Elle a quelque chose qui m’attire irrésistiblement. Quelque chose qui va au-delà des mots. Ce sont ses cheveux, peut-être… j’ai essayé de le lui dire, mais elle a répondu que j’étais ridicule. Je suppose qu’elle avait raison. Ou alors ce sont ses lèvres… Ou ses yeux, même si elle me regarde rarement.

Les doigts de Robert glissèrent le long de la joue de la jeune femme pétrifiée.

— Elle est intelligente, aussi. Chaque fois que je la vois, je découvre que j’ai sous-estimé ses compétences. Elle a le don de m’ébahir.

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-seules les tragédies ont de la grandeur. La mélancolie, c'est la sagesse, et la souffrance est une force.

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— J’ai toujours pensé que l’on juge un homme aux personnes dont il s’entoure.

— Aïe ! fit-il en grimaçant. Sebastian a toujours été excessif. Il peut être fatigant, parfois, mais c’est un homme bien.

Enfin, en quelque sorte, songea-t-il. La jeune femme fronça les sourcils.

— De quoi parlez-vous donc ? J’apprécie vos amis.

— Je… Vous… (Il retint son souffle.) À vous entendre, j’ai presque l’impression que vous m’appréciez aussi.

— La logique est une bien belle chose, monsieur le duc, expliqua-t-elle. C’est exactement ce que je viens de dire. Je déplore simplement que ce soit la vérité.

À ces mots, elle quitta le compartiment.

— Attendez ! lança-t-il en lui emboîtant le pas.

Mais elle avait déjà claqué la porte derrière elle. Robert se contenta de regarder la place vide qu’elle avait occupée. Puis le chef de gare siffla. Il saisit sa sacoche et se mit à courir.

Elle appréciait ses amis. Elle appréciait ses amis ! Quel étrange renversement pour une situation au départ embarrassante. Affichant un sourire satisfait, il rejoignit Violet et Sebastian, qui consultaient un calepin.

— Qu’est-ce qui vous fait ricaner tous les deux ? demanda-t-il d’un air soupçonneux.

Violet referma vivement son carnet.

— Je note les scores, répondit-elle. J’ai le regret de t’informer que c’est Miss Pursling qui l’a emporté.

— C’est vrai, admit-il sans se départir de son sourire. N’est-ce pas merveilleux ?

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