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Liste des extraits

Dante leva son verre.

-Aux compagnes qui ne laissent pas marcher sur les pieds.

Styx se joignit au toast.

-Et aux frères qui se serrent les coudes même face à un Armageddon.

Viper heurta son verre aux leurs.

-Aux amis.

-Pour l'éternité, conclurent-ils en choeur.

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- Vous vouliez du nectar, murmura-t-elle, tendant un pot qui contenait un liquide d’un or pâle.

D’un signe de tête, Styx lui indiqua l’homme qui se tenait près de la cheminée de marbre.

- C’est pour lui.

- Qui… (la sidhe se retourna, et son expression aguichante se figea quand elle aperçut le prince chatri) oh !

- Eh bien. (Magnus claqua des doigts.) Apportez-le-moi, sidhe.

- Oui.

Manifestement éblouie par le fae, Tonyia s’avança avec docilité vers lui.

Après avoir attendu qu’elle marche jusqu’à lui, Magnus prit le pot qu’elle lui tendait et renifla le liquide doré.

— Commun, grommela-t-il. Mais je suppose que je devrais m’en contenter.

Posant le nectar sur le manteau de la cheminée, il porta son attention sur la femme ensorcelée.

- Pourquoi n’êtes-vous pas à genoux ?

Viper poussa un grognement abasourdi.

- Oh, par l’enfer !

Tonyia cligna des yeux, comme arrachée à un enchantement.

- Je vous demande pardon ?

- Vous êtes une fae inférieure, l’informa Magnus d’un ton supérieur ayant de quoi amener n’importe quel démon à considérer le plaisir de lui flanquer un coup de pied dans les couilles. Vous devriez tomber à genoux en présence de votre maître.

Tonyia écarquilla ses yeux émeraude, et, quand une odeur de prune brûlée s’éleva, Styx se frotta le nez.

- Maître ?

- Je suis le prince Magnus. (L’imbécile esquissa un geste de la main.) Inclinez-vous devant moi.

- Et si je faisais plutôt ça, dit la sidhe, reculant le bras avant de frapper ce salaud en plein dans le nez.

Viper haussa les épaules alors que le prince jurait de douleur, incrédule. Lorsqu’il tourna la tête, il croisa le regard amusé de Styx.

- Il l’a vraiment cherché.

Styx gloussa.

- Je crois que je viens de dénicher mon agent de liaison fae.

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- Regarde un peu par ici, espèce de gros rustre…

- Tu nourris une fascination obsessionnelle pour ma taille. (À dessein, il parcourut d’un regard lent son corps tendu avant de se pencher pour lui murmurer directement à l’oreille.) Au cas où tu serais intéressée, je suis gros partout.

À la caresse de ses lèvres, des pointes d’excitation torride la traversèrent.

Comment était-ce possible ?

Elle avait vécu avec les hommes les plus séduisants du monde. Son propre fiancé, Magnus, était d’une beauté à couper le souffle. Mais jamais, au grand jamais, l’un d’eux ne l’avait fait se sentir aussi intensément femme. Comme si Cyn possédait quelque moyen magique d’éveiller ses désirs les plus sombres et les plus intimes.

S’écartant brusquement, elle le foudroya du regard.

- Eh bien, tu as certainement la grosse tête.

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- Peu de femme résistent au charme d'un vampire, dit Levet, poussant un profod soupir. Cest un mystère de la nature déconcertant, comme les arcs-en-ciel, les licornes et la séparation des Backstreet Boys. ( il secoua la tête.) Inexplicable.

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Mais avant qu’il ait pu parler une charge électrique menaçante envahit l’air et Levet valsa soudain en arrière pour heurter le mur avec un bruit sourd avant de glisser au sol.

Grommelant un juron, Cyn traversa la pièce à grandes enjambées et empoigna la gargouille par une corne pour la remettre debout.

- C’était quoi, putain ?

- Il semblerait que Siljar ne soit pas d’humeur à être dérangée, là tout de suite, marmonna Levet en se frottant le derrière.

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Nul homme ne devrait posséder les sens d’un Dieu. A moins d’être un monstre.

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- Alors pourquoi ma survie vous importe-t-elle ?

Elle ouvrit la bouche pour lui donner une réponse désinvolte, mais la referma brusquement, le souffle coupé.

A peine l'espace d'une toute petite seconde, elle avait aperçu une émotion dans ces incroyables yeux de la couleur du cognac.

Une émotion qui ressemblait de façon remarquable à de la vulnérabilité.

- Oh, par l'enfer! Grommela-t-elle, poussant un profond soupir. Je me suis habituée à vous.

Il fronça les sourcils.

- Habituée ?

- Je... (elle humecta ses lèvres sèches) vous me manqueriez si vous n'étiez pas dans les parages.

Le monde s'arrêta, l'air chargé d'un sentiment d'anticipation alors que Magnus baissait la tête avec lenteur.

- Moi aussi je me suis habitué à vous, avoue-t-il, lui effleurant les lèvres d'un doux baiser teinter de déférence.

Elle se sentir devenir toute chose, son coeur fondit. Dieu tout-puissant ! Elle avait des ennuis. Il déposa un autre baiser sur sa bouche, celui-ci empreint de possessivité, avant de relever la tête pour la dévisager d'un regard songeur.

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