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Il lui saisit les mains et les maintint au-dessus de sa tête, son érection reposant contre son ventre.

- Tu es si terriblement sexy!

- Et ça te donne le droit de me sauter dessus comme un...

- Un chient en rut? termina-t-il pour elle, enfouissant le visage dans la courbe de son cou.

- Oui.

- Mais c'est ce que je suis.

Elle frissonna, et Salvatore perçut le parfum de son désir qui pimentait l'atmosphère.

-Tu es aussi roi. Tu ne devrais pas faire au moins un effort pour te comporter comme un être civilisé?

Il rit, explorant des lèvres la ligne de son épaule.

Il humait sur elle une senteur de savon, de femme et de désir réprime.

- Tu portes encore tes vêtements, non ?

Elle se débattit contre lui, et fut enveloppé de sa chaleur.

- Salvatore, je ne vais pas coucher avec toi dans une pièce où n'importe qui peut entrer.

- Alors, vient dans ma chambre.

- Jamais de la vie.

Il suivit des lèvres le décolleté plongeant de son débardeur, et s'attarda sur le doux renflement de son sein.

- Dans la tienne alors.

Elle tenta de retenir un gémissement de plaisir.

- Jamais... de... la... vie.

- Oh, mais si, lui promit-il d'une voix aux accents bas, gutturaux. C'est parfaitement envisageable. Nous l'avons déjà démontré avec des résultats remarquables. Tout ce qu'il nous faut, c'est un endroit.

Elle secoua la tête, mais ses tétons durcirent en une invitation muette.

- Redescends sur terre, Giuliani.

Il s'écarta pour la dévisager d'un regard songeur. Il entendait les battements rapides de son coeur, sa respiration rauque.

- Harley, ta as des sens aussi fins que les miens. Il nous est impossible de nous cacher notre désir mutuel.

- Vouloir et faire sont deux choses complètement différentes.

Il appuya son érection contre la courbe de son ventre.

- J'ai une conscience douloureuse de cette distinction, cara.

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Le vampire arqua les sourcils.

— Cela vous dérange-t-il qu’elle soit unie à un vampire ?

Harley pinça les lèvres. Cela ne l’aurait pas dérangée d’apprendre que ses soeurs étaient unies à des rainettes !

— Non. On m’a dit que mes soeurs avaient été assassinées. J’essaie encore de me faire à l’idée qu’elles sont bel et bien en vie.

Elle aperçut une lueur amusée dans ses yeux sombres.

— Darcy est bien vivante et prend même un malin plaisir à veiller à ce que Styx reste à sa place.

— Et elle est heureuse ?

— Bien sûr. (Délibérément, il baissa le regard pour admirer les rondeurs de la garou que soulignait son débardeur.) Les vampires possèdent une connaissance approfondie des différentes façons de satisfaire une femme.

Oh, elle n’en doutait pas une seconde.

Tout dans ces magnifiques démons promettait les plus douces voluptés.

Dommage que ses goûts se portent sur les garous arrogants, exaspérants et scandaleusement séduisants.

— Approfondie, hein ?

— Approfondie et… (il sourit, dévoilant un instant ses canines nacrées) créative.

— Et vous êtes bel et bien mort si vous faites un pas de plus, Santiago, dit Salvatore d’une voix traînante.

Entrant dans la pièce, il laissa exploser sa chaleur.

Harley s’éloigna prudemment du vampire en se tournant pour savourer la vision de Salvatore. Il sortait de la douche et avait enfilé un pantalon noir soyeux et une chemise d’un blanc éclatant qu’il n’avait pas boutonnée pour dévoiler son torse lisse et hâlé.

Si un combat devait avoir lieu, elle n’avait pas l’intention de se trouver prise au milieu.

Santiago lui adressa une révérence narquoise.

— Giuliani.

Sans se presser, Salvatore vint s’arrêter à dessein près d’elle, et posa une main possessive sur sa nuque. L’équivalent masculin de : « Elle m’appartient, dégage. »

Harley aurait pu être furieuse s’il n’avait été si terriblement séduisant, avec ses cheveux retenus en arrière par une barrette en or, faisant ressortir la beauté à l’état pur de son visage.

Et son parfum…

Chaud avec un musc fumé qui la rendait folle.

Percevant aisément le désir qui envahit la jeune femme, Salvatore lui caressa le cou du pouce, sans quitter le vampire des yeux.

— Êtes-vous entré en contact avec Styx ?

— Je l’ai informé que Tonyia vous avait découverts, vous et la charmante Harley, et que vous vous dirigiez vers le club, répondit Santiago. Maintenant que le soleil s’est couché, il doit s’être mis en route pour nous rejoindre.

Harley fronça les sourcils.

— Pourquoi vient-il ici ? Je croyais que tu allais à Chicago ?

— Pas sans renforts. (Salvatore grimaça.) Je suppose qu’il sera accompagné de sa volée de corneilles ?

— Une « volée de corneilles » ?

— Ses Corbeaux, rectifia Santiago d’une voix sifflante, les yeux froids de désapprobation. Ils constituent la garde personnelle de l’Anasso et méritent notre respect.

Salvatore haussa les épaules.

— Dans combien de temps seront-ils là ?

— D’ici à quatre, peut-être cinq heures.

— Quel est votre système de sécurité ?

Le vampire indiqua d’un geste de la main les étagères où était disposé le matériel high-tech.

— En plus des sortilèges qui protègent le bâtiment, tout est sous vidéosurveillance permanente. Et quatre gardes sont en faction vingt-quatre heures sur vingt-quatre.

— Pas de loups-garous ?

Santiago retroussa les lèvres.

— Je ne me fie pas aux chiens.

— C’est un sentiment entièrement réciproque, sangsue.

— Sans parler du fait qu’ils laissent des poils partout.

— Ça vaut toujours mieux qu’être un cadavre ambulant.

L’air devint mordant et Harley recula brusquement loin des deux hommes, les mains sur les hanches.

— Vous faites baisser d’un cran le niveau de testostérone dans cette pièce, ou je vous montre à tous les deux ce qui se passe quand l’oestrogène se débride.

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-Bon sang.

Harley écarquilla les yeux.

-Qu'y a-t-il?

-La cavalerie arrive, grommela-t-il en grimaçant.Malheureusement.

-Pourquoi "malheureusement"?

Il tourna la tête quand le grille qui recouvrait le trou d'évacuation des eaux sur le sol vola, et qu'une petite forme grise s'en extirpa.

-Parce que le seul truc qui soit pire qu'être coincés dans une cellule, c'est d'être sauvés par ça.

Une fois entièrement sorti, Levet se secoua comme un chien pour retrouver son apparence habituelle, un petit sourire narquois sur les lèvres alors qu'il rencontrait le regard noir résigné de Salvatore.

-"Buzz l’Éclair à la rescousse!"

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- etre roi vous est monter a la tete si vous croyer qu'une replique aussi nulle que celle ci marchera jamais sur une femme sans cervelle.

- alors, les femmes ayant un semblant de cervelle doivent etre des miliers, dit il d'une voix trainante.

- les poupées gonflanbles en plastique ne comptent pas.

- cara, je pourrais vous pousser à vous rouler à mes pied en me supliant.

elle devait prendre un pistolet et lui tirer une balle dans le crane, pas imaginer qu'elle pouvait etre exatement la technique pour la pousser à se rouler à ses pieds en le suppliant.

- je préfererait me faire la gargouille.

salvatore inclina la tete en arriere et huma l'aire avec delicatesse. il rit doucement.

- menteuse.

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— À ce sujet… (Elle humecta ses lèvres soudain sèches.) Je ne pense pas que nous aurons besoin d’aide en ce qui concerne la fécondité.

Salvatore se figea, et l’agrippa avec nervosité.

— Harley ?

Elle dansa d’un pied sur l’autre, mal à l’aise sous l’intensité brûlante de son regard.

— Quand je me suis réveillée ce matin, je me suis sentie bizarre. (Inconsciemment, elle porta une main à son ventre.) D’abord je me suis dit que c’était à cause de notre lien. Tout ça a été un peu… mouvementé.

L’air décidément abasourdi, Salvatore hocha docilement la tête.

— Je ne maîtrise pas encore parfaitement mes pouvoirs, murmura-t-il distraitement.

Harley sourit. C’était l’euphémisme du siècle. Au cours de la semaine précédente, il avait, par accident, provoqué un court-circuit, arraché de ses gonds la porte de la salle de bains, vidé Harley de ses pouvoirs à un moment, et le suivant il lui avait insufflé une telle énergie qu’elle en avait bondi presque jusqu’au plafond.

Ce qui, bien sûr, expliquait qu’elle n’ait d’abord pas prêté attention à la chaleur que sa louve sentait dans son ventre.

À mesure que la journée s’était écoulée, cependant, elle n’avait plus pu ignorer la vérité.

C’était l’étincelle de la vie.

En fait, sa louve-garou lui chuchotait qu’il y en avait plusieurs.

D’à peine plus de quelques jours, mais qui grandissaient déjà bien.

— Ouais, j’avais remarqué, railla-t-elle.

— Harley. (Il hésita, luttant manifestement pour respirer.) Tu veux dire…

Elle se mit sur la pointe des pieds pour presser ses lèvres contre les siennes.

— Tu vas devenir un heureux papa, Salvatore Giuliani.

— Papa.

L’espace d’un fol instant, il vacilla sur ses jambes comme s’il allait s’évanouir. Puis, sans crier gare, il se laissa tomber à genoux et colla le visage contre le ventre plat de la jeune femme.

— Je savais que tu étais mon salut, cara, mais maintenant tu as redonné espoir à l’espèce entière des loups-garous. (La tête inclinée en arrière, il la dévisagea avec un tel respect que Harley dut réprimer ses larmes.) Tu es un miracle.

Avec douceur, elle passa les doigts dans ses cheveux d’ébène.

— Il me semble que tu pourrais bien avoir un petit peu contribué à ce miracle-là.

Il lui effleura le ventre de la main, se comportant comme si elle était aussi fragile que du verre filé, puis une inquiétude soudaine lui assombrit les traits.

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-Venez avec moi, Harley.

-Jamais de la vie.

-Je ne vous ferai aucun mal.

-Et je devrais vous croire?Pourquoi?

Salvatore fronça les sourcils. Elle ne se comportait pas comme une garou qui avait été kidnappée et retenue prisonnière par un déséquilibré.

-Je suis venu vous sauver.

Elle secoua la tête, ses magnifiques cheveux clairs chatoyant malgré l'obscurité.

-Hip, hip, hip putain de hourra! Qui a dit que je voulais qu'on me sauve?

-On ne vous retient pas contre votre volonté?

-Personne ne me retient contre ma volonté.( Elle jeta un regard dédaigneux à son costume loin d'être immaculé.)Et certainement pas un homme.

Salvatore poussa un grondement gutturale. Les femmes ne lui jetaient pas des regards dédaigneux. Les femmes bavaient, haletaient et s'évanouissaient même parfois lorsqu'il entrait dans une pièce.

-Ca ne fait rien, déclara-t-il d'une voix rauque. Vous venez avec moi.

-Quel tact, Roméo.(Levet se planta à ses cotés.) Pas étonnant que les garous soient en voie d'extinction.

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- Souviens-toi, s'il te plaît, de le tourner comme une invitation, pas un ordre royal.

Le vampire esquissa un sourire alors même qu'il affichait une expression pleine d'arrogance.

- Quel est l'intérêt d'être l'Anasso si je ne peux pas émettre d'ordres royaux?

Darcy gloussa.

- Je te rappellerai certains de ces avantages plus tard.

- Tu crois que tu peux recourir à un stratagème aussi éhonté pour me contrôler? demanda-t-il alors que ses canines s'allongeaient et que sa voix se chargeait d'un désir tangible.

- Oui.

- Tu as raison.

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-notre union a ressuscité des traditions que les sang-purs avaient presque oubliées. dans les anciens temps, le roi des garous accomplissait la Sylnivia quand il s'unissait.

-et en quoi consiste exactement cette...Sylnivia?

-Rien de bien saugrenu. il s'agit de rendre visite à nos différentes meutes afin de recevoir la bénédiction de notre peuple. c'est censé nous assurer la fécondité.

(...)

-A ce sujet...je ne pense pas que nous aurons besoin d'aide en ce qui concerne la fécondité.

Salvatore se figea, et l'agrippa avec nervosité.

-Harley?

(...)

-tu vas devenir un heureux papa, Salvatore Giuliani.

-Papa.

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Sienne .

Sa femme .

Sa compagne .

Sa moitié .

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Levet le fit taire d'un geste de la main.

-J'ai une théorie selon laquelle plus un démon est grand, plus grande est sa suffisance et plus petit est son...

-Continue, gargouille, gronda une voix froide dans l'obscurité, la température chutant brusquement. Je trouve ta théorie fascinante.

-Aah!

Batant des ailes, Levet se précipita derrière Salvatore. Comme s'il était stupide au point de croire que le garou lui éviterait une mort certaine.

-Dio, ne reste pas là, maudit casse-pied, grogna Salvatore.

Il tenta de frapper la gargouille, le regard rivé avec méfiance sur le vampire qui surgit d'un coude du tunnel.

Il y avait de quoi se méfier.

Bien que d'une stature inférieure à nombre de ses frères, ce vampire qui avait hérité de la peau dorée de ses ancêtres polynésiens arborait une musculature redoutable. Il avait le visage d'un prédateur, fin et dur, avec des yeux légèrement bridés de la couleur du miel et d'épais cheveux noirs rasés sur les côtés pour former une longue crête iroquoise qui lui retombait au-delà des épaules. En l'occurence, il ne portait rien d'autre qu'un short kaki, ne partageant manifestement pas le penchant de Salvatore pour les vêtements de grands couturiers.

Évidemment, le gros poignard qu'il tenait à la main lui garantissait que nul ne remettrait en question ses goût en matière de mode.

À moins de souhaiter mourir.

Salvatore perçut un bruit de pas et quatre de ses bâtards apparurent. Le plus grand s'élança avant de tomber à genoux et de coller sa têre chauve à ses pieds.

-Sire, êtes-vous blessé? s'enquit Hess.

-Seulement dans mon orgueil.

Salvatore reporta son attention sur le vampire alors que Hess se relevait pour se dresser de toute son imposante hauteur près de lui.

-J'ai trouvé le cadavre de Duncan dans la cabane et après ça, je ne ,e souviens de rien. Non attendez. J'ai entendu une voix, et... (Il secoua la tête , contrarié par son trou de mémoire.) Bon sang. Vous nous avez suivis?

D'un air distrait, Tane caressa le manche de son poignard.

-Quand nous nous sommes aperçus que la cabane était vide, Jagr s'est dit que vous étiez en difficulté. Comme votre bande d'abrutis semblait incapable de former la moindre pensée cohérente, j'ai accepté de partir à votre recherche.

Guère étonnant. Contrairement aux sang-pur qui étaient issus de garous à part entière, les bâtards étaient des humains transformés en loups-garous à la suite d'une morsure. Hess et les autres étaient d'excellents tueurs. Ce qui expliquait qu'il les ait choisis comme hommes de main. Mais quant à faire usage de leur cerveau... eh bien, il réfléchissait à leur place. Ce qui évitait bien des problèmes.

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