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Un bref coup d'oeil lui suffit à comprendre l'amusement de Jaelyn. Bon ... dieux. Bariolé de fleurs rouges et jaunes, le vêtement de soie constituait une offense à sa mode.

Serrant l'habit repoussant dans une main, son épée et son fourreau dans l'autre, il sortit des bois et traversa la prairie d'un air décidé, en direction de Jaelyn et Levet qui se reposaient sous le grand chêne.

-Je suppose que tu trouves ça drôle ? s'enquit-il en agitant la chemise sous le nez de la vampire.

A côté d'elle, la gargouille exaspérante se plia en deux alors que son rire résonnait à travers la campagne.

-Oui, je trouve ça très drôle.

Ariyal foudroya le petit casse-pied d'un regard menaçant.

-Je crois avoir senti l'odeur d'un bâtard près du ruisseau. Pourquoi n'irais-tu pas enquêter ?

-Pourquoi moi ?

-Parce que si tu restes, il y a de fortes chances pour que je t'embroche sur l'arbre le plus proche.

-Tu es toujours aussi revêche ? demanda Levet ?

Puis, croisant le regard noir d'Ariyal, il s'éloigna dans la prairie en battant des ailes, contrarié.

-Je pensais que las faes étaient censés être des créatures radieuses ! lança-t-il par dessus son épaule.

Jaelyn se leva.

-Il a raison, l'accusa-t-elle, tu es revêche.

C'était vrai.

Et ça n'avait absolument rien à voir avec des chemises moches comme un pou, reconnu-t-il, traçant des yeux un chemin vorace sur son corps.

-Je suis frustré.

A cet aveu brutal, elle mit les mains sur les hanches. De toute évidence, elle l'était tout autant que lui. Mais était-elle prête à l'admettre ? Oh non, elle roula des yeux, feignant une irritation toute féminine.

-Les hommes !

-Les femmes ! se maqua-t-il à son tour, agitant la chemise comme un drapeau. Et tu as choisis ça exprès.

-Elle est propre, non?

-Elle est hideuse.

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Comment ce maudit chien parvenait-il à rester immaculé après avoir escaladé des tas de roches?

Pas même un grain de poussière ne venait ternir ses chaussures italiennes faites main.

Ce n'était pas...naturel.

- Des ennuis au paradis? railla le garou.

Styx hausse les épaules, et ravala sa remarque sarcastique.

Derrière le sourire moqueur de Salvatore se cachait le souvenir obsédant de sa rencontre avec la mort dans ces mêmes grottes.

Il comprenait ce que ça lui coûtait de les aider à retrouver l'enfant, ainsi que, bien sûr, Jaelyn.

Et, alors qu'il ne reconnaîtrait peut-être jamais éprouver de la gratitude envers lui - ça ne se faisait tout simplement pas entre ennemis naturels - , il ne l'oublierait pas.

Il indiqua d'un signe de tête le Sylvermyst furibond.

- Je tente juste de m'assurer qu'ils se donnent à cent pour cent pour rejoindre Jaelyn.

- Les vampires, grogna Elwin.

Salvatore leva les mains.

- Hé, vous avez toute ma compassion.

Le fae pointa un doigt vers le visage de Styx.

- Ne vous avisez pas de nous interrompre une autre fois.

Son avertissement délivré, il tourna les talons et s'agenouilla de nouveau près de ses frères, complètement indifférent au fait que Styx pouvait lui arracher la tête d'une seule main.

- Je regrette l'époque où je pouvais tuer les gens qui me faisaient chier, déclara ce dernier avec hargne.

- Ca craint d'être roi, hein?

Jamais parole plus vraie n'avait été prononcée.

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-Je n'ai pas honoré notre contrat.

-Le Sylvermyst se révèle incroyablement ingénieux, convint Siljar.

Ingénieux?

-C'est un vrai emmerdeur, grommela-t-elle.

-Un homme a le droit d'être un emmerdeur quand il est si merveilleusement séduisant, murmura Selijar, ce qui choqua Jaelyn. Quel dommage que je n'aie pas quelques millénaires de moins.

Jaelyn eut la sagesse de garder ses pensées pour elle. Elle avait bien assez de problèmes, merci beaucoup.

-Souhaitez-vous que je retourne auprès de l'Addonexus ?

sallijar réfléchit, comme si sa question l'intriguait.

-Pourquoi le voudrais-je ?

-Le Ruah va envoyer en autre chasseur remplir le contrat, expliqua-t-elle, faisant référence au chef traditionnel de la commission.

-Et vous serez exécutée ?

Jaelyn haussa les épaules.

-Mon sort importe peu.

-Permettez moi de vous contredire.

Les mains jointes, Siljar s'avança; son regard implacable commençait à rendre la vampire nerveuse.

-Votre sort est devenu de la plus haut importance. Ainsi que celui d'Ariyal.

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étourdi d'amour, Levet s'avança vers elle ,l'implorant des mains.

- pourquoi me fuyez vous? s'enquit il avec un accent français plus fort que d'habitude.

elle gloussa

- parce que j'aime qu'on me court après.

mais j'ai beaucoup a vous dire.

[...]

- alors attrape moi

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Ariyal se retourna pour lui faire face, le visage grave, mais avant qu’elle ait pu lui demander pourquoi ils étaient nus comme des vers au milieu de nulle part, une brume chatoyante commença à se former autour d’eux.

Jaelyn écarquilla les yeux alors que la brume s’épaississait, sa couleur oscillant entre l’argent le plus pâle et le cramoisi le plus profond.

- Qu’est-ce que c’est? s’enquit-elle d’une voix basse empreinte d’un émerveillement respectueux.

Il lui prit la main pour la poser sur sa poitrine, les différentes nuances de la brume se reflétant dans ses yeux.

- La cérémonie d’union des Sylvermyst.

- C’est magnifique.

Presque autant que l’homme devant elle, reconnut-elle en silence.

- En quoi ça consiste? demanda-t-elle.

- L’échange de notre sang a uni nos âmes, expliqua-t-il avec douceur. L’aurore va unir nos cœurs.

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Elle vit briller dans ses yeux une émotion qui l’enflamma jusqu’aux orteils.

— Tu es mon cœur et mon âme, souffla-t-il.

— Toi aussi. (Elle se dressa sur la pointe des pieds pour déposer un tendre baiser sur ses lèvres.) Nous affronterons ensemble ce qui viendra.

Il l’enveloppa dans sa chaleur parfumée.

— Ensemble.

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— On ne me paie pas pour sauver le monde. Mais pour traîner tes fesses devant le Conseil.

Ariyal fronça les sourcils.

Le Conseil réunissait les gros bonnets du monde démoniaque. Lorsqu’ils vous estimaient digne de leur attention, c’était immanquablement une mauvaise nouvelle.

Surtout s’ils étaient prêts à débourser une somme exorbitante pour charger une chasseuse de mettre la main sur vous.

— Pourquoi ? s’enquit-il.

— Je n’en sais rien. Je m’en fous. C’est juste un boulot.

Il se pencha jusqu’à ce que leurs nez se touchent.

— J’ai l’impression que c’est bien plus personnel que «juste un boulot».

L’espace d’un instant fébrile, il vit le désir à l’état pur flamboyer dans ses yeux, et il se raidit de plaisir anticipé. Oh, par l’enfer, oui ! Puis, tout aussi brusquement, cette émotion fugitive disparut.

— Reprends-toi.

— Je préférerais te prendre.

— Recule!

Ariyal frissonna quand une vague de froid mordant explosa dans l’air.

Bon sang. À un moment cette femme l’enflammait, et le suivant elle était capable de filer des engelures à un lutin de feu.

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-Jaelyn,murmura-t-il, se délectant de la sensation de son corps svelte pressé contre le sien.Bons dieux.J'ai cru...

Elle lui encadra le visage des mains, ses yeux brillant d'un feu indigo.

-Ferme-la et embrasse-moi, fae.

-Petit sangsue autoritaire. chuchota-t-il alors même qu'il s'emparait de ses lèvres en un baiser qui trahissait le terreur qu'il avait endurée. Ne me refais plus jamais ça.Elle s'écarta juste assez pour le foudroyer de regard.

-Et toi alors?

-Moi?

-Je n'ai rien trouvé d'autre que l'endroit où tu as ouvert un portail, avec les odeurs de Levet et Sergei, l'accusa-t-elle.J'ai eu peur que tu aies été enlevé.

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-On va quelque part, ma jolie? demanda l'Andrax.

Elle roula de yeux. Les mâles devaient-ils toujours être aussi prévisibles?

-Pousse-toi.

-Hmmm... (Il la caressa d'un regard vorace.) Une grande gueule. Je peux changer ça. Tu as juste besoin d'un peu d'entraînement.

Il s'approcha au point de presque l'accabler de l'odeur aigre de sa sueur.

Elle montra les crocs d'un air menaçant.

-J'ai juste besoin que tu bouges ton horrible petit cul avant que j'oublie à quel point je déteste le sang d'Andrax.

-Salope.

-Je ne le répéterai pas. Dégage.

-Miam! (Il se lécha les babines.) Je vais aimer te donner une leçon. D'ici la fin de la nuit, tu me supplieras pour l'avoir.

Elle ricana.

-Quoi?

Il saisit le renflement sous son pagne.

-ça, poupée.

-Ah! (Da la langue elle tapota la pointe d'un de ses crocs.) Cet infâme bout de chair ratatinée que je vais t'arracher avec les dents pour te le foutre au fond de la gorge?

-De bien grands mots pour une si petite...

Sa raillerie se conclut par un hurlement à glacer le sang quand Jaelyn bondit par dessus sa tête puis, se collant à son dos, lui passa les bras autout du corps pour empoigner les tendres morceaux de virilité qu'il avait été si heureux de lui indiquer.

C'était tellement plus facile de savoir où l'atteindre.

-Maintenant, redis-moi ce que tu comptes faire, démon, murmura-t-elle.

Elle lui planta les griffes dans son pagne alors qu'elle serrait son cou épais de l'autre main, menaçant de lui écraser la trachée.

-Je suis...

-Oui?

-Désolé.

Elle enfonça un peu plus ses griffes.

-Essaie encore.

-Je suis désolé, gémit-il.

-Désolé d'avoir tenté de me violer? Ou désolé que je m'apprête à te castrer pour t'empêcher d'abuser d'autres femmes?

-Non. S'il te plaît, non...

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- Les femmes intelligentes sont toujours les plus dangereuses. (Il baissa la tête pour embrasser le coin de sa bouche étonnamment sensuelle.) Et les plus excitantes.

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