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Maintenus par le bustier, mes seins se soulevèrent nettement et gardèrent un bel ensemble. Je baissai les yeux sur mon décolleté saillant et vis que j’avais reçu quelque chose de nouveau. Un tatouage représentant un pentagramme renversé classieux, juste au-dessus de mon sein gauche.

Étrangement proche de l’endroit où se trouvait autrefois la tache noire d’une Marque du Démon.

Je levai les yeux. Kevin était en train de s’asseoir sur le lit tout en m’observant. Il passa la langue sur ses lèvres et dit :

— Tourne-toi.

Je m’exécutai. Un tour complet, jusqu’à lui faire face de nouveau.

— Je croyais que tu avais dit que j’avais seulement trois vœux ?

Je gardai le silence. Il n’était pas stupide. Il savait que j’avais menti.

— Tu as une idée de ce que ma mère est en train de faire là-bas avec ton ami ? C’est ton ami, non ? (Kevin m’étudia avec des yeux trop intelligents, à la recherche de points sensibles.) Plus qu’un ami ? Tu le baises ?

— Tu es largement trop jeune pour poser cette question, dis-je d’un ton guindé.

Le ton Julie Andrews/Mary Poppins n’allait pas avec la tenue de poupée gonflable.

— Tu vas me le dire. Tu es obligée.

— Pourquoi est-ce que tu veux le savoir ? demandai-je. (Ce qui le désarçonna, un peu.) Et de toute façon, comment sais-tu combien de vœux tu as ? Peut-être que c’est dix. Peut-être que c’est vingt.

Peut-être que le prochain est ton dernier, et qu’après je pourrais te déchiqueter en petits bouts hurlants. Tu veux tenter ta chance ?

Je souris en disant cela. Amicale. Chaleureuse. Engageante.

Il s’appuya de nouveau contre la tête de lit, où Miss Juillet 2003 écrasait ses deux seins nus l’un contre l’autre pour qu’il les passe en revue.

Quel est l’intérêt de t’avoir si je ne peux rien faire avec toi ? demanda-t-il. (Petit con irascible.) Je veux dire, peut-être que je vais le faire quand même. Souhaiter ce que je désire le plus.

— Et qu’est-ce que c’est ?

Il n’y avait pas vraiment pensé. J’espérais qu’il n’allait pas nous sortir quelque chose de stupide, comme la paix dans le monde, mais je n’avais aucunement besoin de m’inquiéter ; Kevin ne penserait jamais à quelqu’un ou quelque chose de plus grand que les limites de son petit univers égocentrique. Il finit par lâcher :

— Je veux ne jamais avoir à travailler pour gagner ma vie.

Je clignai lentement des yeux en y réfléchissant. Le processus de pensée des adolescents était si différent de celui des adultes… Un adulte aurait demandé des tombereaux de billets, suivant l’hypothèse selon laquelle des tombereaux d’argent signifient : pas de travail. Ce qui n’était pas irréaliste, pour une hypothèse. Mais Kevin avait demandé quelque chose de totalement différent.

— Donc, hypothétiquement, si tu demandais ça, tu ne serais pas déçu si je faisais de toi un tétraplégique qui respire à travers un tube ? (À son tour de cligner des yeux. Sa bouche s’ouvrit, produisit du silence et se referma.) Je veux dire, tu n’aurais jamais à travailler pour gagner ta vie, si ? Ou je pourrais tout simplement te tuer. Ainsi tu n’aurais jamais non plus à travailler pour gagner ta vie. Ou bien, voyons voir, je pourrais tuer tous les habitants du monde. Tu n’aurais jamais non plus à travailler pour gagner ta vie. Ou je pourrais te transformer en un gros chien baveux que ta mère pourrait nourrir tous les jours…

— Arrête ça ! (Il avait l’air horrifié.) Tu rends tout ça…

— ... compliqué ? achevai-je. Ça l’est. Tu veux un djinn, tu en as un. Mais nous ne sommes pas des jouets sexuels, Kevin. Nous sommes plus vieux que toi (même moi) nous sommes plus intelligents que toi et nous n’avons absolument aucun problème pour trouver une fausse interprétation de chaque souhait que tu es assez stupide pour prononcer en notre présence. Nous sommes dangereux. Mets-toi ça dans la tête. Tu peux m’habiller comme une poupée si tu veux, mais tu ne me contrôleras jamais. Je vais te contrôler. Alors la meilleure chose que tu peux faire c’est de prendre cette bouteille et de la fracasser, tout de suite, avant que j’aie l’opportunité de vraiment te faire du mal. Parce que je le ferai, Kevin. Je vais te faire tellement mal qu’en comparaison ta mère dans son plus mauvais jour ressemblera à Mary Poppins.

Je le tenais. Je le tenais vraiment. C’était tout ce que je pouvais faire pour ne pas jubiler. Il avait l’air prêt à vomir de peur.

Puis il se calma, avala sa salive et dit :

— Je sais ce que je veux. C’est ce que tu veux aussi. Je veux que tu tues ma mère.

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JE TROUVAIS DAVID un niveau au-dessus du monde éthéré. Nous n’échangeâmes aucun mots. Nous nous fondîmes, fusionnâmes, nos auras se modifiant et se combinant. Je me souvins de ce qu'il m'avait dit, une fois, à propos de faire l'amour sous forme gazeuse, et je sentis un sourire s'épanouir en moi, chaud et triste. Même dans cet état incorporel, il m'était aussi familier que mon battement de cœur humain l'avait été autrefois, et tout aussi nécessaire.

- Jo... (Un chuchotement à travers l'espace vide, une caresse sans la peau, le corps ou les mots. La forme d'amour la plus pure que j'ai jamais ressentis.) Je suis tellement désolé. Je ne pouvais pas te laisser mourir, mais je ne voulais pas mourir non plus. Et c'est la seule façon de faire un djinn. Par le sacrifice. J'ai essayé de tricher. Voilà ce que ça donne.

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- Exactement. Ça va?

Oh. La règle de trois. Je sentis la contrainte faire effet, et entendis ma bouche dire:

- Non, bordel, espèce d'idiot, je ne vais pas bien! Je suis morte il y a moins d'une semaine, David est tenu prisonnier par une espèce de djinn qui s'y croit avec ses illusions de divinité, et on vient de me fourrer le cul dans une bouteille! Tu viens de le faire! Avec des fringues merdiques!

Il poussa un gros soupir de soulagement.

- Tu vas bien.

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Yvette Prentiss, des funérailles. Elle n'avait plus son uniforme (pas de robe de dentelle), mais son jean slim avec de la dentelle sur les côtés ainsi que son chemisier en dentelle moulant (pas de soutien-gorge en vue) faisant une déclaration très claire sur le plan de la mode. Genre: "Salut, je suis une vraie pute, grimpe à bord et monte-moi comme un poney de location."

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_ [...] Crois-moi, il y a des veuves noires, et puis, il y a Yvette. Peut-être qu'elle est carrément baisable, mais tu ne survivrais probablement pas à la nuit.

Conversation entre mecs. Bon dieu. J'en avais manqué des trucs quand j'étais corporelle.

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- Ou peut-être qu'elle fera juste un cauchemar à propos de tes cheveux.

- Qu'est-ce qu'ils ont mes... (Je les aperçus, tendis la main et ramenai sous mes yeux une boucle serrée pour l'examiner.) Bordel.

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- Doux Jésus.

- Non, seulement Joanne, bien que je voie pourquoi tu te trompes, vu que je reviens des morts et tout ça.

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Très bien. Je m'affalai dans le canapé de cuir brun confortable et posai mes pieds chaussés de brodequins sur la table basse.

- Je vais juste rester assise là à regarder le monde se faire dévorer, dans ce cas. Hé, ne manque pas de m'appeler si l'apocalypse arrive. Il faut que je me procure des pellicules ISO 400 pour être sûre d'avoir de belles photos.

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- Ce que je voulais dire c'est: qu'est-ce qu'on fait maintenant?

- On crie à l'aide. Bien fort. De façon répétée.

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L'ifrit ronronna.

- La paix sur vous, mes sœurs.

- La guerre, ma sœur, répondit Rahel avec douceur. Qui te laisse chasser ici?

- Cher bout de viande, je chasse où bon me semble, dit la chose.

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